Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

paroisse

16 janvier 2016

Repas de la paroisse

 

cuisinier-10

Ce rendez-vous annuel convivial se déroulera le dimanche 13 mars 2016 à la salle Ninnoch.

Une réunion de préparation, ouverte à toutes les personnes souhaitant s'investir, est organisée le vendredi 22 janvier à 17h30 au presbytère - 9 rue de Kervam.

Publicité
Publicité
16 janvier 2016

Les migrants et les réfugiés nous interpellent

« Les migrants et les réfugiés nous interpellent. La réponse de l’Évangile de la miséricorde » : Message du Pape François pour la 102ème Journée Mondiale du Migrant et du Réfugié, le 17 janvier 2016.

Chers frères et sœurs !

Dans la bulle d’indiction du Jubilé extraordinaire de la Miséricorde, j’ai rappelé qu’« il y a des moments où nous sommes appelés de façon encore plus pressante, à fixer notre regard sur la miséricorde, afin de devenir nous aussi signe efficace de l’agir du Père » (Misericordiae Vultus, n.3).

affiche_jmmr_2016 bisL’amour de Dieu, en effet, entend atteindre tous et chacun, en transformant ceux qui accueillent l’étreinte du Père en autant de bras qui s’ouvrent et qui étreignent afin que quiconque sache qu’il est aimé comme fils et se sente « chez lui » dans l’unique famille humaine. De la sorte, l’attention paternelle de Dieu est bienveillante envers tous, comme celle du pasteur avec ses brebis, mais elle est particulièrement sensible aux besoins de la brebis blessée, fatiguée ou malade. Jésus-Christ nous a parlé ainsi du Père, pour nous dire qu’il se penche sur l’homme blessé par la misère physique ou morale et, plus ses conditions s’aggravent, plus se révèle l’efficacité de la miséricorde divine.


À notre époque, les flux migratoires sont en constante augmentation en tout lieu de la planète: les réfugiés et les personnes qui fuient leur patrie interpellent les individus et les collectivités, défiant leur mode de vie traditionnel et bouleversant parfois l’horizon culturel et social auquel ils sont confrontés. Toujours plus souvent, les victimes de la violence et de la pauvreté, abandonnant leurs terres d’origine, subissent l’outrage des trafiquants de personnes humaines au cours du voyage vers leur rêve d’un avenir meilleur. Si elles survivent aux abus et aux adversités, elles doivent ensuite se heurter à des réalités où se nichent suspicions et peurs. Très souvent, enfin, elles doivent faire face à l’absence de normes claires et pratiques pour réglementer leur accueil et pour prévoir des itinéraires d’intégration à court et à long terme, avec une attention aux droits et aux devoirs de tous. Plus que par le passé, l’Évangile de la miséricorde secoue aujourd’hui les consciences, empêche que l’on s’habitue à la souffrance de l’autre et indique des chemins de réponse qui s’enracinent dans les vertus théologales de la foi, de l’espérance et de la charité, en se déclinant en œuvres de miséricorde spirituelle et corporelle.

A partir de ces constatations, j’ai voulu que la Journée mondiale du Migrant et du Réfugié de 2016 soit consacrée au thème suivant : « Les migrants et les réfugiés nous interpellent. La réponse de l’Évangile de la miséricorde ». Les flux migratoires sont désormais une réalité structurelle et la première question qui s’impose concerne la façon de dépasser la phase d’urgence pour faire place à des programmes qui tiennent compte des causes des migrations, des changements qui se produisent et des conséquences qu’impriment de nouveaux visages aux sociétés et aux peuples. Chaque jour, cependant, les histoires dramatiques de millions d’hommes et de femmes interpellent la Communauté internationale face à l’apparition d’inacceptables crises humanitaires dans de nombreuses régions du monde. L’indifférence et le silence ouvrent la voie à la complicité quand nous assistons en spectateurs aux morts par étouffement, par privations, par violences et par naufrages. De grandes ou de petites dimensions, il s’agit toujours de tragédies quand bien même une seule vie humaine est perdue.

Les migrants sont nos frères et sœurs qui cherchent une vie meilleure loin de la pauvreté, de la faim, de l’exploitation et de la répartition injuste des ressources de la planète qui devraient être divisées équitablement entre tous. N’est-ce pas le désir de chacun d’améliorer ses conditions de vie et d’obtenir un bien-être honnête et légitime, à partager avec les êtres qui lui sont chers ?

En ce moment de l’histoire de l’humanité, fortement caractérisé par les migrations, la question de l’identité n’est pas une question d’une importance secondaire. Celui qui migre, en effet, est contraint de modifier certains aspects qui définissent sa personne et, même s’il ne le veut pas, force celui qui l’accueille à changer. Comment vivre ces mutations, afin qu’elles ne deviennent pas un obstacle au développement authentique, mais soient une opportunité pour une authentique croissance humaine, sociale et spirituelle, en respectant et en favorisant les valeurs qui rendent l’homme toujours plus homme, dans un juste rapport avec Dieu, avec les autres et avec la création ? De fait, la présence des migrants et des réfugiés interpelle sérieusement les diverses sociétés qui les accueillent. Elles doivent faire face à des faits nouveaux qui peuvent se révéler délétères s’ils ne sont pas correctement motivés, gérés et régulés. Comment faire pour que l’intégration se transforme en un enrichissement réciproque, ouvre des parcours positifs aux communautés et prévienne le risque de la discrimination, du racisme, du nationalisme extrême ou de la xénophobie ?

La révélation biblique encourage l’accueil de l’étranger, en le motivant par la certitude qu’en agissant ainsi on ouvre les portes à Dieu lui-même et que sur le visage de l’autre se manifestent les traits de Jésus-Christ. De nombreuses institutions, associations, mouvements, groupes engagés, organismes diocésains, nationaux et internationaux font l’expérience de l’émerveillement et de la joie de la fête de la rencontre, de l’échange et de la solidarité. Ils ont reconnu la voix de Jésus-Christ : « Voici, je me tiens à la porte et je frappe » (Ap 3, 20). Pourtant, les débats sur les conditions et sur les limites à poser à l’accueil ne cessent de se multiplier, non seulement au niveau des politiques des Etats, mais aussi au sein de certaines communautés paroissiales qui voient leur tranquillité traditionnelle menacée.

Face à ces questions, comment l’Eglise peut-elle agir, sinon en s’inspirant de l’exemple et des paroles de Jésus-Christ ? La réponse de l’Évangile est la miséricorde.

En premier lieu, celle-ci est un don de Dieu le Père révélé dans le Fils : la miséricorde reçue de Dieu suscite, en effet, des sentiments de joyeuse gratitude pour l’espérance que nous a offerte le mystère de la rédemption dans le sang du Christ. Par ailleurs, elle alimente et renforce la solidarité envers le prochain, comme exigence pour répondre à l’amour gratuit de Dieu, « qui a été répandu dans nos cœurs par l’Esprit Saint » (Rm 5, 5). Du reste, chacun de nous est responsable de son voisin : nous sommes les gardiens de nos frères et sœurs, où qu’ils vivent. Entretenir de bons contacts personnels et savoir surmonter les préjugés et les peurs sont des ingrédients essentiels pour faire fructifier la culture de la rencontre, où l’on est disposé non seulement à donner, mais aussi à recevoir des autres. En effet, l’hospitalité vit à la fois de ce qui est donné et reçu.

Dans cette perspective, il est important de considérer les migrants non seulement en fonction de la régularité ou de l’irrégularité de leur condition, mais surtout comme des personnes qui, une fois leur dignité assurée, peuvent contribuer au bien-être et au progrès de tous, en particulier lorsqu’ils assument la responsabilité de leurs devoirs envers ceux qui les accueillent, en respectant de façon reconnaissante le patrimoine matériel et spirituel du pays hôte, en obéissant à ses lois et en contribuant à ses charges. En tout cas, on ne peut pas réduire les migrations à une dimension politique et normative, à des effets économiques, ni à une simple coexistence de cultures différentes sur un même territoire. Ces aspects viennent compléter la défense et la promotion de la personne humaine, la culture de la rencontre des peuples et de l’unité, là où l’Évangile de la miséricorde inspire et encourage des itinéraires qui renouvellent et transforment l’humanité tout entière.

L’Église est aux côtés de tous ceux qui s’emploient à défendre le droit de chacun à vivre avec dignité, avant tout en exerçant leur droit à ne pas émigrer pour contribuer au développement du pays d’origine. Ce processus devrait inclure, à un premier niveau, la nécessité d’aider les pays d’où partent migrants et réfugiés. Cela confirme que la solidarité, la coopération, l’interdépendance internationale et la répartition équitable des biens de la terre sont des éléments fondamentaux pour œuvrer en profondeur et de manière incisive dans les zones de départ des flux migratoires, afin que cessent ces déséquilibres qui poussent des personnes, individuellement ou collectivement, à quitter leur milieu naturel et culturel. En tout cas, il est nécessaire de conjurer, si possible dès le début, les fuites de réfugiés et les exodes dictés par la pauvreté, par la violence et par les persécutions.

Il est indispensable que l’opinion publique soit informée de tout cela et correctement, notamment pour prévenir des peurs injustifiées et des spéculations sur la peau des migrants.

Personne ne peut faire semblant de ne pas se sentir interpellé par les nouvelles formes d’esclavage gérées par des organisations criminelles, qui vendent et achètent des hommes, des femmes et des enfants, comme travailleurs forcés à travailler dans différents secteurs du marché, comme le bâtiment, l’agriculture, la pêche ou d’autres. Combien de mineurs sont contraints, aujourd’hui encore, de s’enrôler dans les milices qui les transforment en enfants soldats ! Combien de personnes sont victimes du trafic d’organes, de la mendicité forcée et de l’exploitation sexuelle ! Les réfugiés de notre époque fuient ces crimes aberrants ; ils interpellent l’Eglise et la communauté humaine afin qu’eux aussi, dans la main tendue qui les accueille, puissent apercevoir le visage du Seigneur, « le Père miséricordieux, le Dieu de qui vient tout réconfort » (2 Go 1, 3).

Chers frères et sœurs migrants et réfugiés ! A la racine de l’Évangile de la miséricorde, la rencontre et l’accueil de l’autre se relient à la rencontre et à l’accueil de Dieu : accueillir l’autre, c’est accueillir Dieu en personne ! Ne vous laissez pas voler l’espérance et la joie de vivre qui jaillissent de l’expérience de la miséricorde de Dieu, qui se manifeste dans les personnes que vous rencontrez au long de vos chemins ! Je vous confie à la Vierge Marie, Mère des migrants et des réfugiés, et à saint Joseph, qui ont vécu l’amertume de l’émigration en Egypte. Je confie aussi à leur intercession ceux qui consacrent leurs énergies, leur temps et leurs ressources à la pastorale et à l’aide sociale des migrations. A tous et de tout cœur, j’accorde la Bénédiction apostolique.

Du Vatican, le 12 septembre 2015, mémoire du Saint Nom de Marie,
FRANCISCUS PP

Approndir le thème : cliquez ici

15 janvier 2016

Dimanche 17 Janvier 2016 - 2ème dimanche du Temps Ordinaire

Dimanche 17 Janvier 2016 - 2ème dimanche du Temps Ordinaire


1ère lecture : « Comme la jeune mariée fait la joie de son mari » (Is 62, 1-5)

Lecture du livre du prophète Isaïe

Pour la cause de Sion, je ne me tairai pas,
et pour Jérusalem, je n’aurai de cesse
que sa justice ne paraisse dans la clarté,
et son salut comme une torche qui brûle.
    Et les nations verront ta justice ;
tous les rois verront ta gloire.
On te nommera d’un nom nouveau
que la bouche du Seigneur dictera.
    Tu seras une couronne brillante
dans la main du Seigneur,
un diadème royal
entre les doigts de ton Dieu.
    On ne te dira plus : « Délaissée ! »
À ton pays, nul ne dira : « Désolation ! »
Toi, tu seras appelée « Ma Préférence »,
cette terre se nommera « L’Épousée ».
Car le Seigneur t’a préférée,
et cette terre deviendra « L’Épousée ».
    Comme un jeune homme épouse une vierge,
ton Bâtisseur t’épousera.
Comme la jeune mariée fait la joie de son mari,
tu seras la joie de ton Dieu.


    – Parole du Seigneur.

Psaume : Ps 95 (96), 1-2a, 2b-3, 7-8a, 9a.10ac

R/

Racontez à tous les peuples
les merveilles du Seigneur !

(Ps 95, 3)

Chantez au Seigneur un chant nouveau,
chantez au Seigneur, terre entière,
chantez au Seigneur et bénissez son nom !

 

De jour en jour, proclamez son salut,
racontez à tous les peuples sa gloire,
à toutes les nations ses merveilles !

 

Rendez au Seigneur, familles des peuples,
rendez au Seigneur, la gloire et la puissance,
rendez au Seigneur la gloire de son nom.

 

Adorez le Seigneur, éblouissant de sainteté.
Allez dire aux nations : Le Seigneur est roi !
Il gouverne les peuples avec droiture.

2ème lecture : « L’unique et même Esprit distribue ses dons, comme il le veut, à chacun en particulier » (1 Co 12, 4-11)

Lecture de la première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens

Frères,
    les dons de la grâce sont variés,
mais c’est le même Esprit.
    Les services sont variés,
mais c’est le même Seigneur.
    Les activités sont variées,
mais c’est le même Dieu
qui agit en tout et en tous.
    À chacun est donnée la manifestation de l’Esprit
en vue du bien.
    À celui-ci est donnée, par l’Esprit,
une parole de sagesse ;
à un autre,
une parole de connaissance,
selon le même Esprit ;
    un autre reçoit, dans le même Esprit,
un don de foi ;
un autre encore, dans l’unique Esprit,
des dons de guérison ;
    à un autre est donné d’opérer des miracles,
à un autre de prophétiser,
à un autre de discerner les inspirations ;
à l’un, de parler diverses langues mystérieuses ;
à l’autre, de les interpréter.
    Mais celui qui agit en tout cela,
c’est l’unique et même Esprit :
il distribue ses dons, comme il le veut,
à chacun en particulier.


    – Parole du Seigneur.

Evangile : « Tel fut le commencement des signes que Jésus accomplit. C’était à Cana de Galilée » (Jn 2, 1-11)

    Acclamation :

    Alléluia. Alléluia.
    Dieu nous a appelés par l’Évangile
    à entrer en possession de la gloire
    de notre Seigneur Jésus Christ.
    Alléluia.
    (cf. 2 Th 2, 14)


Évangile de Jésus Christ selon saint Jean

    En ce temps-là,
    il y eut un mariage à Cana de Galilée.
La mère de Jésus était là.
    Jésus aussi avait été invité au mariage
avec ses disciples.
    Or, on manqua de vin.
La mère de Jésus lui dit :
« Ils n’ont pas de vin. »
    Jésus lui répond :
« Femme, que me veux-tu ?
Mon heure n’est pas encore venue. »
    Sa mère dit à ceux qui servaient :
« Tout ce qu’il vous dira, faites-le. »
    Or, il y avait là six jarres de pierre
pour les purifications rituelles des Juifs ;
chacune contenait deux à trois mesures,
(c’est-à-dire environ cent litres).
    Jésus dit à ceux qui servaient :
« Remplissez d’eau les jarres. »
Et ils les remplirent jusqu’au bord.
    Il leur dit :
« Maintenant, puisez,
et portez-en au maître du repas. »
Ils lui en portèrent.
    Et celui-ci goûta l’eau changée en vin.
Il ne savait pas d’où venait ce vin,
mais ceux qui servaient le savaient bien,
eux qui avaient puisé l’eau.
Alors le maître du repas appelle le marié
    et lui dit :
« Tout le monde sert le bon vin en premier
et, lorsque les gens ont bien bu, on apporte le moins bon.
Mais toi, tu as gardé le bon vin jusqu’à maintenant. »


    Tel fut le commencement des signes que Jésus accomplit.
C’était à Cana de Galilée.
Il manifesta sa gloire,
et ses disciples crurent en lui.


    – Acclamons la Parole de Dieu.


Source : http://www.aelf.org/

13 janvier 2016

Les vœux de la paroisse


Les vœux de la paroisse vus par la presse.

Cliquez sur les photos pour les agrandir.

Le Télégramme - le 12 janvier 2016

2016_01_12_le télégramme

Ouest France - le 11 janvier 2016

ouest france 2016_01_11

10 janvier 2016

Le baptême du Seigneur


Pourquoi fêter le baptême du Christ ?


Au terme du temps de Noël, la fête du Baptême du Seigneur vient exprimer la profonde communion entre Dieu et l'humanité.

Une fête liturgique moins connue que l'Epiphanie

Baptême-de-Jésus-Année-AL'antienne du chant du magnificat aux vêpres de l'Epiphanie, indique que cette fête synthétise trois événements : "Nous célébrons trois mystères en ce jour. Aujourd'hui l'étoile a conduit les mages vers la crèche ; aujourd'hui l'eau fut changée en vin aux noces de Cana ; aujourd'hui le Christ a été baptisé par Jean dans le Jourdain pour nous sauver, alléluia". L'Epiphanie annonce donc déjà le baptême du Christ, nous faisant ainsi faire un bond de... 30 ans !

Ainsi, nous sommes propulsés de "Jésus enfant" à "Jésus adulte". Nous passons de la sphère "privée" autour de la Sainte Famille, des Mages, des Bergers et des Anges à la sphère "publique" qui correspond au "lancement" de la vie publique de Jésus, avec Jean-Baptiste, la foule des pécheurs venus se faire baptiser par lui dans le Jourdain.

Que se passe-t-il au Baptême du Christ ?

Les  évangélistes nous rapportent que Jean Baptiste prêche un baptême de conversion, dans les eaux du Jourdain, annonçant la venue de celui qui baptiserait dans l'Esprit Saint.
Chez l'évangéliste Matthieu, les deux cousins, Jean et Jésus, échangent : Jean s'oppose à le baptiser, réclamant de Jésus qu'il le baptise, au contraire. Mais, répond Jésus, "laisse faire, il faut accomplir ce qui est juste"... Chez l'évangéliste Luc, Jean se sait indigne de dénouer la courroie de ses sandales.
Dans les quatre évangiles, le Baptiste atteste, témoigne, de ce qu'il a vu et entendu : dès que Jésus a été baptisé, il a vu les cieux s'ouvrir, une colombe descendre sur Jésus symbolisant l'Esprit Saint ; il a aussi entendu une voix, celle du Père, disant que Jésus est son fils bien-aimé. La foule présente est aussi témoin de cela.
Les Pères de l'Eglise ont déduit deux choses importantes : d'une part, Jésus, avec humilité, revêt symboliquement le péché de l'humanité en plongeant dans les eaux du Jourdain, et la délivre, en fait, de la mort ; d'autre part, nous sommes témoins de la première manifestation du Dieu Trinité.

Catherine Sesboüé, religieuse de l'Assomption.

Source : www.croire.com

Publicité
Publicité
9 janvier 2016

Semaine du 10 au 16 janvier 2016

 

EGLISE St PIERRE (centre ville)

Dimanche   10 : 09h00   Intentions paroissiales

                                  11h00   Messe des familles et installation officielle du G.A.P.

                                               Messe anniversaire Mme Gaële COHIDON

                                               Intention Mme GENOUEL

                                               Service de prières aux défunts avril / mai et juin 2015*

Mardi               12 :  18h30    Intentions paroissiales

Mercredi          13 :  09h00    Laudes

                     9h15   Intentions paroissiales

Jeudi        14 : 9h15   Intentions paroissiales

Dimanche  15 : 9h00   Intention M. François LE PIPE et ses enfants

                    11h00  Intention Mme Jeanne GUILLEMOT et M. Pierre GUILLEMOT

                              M. Yvon LEPAGE - Famille VERCHERE

                              Service de prières aux défunts juillet – août – septembre 2015*

* Liste nominative affichée à la porte de l'église – porche sud

 

CHAPELLE NOTRE DAME DE LA GARDE (Lomener)

 

Samedi      9 : 18h00  Intention M. Luc UHEL – M. et Mme Pierre et Anne-Marie GUEGAN

                                              M. et Mme François et Angèle GROIGNEC

Vendredi        15 :   9h15       Intentions paroissiales

Samedi           16 :   18h00    Intentions paroissiales

 

Célébrations / Messes :

Jeudi       14 : 15h00   Célébration à Ter et Mer

Vendredi  15 : 18h30   Messe en breton à la chapelle St Léonard

 

Rencontres :

Lundi      11 :   20h30   Préparation éveil à la foi – presbytère

Mercredi 13 :   20h00 Équipes liturgiques – presbytère

Jeudi      14 :   20h15 Lecture de la Bible – presbytère

Vendredi 15 :  15h00 Galette des rois des amis de la chapelle Ste Anne – Salle Ste Anne (Ninnoch)

 

Nos peines : Mme Simone LE DORVEN, 90 ans – Mme Yvonne JOLIVET, 93 ans

 

Visite de la crèche de St Maudé

La chapelle est ouverte tous les mercredis et les week-ends jusqu'à fin janvier de 14h00 à 18h00

 

Visite de la crèche de la chapelle Notre Dame de la Garde

Tous les jours de 10h00 à 18h00

 

Vœux de la paroisse - dimanche 10 janvier – 12h15 – Salle Ninnoch

Installation officielle du G.A.P. (groupe d'animation paroissiale)

et présentation de la nouvelle bibliothèque suivies du verre de l'amitié.

 

Réunion des distributeurs de « Chrétiens à Ploemeur » - salle Ninnoch

Jeudi 28 Janvier à 16h00

 

Concert des Gabiers d'Artimon

Dimanche 24 janvier 2016 à 15h00 – Chapelle Notre Dame de la Garde

Participation libre.

Réservation pour billet d'entrée auprès de Michel (02 97 86 24 00)

ou Martine (02 97 37 73 16) ou Presbytère (02 97 86 32 62)

 

Pèlerinage en Terre Sainte du doyenné

18 au 26 mai 2016 – départ de Ploemeur

Il reste 10 places – Inscriptions au presbytère

 

 

 

.

8 janvier 2016

Dimanche 10 Janvier 2016 - Le Baptême du Seigneur - Fête du Seigneur

Dimanche 10 Janvier 2016 - Le Baptême du Seigneur - Fête du Seigneur

1ère lecture : « La gloire du Seigneur se révélera, et tout être de chair verra » (Is 40, 1-5.9-11)

Lecture du livre du prophète Isaïe

Consolez, consolez mon peuple,
– dit votre Dieu –
    parlez au cœur de Jérusalem.
Proclamez que son service est accompli,
que son crime est expié,
qu’elle a reçu de la main du Seigneur
le double pour toutes ses fautes.


    Une voix proclame :
« Dans le désert, préparez le chemin du Seigneur ;
tracez droit, dans les terres arides,
une route pour notre Dieu.
    Que tout ravin soit comblé,
toute montagne et toute colline abaissées !
que les escarpements se changent en plaine,
et les sommets, en large vallée !
    Alors se révélera la gloire du Seigneur,
et tout être de chair verra
que la bouche du Seigneur a parlé. »


    Monte sur une haute montagne,  
toi qui portes la bonne nouvelle à Sion.
Élève la voix avec force,
toi qui portes la bonne nouvelle à Jérusalem.
Élève la voix, ne crains pas.
Dis aux villes de Juda :
« Voici votre Dieu ! »
        Voici le Seigneur Dieu !
Il vient avec puissance ;
son bras lui soumet tout.
Voici le fruit de son travail avec lui,
et devant lui, son ouvrage.
    Comme un berger, il fait paître son troupeau :
son bras rassemble les agneaux,
il les porte sur son cœur,
il mène les brebis qui allaitent.

    – Parole du Seigneur.

Psaume : Ps 103 (104), 1c-3a, 3bc-4, 24-25, 27-28, 29-30

R/

Bénis le Seigneur, ô mon âme ;
Seigneur mon Dieu, tu es si grand !

(Ps 103, 1)

Revêtu de magnificence,
tu as pour manteau la lumière !
Comme une tenture, tu déploies les cieux,
tu élèves dans leurs eaux tes demeures.

 

Des nuées, tu te fais un char,
tu t’avances sur les ailes du vent ;
tu prends les vents pour messagers,
pour serviteurs, les flammes des éclairs.

 

Quelle profusion dans tes œuvres, Seigneur !
Tout cela , ta sagesse l’a fait ;
     la terre s’emplit de tes biens.
Voici l’immensité de la mer,
son grouillement innombrable d’animaux grands et petits.

 

Tous, ils comptent sur toi
pour recevoir leur nourriture au temps voulu.
Tu donnes : eux, ils ramassent ;
tu ouvres la main : ils sont comblés.

 

Tu caches ton visage : ils s’épouvantent ;
tu reprends leur souffle, ils expirent
      et retournent à leur poussière.
Tu envoies ton souffle : ils sont créés ;
tu renouvelles la face de la terre.

2ème lecture : « Par le bain du baptême, Dieu nous a fait renaître et nous a renouvelés dans l’Esprit Saint » (Tt 2, 11-14 ; 3, 4-7)

Lecture de la lettre de saint Paul apôtre à Tite

Bien-aimé,
     la grâce de Dieu s’est manifestée
pour le salut de tous les hommes.
    Elle nous apprend à renoncer à l’impiété
et aux convoitises de ce monde,
et à vivre dans le temps présent de manière raisonnable,
avec justice et piété,
    attendant que se réalise la bienheureuse espérance :
la manifestation de la gloire
de notre grand Dieu et Sauveur, Jésus Christ.
    Car il s’est donné pour nous
afin de nous racheter de toutes nos fautes,
et de nous purifier
pour faire de nous son peuple,
un peuple ardent à faire le bien.


    Lorsque Dieu, notre Sauveur,
a manifesté sa bonté et son amour pour les hommes,
    il nous a sauvés,
non pas à cause de la justice de nos propres actes,
mais par sa miséricorde.
Par le bain du baptême, il nous a fait renaître
et nous a renouvelés dans l’Esprit Saint.
    Cet Esprit, Dieu l’a répandu sur nous en abondance,
par Jésus Christ notre Sauveur,
    afin que, rendus justes par sa grâce,
nous devenions en espérance
héritiers de la vie éternelle.

 

 – Parole du Seigneur.

Evangile : « Comme Jésus priait, après avoir été baptisé, le ciel s’ouvrit » (Lc 3, 15-16.21-22)

    Acclamation :

    Alléluia. Alléluia.
    Voici venir un plus fort que moi,
    proclame Jean Baptiste ;
    c’est lui qui vous baptisera
    dans l’Esprit Saint et le feu.
    Alléluia.
    (cf. Lc 3, 16)


Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

En ce temps-là,
    le peuple venu auprès de Jean le Baptiste était en attente,
et tous se demandaient en eux-mêmes
si Jean n’était pas le Christ.
    Jean s’adressa alors à tous :
« Moi, je vous baptise avec de l’eau ;
mais il vient, celui qui est plus fort que moi.
Je ne suis pas digne de dénouer la courroie de ses sandales.
Lui vous baptisera dans l’Esprit Saint et le feu. »


    Comme tout le peuple se faisait baptiser
et qu’après avoir été baptisé lui aussi, Jésus priait,
le ciel s’ouvrit.
    L’Esprit Saint, sous une apparence corporelle, comme une colombe,
descendit sur Jésus,
et il y eut une voix venant du ciel :
« Toi, tu es mon Fils bien-aimé ;
en toi, je trouve ma joie. »


    – Acclamons la Parole de Dieu.


Source : http://www.aelf.org/

3 janvier 2016

L’Epiphanie

epiphanieDu grec épiphanéia : « apparition » ; de épiphainéin : « paraître ou briller sur ». La Solennité de l’Epiphanie célèbre la manifestation de Jésus comme Messie. La fête est venue d’Orient où elle a été fixée au 6 janvier : fête des lumières, fête de l’eau, elle est beaucoup plus la célébration de l’inauguration du ministère public du Christ, lors de son baptême au Jourdain, qu’une festivité des événements de l’enfance de Jésus.

En Occident, l’Epiphanie, fixée au 6 janvier ou au dimanche situé entre le 2 et le 8 janvier, est surtout la fête des Mages ou des « Rois ». Les manifestations inaugurales de la vie publique ne sont pas oubliées, puisque l’office de la fête parle des trois mystères de ce jour comme n’en faisant qu’un : l’adoration des Mages, le baptême de Jésus et les noces de Cana (cf. Antienne de Magnificat aux secondes Vêpres) ; il faut dire cependant que les Mages retiennent presque toute l’attention.

Pour laisser à l’Epiphanie toute sa dimension de « Pentecôte » du cycle de la Nativité, l’Église latine a récemment instauré la Fête du Baptême du Seigneur, célébrée le dimanche qui suit l’Epiphanie.

Approfondir le thème : cliquez ici
Source : www.eglise.catholique.fr
Iconographie : L'Adoration des mages peint par Matthias Stom


2 janvier 2016

Semaine du 3 au 9 janvier 2016

EGLISE St PIERRE (centre ville)

Dimanche   3 : 09h00   Intention M. Jean-Claude BOUILLON - Mme LECUYER

                               Guillaume MAHE

                    11h00   Intention M. Pierre JEGO et Nathalie - M. Maurice GARNIER

                               M. Yves LE MONTAGNER - M. Désiré LE BRUN et son beau-frère

                               Familles VERCHERE - LOIRET-DREAN

                               Service de prières aux défunts janvier-février et mars 2015*

Lundi         4 : 10h30  Obsèques de Mme Simone LE DORVEN

                          14h30   Obsèques de Mme Yvonne JOLIVET

Mardi        5 :  18h30   Intentions paroissiales

Mercredi    6 :  09h00   Laudes

                     9h15   Intentions paroissiales

Jeudi         7 :  9h15   Intentions paroissiales

Dimanche   10:  9h00  Intentions paroissiales

                     11h00  Messe des familles et installation officielle du GAP

                                       Messe anniversaire de Mme Gaële COHIDON

                               Intention Mme GENOUEL

                               Service de prières aux défunts avril / mai et juin 2015*

* Liste nominative affichée à la porte de l'église – porche sud

 

CHAPELLE NOTRE DAME DE LA GARDE (Lomener)

Samedi         2 :  18h00   Intention M. Fabien HASCOËT

 

Vendredi       8 :    9h15   Intentions paroissiales

Samedi         9 :  18h00   Intentions paroissiales

 

Célébrations / Messes :

Mercredi        6 :  18h00   Permanence d'un prêtre pour le sacrement du Pardon

Jeudi             7 :  11h00   Messe à Kerloudan

                          20h00   Adoration à l'église avec possibilité de se confesser (fin à 21h00)

Rencontres :

Mercredi        6 :  17h30   Réunion "Chrétiens à Ploemeur" - presbytère

 

Vendredi        8 :  14h30   Réunion M.C.R. - presbytère

                           17h15   Temps fort profession de foi - salle Ninnoch (fin à 19h00)

                     20h00  Groupe lycéen (fin 22h00)

Samedi       9:  17h30  Temps fort confirmation - salle Ninnoch (fin 19h30)

Nos peines : M. Georges KLOS, 85 ans

 

"Parcours Alpha" à Ploemeur, pour le doyenné, de janvier à mars

chacun est invité à la soirée de démarrage pour venir dîner et échanger

autour du thème " Le Christianisme est-il faux, ennuyeux, dépassé?"

Mercredi 6 janvier 2016-de 19h15 à 22h00 - salle Ninnoch - Inscriptions au 02 97 86 32 62 ou 06 22 45 51 45.

---------

Visite de la crèche de St Maudé

La chapelle est ouverte tous les jours de 14h00 à 18h00 jusqu'au 4 janvier

puis le mercredi et le week-end jusqu'à fin janvier aux mêmes horaires

----------------

Visite de la crèche de la chapelle Notre dame de la Garde

tous les jours de 10h00 à 18h00

s---------

MOUVEMENT PAROISSIAL 2015

BAPTEMES: 88 (64 en 2014) // MARIAGES: 22 (20 en 2014) // OBSEQUES: 133 (124 en 2014)

----------

Bonne, heureuse et sainte année 2016!

Voeux de la paroisse- dimanche 10 janvier - 12h15 - salle Ninnoch

Installation officielle du G.A.P. (groupe d'animation pastorale)

et présentation de la nouvelle bibliothèque, suivies du verre de l'amitié.

 

 

 .

 

1 janvier 2016

Dimanche 3 Janvier 2016 - L'Épiphanie du Seigneur Solennité du Seigneur

Dimanche 3 Janvier 2016 - L'Épiphanie du Seigneur
Solennité du Seigneur


1ère lecture : « La gloire du Seigneur s’est levée sur toi » (Is 60, 1-6)

Lecture du livre du prophète Isaïe

    Debout, Jérusalem, resplendis !
Elle est venue, ta lumière,
et la gloire du Seigneur s’est levée sur toi.
    Voici que les ténèbres couvrent la terre,
et la nuée obscure couvre les peuples.
Mais sur toi se lève le Seigneur,
sur toi sa gloire apparaît.
    Les nations marcheront vers ta lumière,
et les rois, vers la clarté de ton aurore.
    Lève les yeux alentour, et regarde :
tous, ils se rassemblent, ils viennent vers toi ;
tes fils reviennent de loin,
et tes filles sont portées sur la hanche.
    Alors tu verras, tu seras radieuse,
ton cœur frémira et se dilatera.
Les trésors d’au-delà des mers afflueront vers toi,
vers toi viendront les richesses des nations.
    En grand nombre, des chameaux t’envahiront,
de jeunes chameaux de Madiane et d’Épha.
Tous les gens de Saba viendront,
apportant l’or et l’encens ;
ils annonceront les exploits du Seigneur.


    – Parole du Seigneur.

Psaume : Ps 71 (72), 1-2, 7-8, 10-11, 12-13

R/

Toutes les nations, Seigneur,
se prosterneront devant toi.

(cf. Ps 71,11)

Dieu, donne au roi tes pouvoirs,
à ce fils de roi ta justice.
Qu’il gouverne ton peuple avec justice,
qu’il fasse droit aux malheureux !

 

En ces jours-là, fleurira la justice,
grande paix jusqu’à la fin des lunes !
Qu’il domine de la mer à la mer,
et du Fleuve jusqu’au bout de la terre !

 

Les rois de Tarsis et des Îles apporteront des présents.
Les rois de Saba et de Seba feront leur offrande.
Tous les rois se prosterneront devant lui,
tous les pays le serviront.

 

Il délivrera le pauvre qui appelle
et le malheureux sans recours.
Il aura souci du faible et du pauvre,
du pauvre dont il sauve la vie.

2ème lecture : « Il est maintenant révélé que les nations sont associées au même héritage, au partage de la même promesse » (Ep 3, 2-3a.5-6)

Lecture de la lettre de saint Paul apôtre aux Éphésiens

Frères,
    vous avez appris, je pense,
en quoi consiste la grâce que Dieu m’a donnée pour vous :
    par révélation, il m’a fait connaître le mystère.
    Ce mystère n’avait pas été porté à la connaissance
des hommes des générations passées,
comme il a été révélé maintenant
à ses saints Apôtres et aux prophètes,
dans l’Esprit.
    Ce mystère,
c’est que toutes les nations sont associées au même héritage,
au même corps,
au partage de la même promesse,
dans le Christ Jésus,
par l’annonce de l’Évangile.


    – Parole du Seigneur.

Evangile : Nous sommes venus d’Orient adorer le roi (Mt 2, 1-12)

    Acclamation :

    Alléluia. Alléluia.
    Nous avons vu son étoile à l’orient,
    et nous sommes venus adorer le Seigneur.
    Alléluia.
    (cf. Mt 2, 2)


Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu

Jésus était né à Bethléem en Judée,
au temps du roi Hérode le Grand.
Or, voici que des mages venus d’Orient
arrivèrent à Jérusalem
    et demandèrent :
« Où est le roi des Juifs qui vient de naître ?
Nous avons vu son étoile à l’orient
et nous sommes venus nous prosterner devant lui. »
    En apprenant cela, le roi Hérode fut bouleversé,
et tout Jérusalem avec lui.
    Il réunit tous les grands prêtres et les scribes du peuple,
pour leur demander où devait naître le Christ.
    Ils lui répondirent :
« À Bethléem en Judée,
car voici ce qui est écrit par le prophète :
    Et toi, Bethléem, terre de Juda,
tu n’es certes pas le dernier
parmi les chefs-lieux de Juda,
car de toi sortira un chef,
qui sera le berger de mon peuple Israël. »
    Alors Hérode convoqua les mages en secret
pour leur faire préciser à quelle date l’étoile était apparue ;
    puis il les envoya à Bethléem, en leur disant :
« Allez vous renseigner avec précision sur l’enfant.
Et quand vous l’aurez trouvé, venez me l’annoncer
pour que j’aille, moi aussi, me prosterner devant lui. »
    Après avoir entendu le roi, ils partirent.


Et voici que l’étoile qu’ils avaient vue à l’orient
les précédait,
jusqu’à ce qu’elle vienne s’arrêter au-dessus de l’endroit
où se trouvait l’enfant.
    Quand ils virent l’étoile,
ils se réjouirent d’une très grande joie.
    Ils entrèrent dans la maison,
ils virent l’enfant avec Marie sa mère ;
et, tombant à ses pieds,
ils se prosternèrent devant lui.
Ils ouvrirent leurs coffrets,
et lui offrirent leurs présents :
de l’or, de l’encens et de la myrrhe.


    Mais, avertis en songe de ne pas retourner chez Hérode,
ils regagnèrent leur pays par un autre chemin.


    – Acclamons la Parole de Dieu



Source : http://www.aelf.org/

 

Publicité
Publicité
<< < 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 > >>
Publicité