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paroisse

12 mars 2016

Semaine du 13 au 19 mars 2016

EGLISE St PIERRE (centre ville)


Dimanche    13 :                Messe du C.C.F.D. - Terre Solidaire
                       9h00      Intention famille RIOUALEN – SANTOS – Hélène et Marie SAINT-JALMES
                     11h00      Messe anniversaire Mme Louise LE GAL
                                   Intention M. Yvon LEPAGE – M. Gabriel LOMENECH – Mme POULICHET
                                   Mme Nicole VAGUERESSE
                                   Service de prières aux défunts avril – mai et juin 2015*
Mardi         15 :14h30      Obsèques de M. Marcel COMPARET
                      18h30     Intentions paroissiales
Mercredi     16 : 9h00      Laudes
                       9h15     Intention Mme Christiane CHARTON – M. DUPOUY
Jeudi          17 : 9h15     Intentions paroissiales
Dimanche    20 :                Célébration des Rameaux
                       9h00      Intention M. et Mme Étienne et Thérèse MAURAS – M. Georges LE GOFF
                                   M. Lucien MITTE
                     11h00      Messe des familles
                                   Intention M. Maurice GARNIER – Mme Yolande MAROT
                                   M. Gabriel LOMENECH
                                   Service de prières aux défunts juillet – août et septembre 2015*
* Liste nominative affichée à la porte de l'église – porche sud



CHAPELLE NOTRE DAME DE LA GARDE (Lomener)


Samedi      12 : 18h00     Intention M. Bernard LE CALVAR – M. Jean GUEGANNO
                                   Mme LE VOUEDEC – M. Gérard FILLION
Vendredi    18 :   9h15     Intentions paroissiales
Samedi      19 : 18h00     Intention M. Jean GUEGANNO

Célébrations / Messes :
Mardi       15 :   20h30    Groupe de prières, louange et d'intercession – église
Mercredi   16 :   18h00    Prière de Carême – chapelle St Tual
Jeudi       17 :   11h00    Célébration à Kerloudan
Vendredi  18 :   17h00    Chemin de croix – église
                      18h30    Messe en breton à la chapelle St Léonard

Rencontres :
Mardi      15 :    20h30    Rencontre de Carême autour de l'encyclique « Laudato Si' » - Salle Ninnoch
                      20h30    Parents catéchèse familiale – Salle Ste Anne (ensemble Ninnoch)
Vendredi  18 :   20h30    Répétition des chants de la Veillée Pascale – chapelle de Lomener
Samedi    19 :                Retraite de profession de foi – salle Ninnoch (jusqu'au dimanche 20 mars – midi)

Nos peines : M. Georges POULICHET, 71 ans – M. Georges LABORNE, 80 ans

A noter sur votre agenda
Rencontre de Carême autour de l'encyclique « Laudato Si' » du pape François
par Jean-Claude Pierre
Mardi 15 mars – 20h30 – salle Ninnoch

Dimanche 13 mars 2016 => repas paroissial
Au menu : soupe de poissons – merlu / mayonnaise / pommes de terre – fromage et dessert du chef

Collecte de vieux journaux et de papiers glacés par le CCFD – Terre Solidaire
Samedi 19 mars de 8h00 à 16h00 – place des droits de l'Enfant

Vente d’œufs de Pâques à l'issue des messe par les enfants de l'ACE
le week end des 19 et 20 mars

Bibliothèque du doyenné – tous les mercredis de 15h00 à 18h00 – Salle Ninnoch

Bol de riz – école ND de la Garde – vendredi 25 mars – 12h00 – Réservation au 02 97 82 94 21

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11 mars 2016

Dimanche 13 mars - 5ème dimanche de Carême

Dimanche 13 mars  - 5ème dimanche de Carême


1ère lecture : « Voici que je fais une chose nouvelle, je vais désaltérer mon peuple » (Is 43, 16-21)

Lecture du livre du prophète Isaïe

Ainsi parle le Seigneur,
lui qui fit un chemin dans la mer,
un sentier dans les eaux puissantes,
    lui qui mit en campagne des chars et des chevaux,
des troupes et de puissants guerriers ;
les voilà tous couchés pour ne plus se relever,
ils se sont éteints, consumés comme une mèche.
Le Seigneur dit :
    « Ne faites plus mémoire des événements passés,
ne songez plus aux choses d’autrefois.
    Voici que je fais une chose nouvelle :
elle germe déjà, ne la voyez-vous pas ?
Oui, je vais faire passer un chemin dans le désert,
des fleuves dans les lieux arides.
    Les bêtes sauvages me rendront gloire
– les chacals et les autruches –
parce que j’aurai fait couler de l’eau dans le désert,
des fleuves dans les lieux arides,
pour désaltérer mon peuple,
celui que j’ai choisi.
    Ce peuple que je me suis façonné
redira ma louange. »


    – Parole du Seigneur.

Psaume : Ps 125 (126), 1-2ab, 2cd-3, 4-5, 6

R/

Quelles merveilles le Seigneur fit pour nous :
nous étions en grande fête !

(Ps 125, 3)

Quand le Seigneur ramena les captifs à Sion,
nous étions comme en rêve !
Alors notre bouche était pleine de rires,
nous poussions des cris de joie.

 

Alors on disait parmi les nations :
« Quelles merveilles fait pour eux le Seigneur ! »
Quelles merveilles le Seigneur fit pour nous :
nous étions en grande fête !

 

Ramène, Seigneur, nos captifs,
comme les torrents au désert.
Qui sème dans les larmes
moissonne dans la joie.

 

Il s’en va, il s’en va en pleurant,
il jette la semence ;
il s’en vient, il s’en vient dans la joie,
il rapporte les gerbes.

2ème lecture : « À cause du Christ, j’ai tout perdu, en devenant semblable à lui dans sa mort » (Ph 3, 8-14)

Lecture de la lettre de saint Paul apôtre aux Philippiens

Frères,
tous les avantages que j’avais autrefois,
    je les considère comme une perte
à cause de ce bien qui dépasse tout :
la connaissance du Christ Jésus, mon Seigneur.
À cause de lui, j’ai tout perdu ;
je considère tout comme des ordures,
afin de gagner un seul avantage, le Christ,
    et, en lui, d’être reconnu juste,
non pas de la justice venant de la loi de Moïse
mais de celle qui vient de la foi au Christ,
la justice venant de Dieu, qui est fondée sur la foi.
    Il s’agit pour moi de connaître le Christ,
d’éprouver la puissance de sa résurrection
et de communier aux souffrances de sa Passion,
en devenant semblable à lui dans sa mort,
    avec l’espoir de parvenir
à la résurrection d’entre les morts.
    Certes, je n’ai pas encore obtenu cela,
je n’ai pas encore atteint la perfection,
mais je poursuis ma course pour tâcher de saisir,
puisque j’ai moi-même été saisi par le Christ Jésus.
    Frères, quant à moi, je ne pense pas avoir déjà saisi cela.
Une seule chose compte :
oubliant ce qui est en arrière, et lancé vers l’avant,
    je cours vers le but en vue du prix
auquel Dieu nous appelle là-haut dans le Christ Jésus.


    – Parole du Seigneur.

Evangile : « Celui d’entre-vous qui est sans péché, qu’il soit le premier à jeter une pierre » (Jn 8, 1-11)

    Acclamation :

    Gloire à toi, Seigneur.
    Gloire à toi.
    Maintenant, dit le Seigneur,
    revenez à moi de tout votre cœur,
    car je suis tendre et miséricordieux.
    Gloire à toi, Seigneur.
    Gloire à toi.
    (cf. Jl 2, 12b.13c)


Évangile de Jésus Christ selon saint Jean

En ce temps-là,
    Jésus s’en alla au mont des Oliviers.
            Dès l’aurore, il retourna au Temple.
Comme tout le peuple venait à lui,
il s’assit et se mit à enseigner.
    Les scribes et les pharisiens lui amènent une femme
qu’on avait surprise en situation d’adultère.
Ils la mettent au milieu,
    et disent à Jésus :
« Maître, cette femme
a été surprise en flagrant délit d’adultère.
    Or, dans la Loi, Moïse nous a ordonné
de lapider ces femmes-là.
Et toi, que dis-tu ? »
    Ils parlaient ainsi pour le mettre à l’épreuve,
afin de pouvoir l’accuser.
Mais Jésus s’était baissé
et, du doigt, il écrivait sur la terre.
    Comme on persistait à l’interroger,
il se redressa et leur dit :
« Celui d’entre vous qui est sans péché,
qu’il soit le premier à lui jeter une pierre. »
    Il se baissa de nouveau
et il écrivait sur la terre.
    Eux, après avoir entendu cela,
s’en allaient un par un,
en commençant par les plus âgés.
Jésus resta seul avec la femme toujours là au milieu.
    Il se redressa et lui demanda :
« Femme, où sont-ils donc ?
Personne ne t’a condamnée ? »
    Elle répondit :
« Personne, Seigneur. »
Et Jésus lui dit :
« Moi non plus, je ne te condamne pas.
Va, et désormais ne pèche plus. »


    – Acclamons la Parole de Dieu.



Source : http://www.aelf.org/

10 mars 2016

Rencontre de Carême

DSC_0133


Rencontre de Carême
autour de l’encyclique Laudato Si’


avec Jean-Claude Pierre

mardi 15 mars - 20h30
salle Ninnoch
(rue du Fort-Bloqué)


Jean-Claude Pierre :
Issu du mouvement coopératif, militant écologiste de la 1ère heure, il a contribué à fonder l'association "Eau et Rivières de Bretagne" en 1969, puis "Nature & Culture", "Cohérence" et "L'institut de Silfiac". Ses articles, ses livres, ses interventions et ses conférences apportent sa contribution à l'éveil d'une conscience planétaire et à la promotion d'un mode de développement respectueux de la planète, des Hommes et de la biodiversité.

7 mars 2016

Comment la liturgie peut être une catéchèse ?

 

Formation pour tous les acteurs de la liturgiepere guiziou

Comment la liturgie
peut être une catéchèse ? 

Par le père Sébastien Guiziou
responsable de la liturgie du diocèse de Quimper

Jeudi 10 mars – de 20h00 à 22h00 – salle Ninnoch
(rue du Fort-Bloqué)

6 mars 2016

Le sacrement de réconciliation


Le sacrement de réconciliation, sacrement de la Miséricorde
Conférence du P. Sébastien Guiziou

 

 

 

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4 mars 2016

Dimanche 6 mars - 4ème dimanche de Carême de Lætare

Dimanche 6 mars  - 4ème dimanche de Carême de Lætare


1ère lecture : L’arrivée du peuple de Dieu en Terre Promise et la célébration de la Pâque (Jos 5, 9a.10-12)

Lecture du livre de Josué

En ces jours-là,
le Seigneur dit à Josué :

« Aujourd'hui, j'ai enlevé de vous le déshonneur de l'Égypte. »

 Les fils d’Israël campèrent à Guilgal
et célébrèrent la Pâque le quatorzième jour du mois,
vers le soir, dans la plaine de Jéricho.
    Le lendemain de la Pâque,
en ce jour même,
ils mangèrent les produits de cette terre :
des pains sans levain et des épis grillés.
    À partir de ce jour, la manne cessa de tomber,
puisqu’ils mangeaient des produits de la terre.
Il n’y avait plus de manne pour les fils d’Israël,
qui mangèrent cette année-là
ce qu’ils récoltèrent sur la terre de Canaan.


    – Parole du Seigneur.

Psaume : Ps 33 (34), 2-3, 4-5, 6-7

R/

Goûtez et voyez
comme est bon le Seigneur !

(cf. Ps 33, 9a)

Je bénirai le Seigneur en tout temps,
sa louange sans cesse à mes lèvres.
Je me glorifierai dans le Seigneur :
que les pauvres m’entendent et soient en fête !

 

Magnifiez avec moi le Seigneur,
exaltons tous ensemble son nom.
Je cherche le Seigneur, il me répond :
de toutes mes frayeurs, il me délivre.

 

Qui regarde vers lui resplendira,
sans ombre ni trouble au visage.
Un pauvre crie ; le Seigneur entend :
il le sauve de toutes ses angoisses.

2ème lecture : « Dieu nous a réconciliés avec lui par le Christ » (2 Co 5, 17-21)

Lecture de la deuxième lettre de saint Paul apôtre aux Corinthiens

Frères,
    si quelqu’un est dans le Christ,
il est une créature nouvelle.
Le monde ancien s’en est allé,
un monde nouveau est déjà né.
    Tout cela vient de Dieu :
il nous a réconciliés avec lui par le Christ,
et il nous a donné le ministère de la réconciliation.
    Car c’est bien Dieu
qui, dans le Christ, réconciliait le monde avec lui :
il n’a pas tenu compte des fautes,
et il a déposé en nous la parole de la réconciliation.
    Nous sommes donc les ambassadeurs du Christ,
et par nous c’est Dieu lui-même qui lance un appel :
nous le demandons au nom du Christ,
laissez-vous réconcilier avec Dieu.
    Celui qui n’a pas connu le péché,
Dieu l’a pour nous identifié au péché,
afin qu’en lui nous devenions justes
de la justice même de Dieu.


    – Parole du Seigneur.

Evangile : « Ton frère que voilà était mort, et il est revenu à la vie » (Lc 15, 1-3.11-32)

    Acclamation :

    Gloire et louange à toi, Seigneur Jésus.
    Je me lèverai, j’irai vers mon père,
    et je lui dirai :
    Père, j’ai péché contre le ciel et envers toi.
    Gloire et louange à toi, Seigneur Jésus.
    (Lc 15, 18)


Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

En ce temps-là,
    les publicains et les pécheurs
venaient tous à Jésus pour l’écouter.
    Les pharisiens et les scribes récriminaient contre lui :
« Cet homme fait bon accueil aux pécheurs,
et il mange avec eux ! »
    Alors Jésus leur dit cette parabole :
    « Un homme avait deux fils.
    Le plus jeune dit à son père :
‘Père, donne-moi la part de fortune qui me revient.’
Et le père leur partagea ses biens.
    Peu de jours après,
le plus jeune rassembla tout ce qu’il avait,     
et partit pour un pays lointain
où il dilapida sa fortune en menant une vie de désordre.
    Il avait tout dépensé,
quand une grande famine survint dans ce pays,
et il commença à se trouver dans le besoin.
    Il alla s’engager auprès d’un habitant de ce pays,
qui l’envoya dans ses champs garder les porcs.
    Il aurait bien voulu se remplir le ventre
avec les gousses que mangeaient les porcs,
mais personne ne lui donnait rien.
    Alors il rentra en lui-même et se dit :
‘Combien d’ouvriers de mon père ont du pain en abondance,
et moi, ici, je meurs de faim !
    Je me lèverai, j’irai vers mon père,
et je lui dirai :
Père, j’ai péché contre le ciel et envers toi.
    Je ne suis plus digne d’être appelé ton fils.
Traite-moi comme l’un de tes ouvriers.’
    Il se leva et s’en alla vers son père.
Comme il était encore loin,
son père l’aperçut et fut saisi de compassion ;
il courut se jeter à son cou
et le couvrit de baisers.
    Le fils lui dit :
‘Père, j’ai péché contre le ciel et envers toi.
Je ne suis plus digne d’être appelé ton fils.’
    Mais le père dit à ses serviteurs :
‘Vite, apportez le plus beau vêtement pour l’habiller,
mettez-lui une bague au doigt et des sandales aux pieds,
    allez chercher le veau gras, tuez-le,
mangeons et festoyons,
    car mon fils que voilà était mort,
et il est revenu à la vie ;
il était perdu,
et il est retrouvé.’
Et ils commencèrent à festoyer.


    Or le fils aîné était aux champs.
Quand il revint et fut près de la maison,
il entendit la musique et les danses.
    Appelant un des serviteurs,
il s’informa de ce qui se passait.
    Celui-ci répondit :
‘Ton frère est arrivé,
et ton père a tué le veau gras,
parce qu’il a retrouvé ton frère en bonne santé.’
    Alors le fils aîné se mit en colère,
et il refusait d’entrer.
Son père sortit le supplier.
    Mais il répliqua à son père :
‘Il y a tant d’années que je suis à ton service
sans avoir jamais transgressé tes ordres,
et jamais tu ne m’as donné un chevreau
pour festoyer avec mes amis.
    Mais, quand ton fils que voilà est revenu
après avoir dévoré ton bien avec des prostituées,
tu as fait tuer pour lui le veau gras !’
    Le père répondit :
‘Toi, mon enfant, tu es toujours avec moi,
et tout ce qui est à moi est à toi.
    Il fallait festoyer et se réjouir ;
car ton frère que voilà était mort,
et il est revenu à la vie ;
il était perdu,
et il est retrouvé ! »


    – Acclamons la Parole de Dieu.

 

Source : http://www.aelf.org/

 

 

 

29 février 2016

Retraite dans la vie


La montée de Jésus à Jérusalem

Aménager une retraite spirituelle dans mon quotidien.
la montée de jésus vers jérusalemPour toute personne des paroisses de Ploemeur et Larmor.

Deux propositions :

1) Enseignement du lundi 29 février au vendredi 4 mars de 20h30 à 21h30 par le Père Ivan Brient - Eglise de Larmor-Plage
2) Partage d'Evangile du mardi 1er mars au jeudi 3 mars à 16h00 par le Père Pierre Lanco - salle paroissiale de Larmor-Plage (durée : 45 min).

Il est préférable de s'inscrire auprès de l'accueil des presbytères (Ploemeur ou Larmor-Plage)

28 février 2016

Repas de la paroisse

Dimanche 13 mars 2016 - Salle Ninnoch - rue du Fort-Bloqué

gif cuisineAu programme :
- A partir de 12 h 00, apéritif stands enveloppes
- 12 h 30, repas du pêcheur
- 15 h, tirage de la souscription volontaire.

Le menu, concocté par Yves Poulhazan et son équipe : soupe de poissons / merlu - mayonnaise - pommes de terre / fromage / dessert du chef.

Tarif 14€ / adulte - enfant : 5 € - forfait famille : 32 €. Inscription avant le jeudi 10 mars.

Contact et réservation : tél. 02 97 86 32 62.

26 février 2016

Dimanche 28 février 2016 - 3ème dimanche de Carême

Dimanche 28 février 2016 - 3ème dimanche de Carême


1ère lecture : « Celui qui m’a envoyé vers vous, c’est : Je-suis » (Ex 3, 1-8a.10.13-15)

Lecture du livre de l’Exode

En ces jours-là,
    Moïse était berger du troupeau de son beau-père Jéthro,
prêtre de Madiane.
Il mena le troupeau au-delà du désert
et parvint à la montagne de Dieu, à l’Horeb.
    L’ange du Seigneur lui apparut
dans la flamme d’un buisson en feu.
Moïse regarda : le buisson brûlait
sans se consumer.
    Moïse se dit alors :
« Je vais faire un détour
pour voir cette chose extraordinaire :
pourquoi le buisson ne se consume-t-il pas ? »
    Le Seigneur vit qu’il avait fait un détour pour voir,
et Dieu l’appela du milieu du buisson :
« Moïse ! Moïse ! »
Il dit :
« Me voici ! »
    Dieu dit alors :
« N’approche pas d’ici !
Retire les sandales de tes pieds,
car le lieu où tu te tiens est une terre sainte ! »
    Et il déclara :
« Je suis le Dieu de ton père,
le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac, le Dieu de Jacob. »
Moïse se voila le visage
car il craignait de porter son regard sur Dieu.
    Le Seigneur dit :
« J’ai vu, oui, j’ai vu la misère de mon peuple
qui est en Égypte,
et j’ai entendu ses cris sous les coups des surveillants.
Oui, je connais ses souffrances.
    Je suis descendu pour le délivrer de la main des Égyptiens
et le faire monter de ce pays
vers un beau et vaste pays,
vers un pays, ruisselant de lait et de miel.
    Maintenant donc, va !
Je t’envoie chez Pharaon :
tu feras sortir d’Égypte mon peuple, les fils d’Israël. »
    Moïse répondit à Dieu :
« J’irai donc trouver les fils d’Israël, et je leur dirai :
‘Le Dieu de vos pères m’a envoyé vers vous.’
Ils vont me demander quel est son nom ;
que leur répondrai-je ? »
    Dieu dit à Moïse :
« Je suis qui je suis.
Tu parleras ainsi aux fils d’Israël :
‘Celui qui m’a envoyé vers vous, c’est : Je-suis’. »
    Dieu dit encore à Moïse :
« Tu parleras ainsi aux fils d’Israël :
‘Celui qui m’a envoyé vers vous,
c’est Le Seigneur,
le Dieu de vos pères,
le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac, le Dieu de Jacob’.
C’est là mon nom pour toujours,
c’est par lui que vous ferez mémoire de moi, d’âge en d’âge. »


    – Parole du Seigneur.

Psaume : Ps 102 (103), 1-2, 3-4, 6-7, 8.11

R/

Le Seigneur est tendresse et pitié.

(Ps 102, 8a)

Bénis le Seigneur, ô mon âme,
bénis son nom très saint, tout mon être !
Bénis le Seigneur, ô mon âme,
n’oublie aucun de ses bienfaits !

 

Car il pardonne toutes tes offenses
et te guérit de toute maladie ;
il réclame ta vie à la tombe
et te couronne d’amour et de tendresse.

 

Le Seigneur fait œuvre de justice,
il défend le droit des opprimés.
Il révèle ses desseins à Moïse,
aux enfants d’Israël ses hauts faits.

 

Le Seigneur est tendresse et pitié,
lent à la colère et plein d’amour ;
Comme le ciel domine la terre,
fort est son amour pour qui le craint.

2ème lecture : La vie de Moïse avec le peuple au désert, l’Écriture l’a racontée pour nous avertir (1 Co 10, 1-6.10-12)

Lecture de la première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens

Frères,
je ne voudrais pas vous laisser ignorer
que, lors de la sortie d’Égypte,
nos pères étaient tous sous la protection de la nuée,
et que tous ont passé à travers la mer.
    Tous, ils ont été unis à Moïse par un baptême
dans la nuée et dans la mer ;
    tous, ils ont mangé la même nourriture spirituelle ;
    tous, ils ont bu la même boisson spirituelle ;
car ils buvaient à un rocher spirituel qui les suivait,
et ce rocher, c’était le Christ.
    Cependant, la plupart n’ont pas su plaire à Dieu :
leurs ossements, en effet, jonchèrent le désert.
    Ces événements devaient nous servir d’exemple,
pour nous empêcher de désirer ce qui est mal
comme l’ont fait ces gens-là.
    Cessez de récriminer
comme l’ont fait certains d’entre eux :
ils ont été exterminés.
    Ce qui leur est arrivé devait servir d’exemple,
et l’Écriture l’a raconté pour nous avertir,
nous qui nous trouvons à la fin des temps.
    Ainsi donc, celui qui se croit solide,
qu’il fasse attention à ne pas tomber.


    – Parole du Seigneur.

Evangile : « Si vous ne vous convertissez pas, vous périrez tous de même » (Lc 13, 1-9)

    Acclamation :

    Gloire au Christ,
    Sagesse éternelle du Dieu vivant.
    Gloire à toi, Seigneur.
    Convertissez-vous, dit le Seigneur,
    car le royaume des Cieux est tout proche.
    Gloire au Christ,
    Sagesse éternelle du Dieu vivant.
    Gloire à toi, Seigneur.
    (Mt 4, 17)


Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

Un jour, des gens rapportèrent à Jésus l’affaire des Galiléens
que Pilate avait fait massacrer,
mêlant leur sang à celui des sacrifices qu’ils offraient.
    Jésus leur répondit :
« Pensez-vous que ces Galiléens
étaient de plus grands pécheurs
que tous les autres Galiléens,
pour avoir subi un tel sort ?
    Eh bien, je vous dis : pas du tout !
Mais si vous ne vous convertissez pas,
vous périrez tous de même.
    Et ces dix-huit personnes
tuées par la chute de la tour de Siloé,
pensez-vous qu’elles étaient plus coupables
que tous les autres habitants de Jérusalem ?
    Eh bien, je vous dis : pas du tout !
Mais si vous ne vous convertissez pas,
vous périrez tous de même. »
    Jésus disait encore cette parabole :
« Quelqu’un avait un figuier planté dans sa vigne.
Il vint chercher du fruit sur ce figuier,
et n’en trouva pas.
    Il dit alors à son vigneron :
‘Voilà trois ans que je viens
chercher du fruit sur ce figuier,
et je n’en trouve pas.
Coupe-le. À quoi bon le laisser épuiser le sol ?’
    Mais le vigneron lui répondit :
‘Maître, laisse-le encore cette année,
le temps que je bêche autour
pour y mettre du fumier.
    Peut-être donnera-t-il du fruit à l’avenir.
Sinon, tu le couperas.’ »


    – Acclamons la Parole de Dieu.


 

Source : http://www.aelf.org/

20 février 2016

La vierge métisse de Guadalupe

A l'occasion de son voyage au Mexique, le pape François a prié la vierge métisse de Guadalupe dans son sanctuaire, le samedi 13 février dernier. Ci-après, éditorial de Marc Messier, journaliste à Europe 1.

"Le mystère reste entier, mais la madone Lupita et sa relique ont donné aux peuples du Mexique une raison de s'unir.

On n'a jamais su d'où elle était sortie, une drôle de vierge, ni blanche ni noire, une vierge métisse. Une étrange déesse à la peau bronzée, aux cheveux noirs de jais coiffés à l'aztèque. Une tenue bleu-vert constellée de fleurs et d'étoiles d'or : une inconnue dans l'imagerie chrétienne de la Renaissance. On tient son portrait d'une tunique, son visage a été fixé sur le manteau que portait Juan Diego, le paysan indien qui la vu un jour de Décembre de l'an de grâce 1531. Une apparition sur le mont Tepeyac, une colline de Tenochtitlan, l'ancienne capitale de l'empire aztèque, devenue Mexico sous l'épée sanglante de Hermann Cortes et de ses conquistadors. Le pays soumis, l'or pillé, le serpent à plumes brûlé, comme tous ses autres frères Nahuas, Juan Diego a abjuré ses idoles et s'est converti au christianisme. Pas le choix, c'était le crucifix ou la mort.

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Le berger a 57 ans, nous sommes le 9 Décembre 1531. Cet hiver, la terre du mont Tepeyac est toute dure. Juan Diego se rend au marché comme souvent, quand une voix l'interpelle par son prénom. Il se retourne et là elle apparaît : une jeune dame brune éblouissante de lumière. Le pauvre bougre croit halluciner, elle lui demande de bâtir un temple pour recueillir les pleurs des Indigènes. Le berger tout chamboulé fonce vers l'évêque, qui n'en croit pas un mot. Quelques jours plus tard il se rend chez un vieil oncle qui est en train de mourir. Pour éviter de la croiser, il change de chemin. Cela n'y fait rien, la dame lui apparaît encore. Il lui explique que l'évêque n'a pas cru à leur rencontre. La dame va lui donner une preuve : des roses qui fleurissent par miracle sur la colline en plein hiver. Juan les recueille délicatement dans son manteau, le primat espagnol est bouleversé. Sur le fond de la tunique, une madone est inexplicablement imprimé dessus. Un tissu intact 485 ans plus tard, un phénomène incroyable pour une tunique faite de chanvre et d'agave qui aurait du être détruite par le temps. Un tissu miraculeusement reconstitué après une brûlure d'acide accidentelle au 18ème siècle, et qui est sortie indemne d'un attentat à la dynamite d'un anarchiste. La tunique a été examiné sous toutes les coutures par des experts du monde : impossible d'expliquer la nature des pigments de l'impression de la dame qui ne comporte aucune trace de pinceau. La température de la relique conserve en permanence celle du corps humain. Il y a aussi le regard de cette femme d'une stupéfiante humanité.

En grossissant ses yeux plusieurs milliers de fois, on y découvre parait-il des silhouettes, dont celle de Juan Diego et de l'évêque. Les détracteurs du merveilleux voient dans cette icône une supercherie pour embobiner les Aztèques qui s'accrochaient à leur divinité païenne. Au delà des controverses, la vierge de Guadalupe, Lupita la petite mère, est celle qui rassemble les Mexicains depuis un demi-millénaire. Portée par les guérilleros de Zapata en étendard, la vierge métisse aura réussi l'alliance entre les idoles des uns et le dieu des autres, entre les cultures anciennes et les traditions d'aujourd'hui. Un miracle sans doute, une belle histoire assurément".

Marc Messier
Europe 1
Le 14/02/2016

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