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27 mai 2016

Dimanche 29 mai 2016 - Le Saint Sacrement - Solennité du Seigneur

Dimanche 29 mai 2016 - Le Saint Sacrement - Solennité du Seigneur


1ère lecture : Melkisédek offre le pain et le vin (Gn 14, 18-20)

Lecture du livre de la Genèse

En ces jours-là,
    Melkisédek, roi de Salem,
fit apporter du pain et du vin :
il était prêtre du Dieu très-haut.
    Il bénit Abram en disant :
« Béni soit Abram par le Dieu très-haut,
qui a fait le ciel et la terre ;
    et béni soit le Dieu très-haut,
qui a livré tes ennemis entre tes mains. »
Et Abram lui donna le dixième de tout ce qu’il avait pris.


    – Parole du Seigneur.

Psaume : Ps 109 (110), 1, 2, 3, 4

R/

Tu es prêtre à jamais,
selon l’ordre de Melkisédek.

(cf. Ps 109, 4)

Oracle du Seigneur à mon seigneur :
« Siège à ma droite,
et je ferai de tes ennemis

le marchepied de ton trône. »

 

De Sion, le Seigneur te présente
le sceptre de ta force :
« Domine jusqu’au cœur de l’ennemi. »

 

Le jour où paraît ta puissance,
tu es prince, éblouissant de sainteté :
« Comme la rosée qui naît de l’aurore,

je t’ai engendré. »

 

Le Seigneur l’a juré

dans un serment irrévocable :
« Tu es prêtre à jamais
selon l’ordre du roi Melkisédek. »

2ème lecture : « Chaque fois que vous mangez ce pain et buvez cette coupe, vous proclamez la mort du Seigneur » (1 Co 11, 23-26)

Lecture de la première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens

Frères
    j’ai moi-même reçu ce qui vient du Seigneur,
et je vous l’ai transmis :
la nuit où il était livré,
le Seigneur Jésus prit du pain,
    puis, ayant rendu grâce,
il le rompit, et dit :
« Ceci est mon corps, qui est pour vous.
Faites cela en mémoire de moi. »
    Après le repas, il fit de même avec la coupe,
en disant :
« Cette coupe est la nouvelle Alliance en mon sang.
Chaque fois que vous en boirez,
faites cela en mémoire de moi. »
    Ainsi donc, chaque fois que vous mangez ce pain
et que vous buvez cette coupe,
vous proclamez la mort du Seigneur,
jusqu’à ce qu’il vienne.


    – Parole du Seigneur.

Séquence : ()

« Lauda Sion » (ad libitum)

Evangile : « Ils mangèrent et ils furent tous rassasiés » (Lc 9, 11b-17)

    Acclamation :

    Alléluia. Alléluia.
    Moi, je suis le pain vivant qui est descendu du ciel, dit le Seigneur ;
    si quelqu’un mange de ce pain, il vivra éternellement.
    Alléluia.
    (Jn 6, 51)


Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

En ce temps-là,
    Jésus parlait aux foules du règne de Dieu,
et guérissait ceux qui en avaient besoin.
    Le jour commençait à baisser.
Alors les Douze s’approchèrent de lui et lui dirent :
« Renvoie cette foule :
qu’ils aillent dans les villages et les campagnes des environs
afin d’y loger et de trouver des vivres ;
ici nous sommes dans un endroit désert. »
    Mais il leur dit :
« Donnez-leur vous-mêmes à manger. »
Ils répondirent :
« Nous n’avons pas plus de cinq pains et deux poissons.
À moins peut-être d’aller nous-mêmes acheter de la nourriture
pour tout ce peuple. »
    Il y avait environ cinq mille hommes.
Jésus dit à ses disciples :
« Faites-les asseoir par groupes de cinquante environ. »
    Ils exécutèrent cette demande
et firent asseoir tout le monde.
    Jésus prit les cinq pains et les deux poissons,
et, levant les yeux au ciel,
il prononça la bénédiction sur eux,
les rompit
et les donna à ses disciples
pour qu’ils les distribuent à la foule.
    Ils mangèrent et ils furent tous rassasiés ;
puis on ramassa les morceaux qui leur restaient :
cela faisait douze paniers.


    – Acclamons la Parole de Dieu.


Source : http://www.aelf.org/

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20 août 2016

Dimanche 21 août 2016 - 21ème dimanche du Temps Ordinaire

Dimanche 21 août  2016 -  21ème dimanche du Temps Ordinaire



1ère lecture : « De toutes les nations, ils ramèneront tous vos frères » (Is 66, 18-21)

Lecture du livre du prophète Isaïe

Ainsi parle le Seigneur :
    connaissant leurs actions et leurs pensées,
moi, je viens rassembler toutes les nations,
de toute langue.
Elles viendront et verront ma gloire :
    je mettrai chez elles un signe !
Et, du milieu d’elles, j’enverrai des rescapés
vers les nations les plus éloignées,
vers les îles lointaines
qui n’ont rien entendu de ma renommée,
qui n’ont pas vu ma gloire ;
ma gloire, ces rescapés l’annonceront
parmi les nations.
    Et, de toutes les nations, ils ramèneront tous vos frères,
en offrande au Seigneur,
sur des chevaux et des chariots, en litière,
à dos de mulets et de dromadaires,
jusqu’à ma montagne sainte, à Jérusalem,
– dit le Seigneur.
On les portera comme l’offrande qu’apportent les fils d’Israël,
dans des vases purs, à la maison du Seigneur.
    Je prendrai même des prêtres et des lévites parmi eux,
– dit le Seigneur.


    – Parole du Seigneur.

Psaume : Ps 116 (117), 1, 2

R/

Allez dans le monde entier.
Proclamez l’Évangile.
ou :

Alléluia !

(Mc 16, 15)

Louez le Seigneur, tous les peuples ;
fêtez-le, tous les pays !

 

Son amour envers nous s’est montré le plus fort ;
éternelle est la fidélité du Seigneur !

2ème lecture : « Quand Dieu aime quelqu’un, il lui donne de bonnes leçons » (He 12, 5-7.11-13)

Lecture de la lettre aux Hébreux

Frères,
    vous avez oublié cette parole de réconfort,
qui vous est adressée comme à des fils :
Mon fils, ne néglige pas les leçons du Seigneur,
ne te décourage pas quand il te fait des reproches.
    Quand le Seigneur aime quelqu’un,
il lui donne de bonnes leçons ;
il corrige tous ceux qu’il accueille comme ses fils.
    Ce que vous endurez est une leçon.
Dieu se comporte envers vous comme envers des fils ;
et quel est le fils auquel son père ne donne pas des leçons ?
    Quand on vient de recevoir une leçon,
on n’éprouve pas de la joie mais plutôt de la tristesse.
Mais plus tard, quand on s’est repris grâce à la leçon,
celle-ci produit un fruit de paix et de justice.
    C’est pourquoi,
redressez les mains inertes et les genoux qui fléchissent,
    et rendez droits pour vos pieds les sentiers tortueux.
Ainsi, celui qui boite ne se fera pas d’entorse ;
bien plus, il sera guéri.


    – Parole du Seigneur.

Evangile : « On viendra de l’orient et de l’occident prendre place au festin dans le royaume de Dieu » (Lc 13, 22-30)

    Acclamation :

    Alléluia. Alléluia.
    Moi, je suis le Chemin, la Vérité et la Vie, dit le Seigneur ;
    personne ne va vers le Père sans passer par moi.
    Alléluia.
    (Jn 14, 6)


Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

En ce temps-là,
    tandis qu’il faisait route vers Jérusalem,
Jésus traversait villes et villages en enseignant.
    Quelqu’un lui demanda :
« Seigneur, n’y a-t-il que peu de gens qui soient sauvés ? »
Jésus leur dit :
    « Efforcez-vous d’entrer par la porte étroite,
car, je vous le déclare,
beaucoup chercheront à entrer
et n’y parviendront pas.
    Lorsque le maître de maison se sera levé
pour fermer la porte,
si vous, du dehors, vous vous mettez à frapper à la porte,
en disant :
‘Seigneur, ouvre-nous’,
il vous répondra :
‘Je ne sais pas d’où vous êtes.’
    Alors vous vous mettrez à dire :
‘Nous avons mangé et bu en ta présence,
et tu as enseigné sur nos places.’
    Il vous répondra :
‘Je ne sais pas d’où vous êtes.
Éloignez-vous de moi,
vous tous qui commettez l’injustice.’
    Là, il y aura des pleurs et des grincements de dents,
quand vous verrez Abraham, Isaac et Jacob,
et tous les prophètes
dans le royaume de Dieu,
et que vous-mêmes, vous serez jetés dehors.
    Alors on viendra de l’orient et de l’occident,
du nord et du midi,
prendre place au festin dans le royaume de Dieu.
    Oui, il y a des derniers qui seront premiers,
et des premiers qui seront derniers. »


    – Acclamons la Parole de Dieu.


Source : http://www.aelf.org/ 

16 septembre 2016

Dimanche 18 septembre 2016 - 25ème dimanche du Temps Ordinaire

 

Dimanche 18 septembre  2016 - 25ème dimanche du Temps Ordinaire


1ère lecture : Contre ceux qui « achètent le faible pour un peu d’argent » (Am 8, 4-7)

Lecture du livre du prophète Amos

Écoutez ceci, vous qui écrasez le malheureux
pour anéantir les humbles du pays,
    car vous dites :
« Quand donc la fête de la nouvelle lune sera-t-elle passée,
pour que nous puissions vendre notre blé ?
Quand donc le sabbat sera-t-il fini,
pour que nous puissions écouler notre froment ?
Nous allons diminuer les mesures,
augmenter les prix et fausser les balances.
    Nous pourrons acheter le faible pour un peu d’argent,
le malheureux pour une paire de sandales.
Nous vendrons jusqu’aux déchets du froment ! »
    Le Seigneur le jure par la Fierté de Jacob :
Non, jamais je n’oublierai aucun de leurs méfaits.


    – Parole du Seigneur.

Psaume : Ps 112 (113), 1-2, 5-6, 7-8

R/

Louez le nom du Seigneur :
de la poussière il relève le faible.
ou :

Alléluia !

(Ps 112, 1b.7a)

Louez, serviteurs du Seigneur,
louez le nom du Seigneur !
Béni soit le nom du Seigneur,
maintenant et pour les siècles des siècles !

 

Qui est semblable au Seigneur notre Dieu ?
Lui, il siège là-haut.
Mais il abaisse son regard
vers le ciel et vers la terre.

 

De la poussière il relève le faible,
il retire le pauvre de la cendre
pour qu’il siège parmi les princes,
parmi les princes de son peuple.

2ème lecture : « J’encourage à faire des prières pour tous les hommes à Dieu qui veut que tous les hommes soient sauvés » (1 Tm 2, 1-8)

Lecture de la première lettre de saint Paul apôtre à Timothée

Bien-aimé,
    j’encourage, avant tout,
à faire des demandes, des prières,
des intercessions et des actions de grâce
pour tous les hommes,
    pour les chefs d’État et tous ceux qui exercent l’autorité,
afin que nous puissions mener notre vie
dans la tranquillité et le calme,
 en toute piété et dignité.
    Cette prière est bonne et agréable
à Dieu notre Sauveur,
    car il veut que tous les hommes soient sauvés
et parviennent à la pleine connaissance de la vérité.
    En effet, il n’y a qu’un seul Dieu,
il n’y a aussi qu’un seul médiateur entre Dieu et les hommes :
un homme, le Christ Jésus,
    qui s’est donné lui-même
en rançon pour tous.
Aux temps fixés, il a rendu ce témoignage,
    pour lequel j’ai reçu la charge de messager et d’apôtre
– je dis vrai, je ne mens pas –
moi qui enseigne aux nations la foi et la vérité.
    Je voudrais donc qu’en tout lieu les hommes prient
en élevant les mains,
saintement, sans colère ni dispute.


    – Parole du Seigneur.

Evangile : « Vous ne pouvez pas servir à la fois Dieu et l’argent » (Lc 16, 1-13)

    Acclamation :

    Alléluia. Alléluia.
    Jésus Christ s’est fait pauvre, lui qui était riche,
    pour que vous deveniez riches par sa pauvreté.
    Alléluia.
    (cf. 2 Co 8, 9)


Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

En ce temps-là,
    Jésus disait à ses disciples :
« Un homme riche avait un gérant
qui lui fut dénoncé comme dilapidant ses biens.
    Il le convoqua et lui dit :
‘Qu’est-ce que j’apprends à ton sujet ?
Rends-moi les comptes de ta gestion,
car tu ne peux plus être mon gérant.’
    Le gérant se dit en lui-même :
‘Que vais-je faire,
puisque mon maître me retire la gestion ?
Travailler la terre ? Je n’en ai pas la force.
Mendier ? J’aurais honte.
    Je sais ce que je vais faire,
pour qu’une fois renvoyé de ma gérance,
des gens m’accueillent chez eux.’
    Il fit alors venir, un par un,
ceux qui avaient des dettes envers son maître.
Il demanda au premier :
‘Combien dois-tu à mon maître ?’
    Il répondit :
‘Cent barils d’huile.’
Le gérant lui dit :
‘Voici ton reçu ;
vite, assieds-toi et écris cinquante.’
    Puis il demanda à un autre :
‘Et toi, combien dois-tu ?’
Il répondit :
‘Cent sacs de blé.’
Le gérant lui dit :
‘Voici ton reçu, écris 80’.

    Le maître fit l’éloge de ce gérant malhonnête
car il avait agi avec habileté ;
en effet, les fils de ce monde sont plus habiles entre eux
que les fils de la lumière.
    Eh bien moi, je vous le dis :
Faites-vous des amis avec l’argent malhonnête,
afin que, le jour où il ne sera plus là,
ces amis vous accueillent dans les demeures éternelles.


    Celui qui est digne de confiance dans la moindre chose
est digne de confiance aussi dans une grande.
Celui qui est malhonnête dans la moindre chose
est malhonnête aussi dans une grande.
    Si donc vous n’avez pas été dignes de confiance pour l’argent malhonnête,
qui vous confiera le bien véritable ?
    Et si, pour ce qui est à autrui, vous n’avez pas été dignes de confiance,
ce qui vous revient, qui vous le donnera ?
    Aucun domestique ne peut servir deux maîtres :
ou bien il haïra l’un et aimera l’autre,
ou bien il s’attachera à l’un et méprisera l’autre.
Vous ne pouvez pas servir à la fois Dieu et l’argent. »


    – Acclamons la Parole de Dieu.

 

OU LECTURE BREVE

Evangile : « Vous ne pouvez pas servir à la fois Dieu et l’argent » (Lc 16, 10-13)

    Acclamation :


Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

En ce temps-là,
    Jésus disait à ses disciples :
    « Celui qui est digne de confiance dans la moindre chose
est digne de confiance aussi dans une grande.
Celui qui est malhonnête dans la moindre chose
est malhonnête aussi dans une grande.
    Si donc vous n’avez pas été dignes de confiance pour l’argent malhonnête,
qui vous confiera le bien véritable ?
    Et si, pour ce qui est à autrui, vous n’avez pas été dignes de confiance,
ce qui vous revient, qui vous le donnera ?
    Aucun domestique ne peut servir deux maîtres :
ou bien il haïra l’un et aimera l’autre,
ou bien il s’attachera à l’un et méprisera l’autre.
Vous ne pouvez pas servir à la fois Dieu et l’argent. »


    – Acclamons la Parole de Dieu.



Source : http://www.aelf.org/ 

 


2 septembre 2016

Dimanche 4 septembre 2016 - 23ème dimanche du Temps Ordinaire

 

Dimanche 4 septembre  2016 - 23ème dimanche du Temps Ordinaire


1ère lecture : « Qui peut comprendre les volontés du Seigneur ? » (Sg 9, 13-18)

Lecture du livre de la Sagesse

Quel homme peut découvrir les intentions de Dieu ?
Qui peut comprendre les volontés du Seigneur ?
    Les réflexions des mortels sont incertaines,
et nos pensées, instables ;
    car un corps périssable appesantit notre âme,
et cette enveloppe d’argile
alourdit notre esprit aux mille pensées.
    Nous avons peine à nous représenter ce qui est sur terre,
et nous trouvons avec effort ce qui est à notre portée ;
ce qui est dans les cieux, qui donc l’a découvert ?
    Et qui aurait connu ta volonté,
si tu n’avais pas donné la Sagesse
et envoyé d’en haut ton Esprit Saint ?
    C’est ainsi que les sentiers des habitants de la terre
sont devenus droits ;
c’est ainsi que les hommes ont appris ce qui te plaît
et, par la Sagesse, ont été sauvés.


    – Parole du Seigneur.

Psaume : Ps 89 (90), 3-4, 5-6, 12-13, 14.17abc

R/

D’âge en âge, Seigneur,
tu as été notre refuge.

(Ps 89, 1)

Tu fais retourner l’homme à la poussière ;
tu as dit : « Retournez, fils d’Adam ! »
À tes yeux, mille ans sont comme hier,
c’est un jour qui s’en va, une heure dans la nuit.

 

Tu les as balayés : ce n’est qu’un songe ;
dès le matin, c’est une herbe changeante :
elle fleurit le matin, elle change ;
le soir, elle est fanée, desséchée.

 

Apprends-nous la vraie mesure de nos jours :
que nos cœurs pénètrent la sagesse.
Reviens, Seigneur, pourquoi tarder ?
Ravise-toi par égard pour tes serviteurs.

 

Rassasie-nous de ton amour au matin,
que nous passions nos jours dans la joie et les chants.
Que vienne sur nous la douceur du Seigneur notre Dieu !
Consolide pour nous l’ouvrage de nos mains.

2ème lecture : « Accueille-le, non plus comme un esclave, mais comme un frère bien-aimé » (Phm 9b-10.12-17)

Lecture de la lettre de saint Paul apôtre à Philémon

Bien-aimé,
    moi, Paul, tel que je suis, un vieil homme
et, qui plus est, prisonnier maintenant à cause du Christ Jésus,
    j’ai quelque chose à te demander pour Onésime,
mon enfant à qui, en prison, j’ai donné la vie dans le Christ.
    Je te le renvoie,
lui qui est comme mon cœur.
    Je l’aurais volontiers gardé auprès de moi,
pour qu’il me rende des services en ton nom,
à moi qui suis en prison à cause de l’Évangile.
    Mais je n’ai rien voulu faire sans ton accord,
pour que tu accomplisses ce qui est bien,
non par contrainte mais volontiers.
    S’il a été éloigné de toi pendant quelque temps,
c’est peut-être pour que tu le retrouves définitivement,
    non plus comme un esclave,
mais, mieux qu’un esclave, comme un frère bien-aimé :
il l’est vraiment pour moi,
combien plus le sera-t-il pour toi,
aussi bien humainement que dans le Seigneur.
    Si donc tu estimes que je suis en communion avec toi,
accueille-le comme si c’était moi.


    – Parole du Seigneur.

Evangile : « Celui qui ne renonce pas à tout ce qui lui appartient ne peut pas être mon disciple » (Lc 14, 25-33)

    Acclamation :

    Alléluia. Alléluia.
    Pour ton serviteur, que ton visage s’illumine :
    apprends-moi tes commandements.
    Alléluia.
    (Ps 118, 135)


Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

En ce temps-là,
    de grandes foules faisaient route avec Jésus ;
il se retourna et leur dit :
    « Si quelqu’un vient à moi
sans me préférer à son père, sa mère, sa femme,
ses enfants, ses frères et sœurs,
et même à sa propre vie,
il ne peut pas être mon disciple.
    Celui qui ne porte pas sa croix
pour marcher à ma suite
ne peut pas être mon disciple.


    Quel est celui d’entre vous
qui, voulant bâtir une tour,
ne commence par s’asseoir
pour calculer la dépense
et voir s’il a de quoi aller jusqu’au bout ?
    Car, si jamais il pose les fondations et n’est pas capable d’achever,
tous ceux qui le verront vont se moquer de lui :
    ‘Voilà un homme qui a commencé à bâtir
et n’a pas été capable d’achever !’
    Et quel est le roi
qui, partant en guerre contre un autre roi,
ne commence par s’asseoir
pour voir s’il peut, avec dix mille hommes,
affronter l’autre qui marche contre lui avec vingt mille ?
    S’il ne le peut pas,
il envoie, pendant que l’autre est encore loin,
une délégation pour demander les conditions de paix.


    Ainsi donc, celui d’entre vous qui ne renonce pas
à tout ce qui lui appartient
ne peut pas être mon disciple. »


    – Acclamons la Parole de Dieu.



Source : http://www.aelf.org/ 

21 octobre 2016

Dimanche 23 octobre 2016 - 30ème dimanche du Temps Ordinaire

Dimanche 23 octobre 2016 - 30ème dimanche du Temps Ordinaire



1ère lecture : « La prière du pauvre traverse les nuées » (Si 35, 15b-17.20-22a)

Lecture du livre de Ben Sira le Sage

Le Seigneur est un juge
qui se montre impartial envers les personnes.
    Il ne défavorise pas le pauvre,
il écoute la prière de l’opprimé.
    Il ne méprise pas la supplication de l’orphelin,
ni la plainte répétée de la veuve.
    Celui dont le service est agréable à Dieu sera bien accueilli,
sa supplication parviendra jusqu’au ciel.
    La prière du pauvre traverse les nuées ;
tant qu’elle n’a pas atteint son but, il demeure inconsolable.
Il persévère tant que le Très-Haut n’a pas jeté les yeux sur lui,
    ni prononcé la sentence en faveur des justes et rendu justice.


    – Parole du Seigneur.

Psaume : Ps 33 (34), 2-3, 16.18, 19.23

R/

Un pauvre crie ;
le Seigneur entend.

(Ps 33, 7a)

Je bénirai le Seigneur en tout temps,
sa louange sans cesse à mes lèvres.
Je me glorifierai dans le Seigneur :
que les pauvres m’entendent et soient en fête !

 

Le Seigneur regarde les justes,
il écoute, attentif à leurs cris.
Le Seigneur entend ceux qui l’appellent :
de toutes leurs angoisses, il les délivre.

 

Il est proche du cœur brisé,
il sauve l’esprit abattu.
Le Seigneur rachètera ses serviteurs :
pas de châtiment pour qui trouve en lui son refuge.

2ème lecture : « Je n’ai plus qu’à recevoir la couronne de la justice » (2 Tm 4, 6-8.16-18)

Lecture de la deuxième lettre de saint Paul apôtre à Timothée

Bien-aimé,
    je suis déjà offert en sacrifice,
le moment de mon départ est venu.
    J’ai mené le bon combat,
j’ai achevé ma course,
j’ai gardé la foi.
    Je n’ai plus qu’à recevoir la couronne de la justice :
le Seigneur, le juste juge, me la remettra en ce jour-là,
et non seulement à moi,
mais aussi à tous ceux qui auront désiré avec amour
sa Manifestation glorieuse.
    La première fois que j’ai présenté ma défense,
personne ne m’a soutenu :
tous m’ont abandonné.
Que cela ne soit pas retenu contre eux.
    Le Seigneur, lui, m’a assisté.
Il m’a rempli de force
pour que, par moi,
la proclamation de l’Évangile s’accomplisse jusqu’au bout
et que toutes les nations l’entendent.
J’ai été arraché à la gueule du lion ;
    le Seigneur m’arrachera encore
à tout ce qu’on fait pour me nuire.
Il me sauvera et me fera entrer dans son Royaume céleste.
À lui la gloire pour les siècles des siècles. Amen.


    – Parole du Seigneur.

Evangile : « Le publicain redescendit dans sa maison ; c’est lui qui était devenu juste, plutôt que le pharisien » (Lc 18, 9-14)

    Acclamation :

    Alléluia. Alléluia.
    Dans le Christ, Dieu réconciliait le monde avec lui :
    il a mis dans notre bouche la parole de la réconciliation.
    Alléluia.
    (cf. 2 Co 5, 19)


Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

En ce temps-là,
    à l’adresse de certains qui étaient convaincus d’être justes
et qui méprisaient les autres,
Jésus dit la parabole que voici :
    « Deux hommes montèrent au Temple pour prier.
L’un était pharisien,
et l’autre, publicain (c’est-à-dire un collecteur d’impôts).
    Le pharisien se tenait debout et priait en lui-même :
‘Mon Dieu, je te rends grâce
parce que je ne suis pas comme les autres hommes
– ils sont voleurs, injustes, adultères –,
ou encore comme ce publicain.
    Je jeûne deux fois par semaine
et je verse le dixième de tout ce que je gagne.’
    Le publicain, lui, se tenait à distance
et n’osait même pas lever les yeux vers le ciel ;
mais il se frappait la poitrine, en disant :
‘Mon Dieu, montre-toi favorable au pécheur que je suis !’
    Je vous le déclare :
quand ce dernier redescendit dans sa maison,
c’est lui qui était devenu un homme juste,
plutôt que l’autre.
Qui s’élève sera abaissé ;
qui s’abaisse sera élevé. »


    – Acclamons la Parole de Dieu.


Source : http://www.aelf.org/ 

 

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23 septembre 2016

Dimanche 25 septembre 2016 - 26ème dimanche du Temps Ordinaire

 

Dimanche 25 septembre  2016 - 26ème dimanche du Temps Ordinaire


1ère lecture : « La bande des vautrés n’existera plus » (Am 6, 1a.4-7)

Lecture du livre du prophète Amos

Ainsi parle le Seigneur de l’univers :
    Malheur à ceux qui vivent bien tranquilles dans Sion,
et à ceux qui se croient en sécurité
sur la montagne de Samarie.
    Couchés sur des lits d’ivoire,
vautrés sur leurs divans,
ils mangent les agneaux du troupeau,
les veaux les plus tendres de l’étable ;
    ils improvisent au son de la harpe,
ils inventent, comme David, des instruments de musique ;
    ils boivent le vin à même les amphores,
ils se frottent avec des parfums de luxe,
mais ils ne se tourmentent guère du désastre d’Israël !
    C’est pourquoi maintenant ils vont être déportés,
ils seront les premiers des déportés ;
et la bande des vautrés n’existera plus.


    – Parole du Seigneur.

Psaume : Ps 145 (146), 6c.7, 8.9a, 9bc-10

R/

Chante, ô mon âme,
la louange du Seigneur !
ou :

Alléluia !

(Ps 145, 1b)

Le Seigneur garde à jamais sa fidélité,
il fait justice aux opprimés ;
aux affamés, il donne le pain ;
le Seigneur délie les enchaînés.

 

Le Seigneur ouvre les yeux des aveugles,
le Seigneur redresse les accablés,
le Seigneur aime les justes,
le Seigneur protège l’étranger.

 

Il soutient la veuve et l’orphelin,
il égare les pas du méchant.
D’âge en âge, le Seigneur régnera :
ton Dieu, ô Sion, pour toujours !

2ème lecture : « Garde le commandement jusqu’à la Manifestation du Seigneur » (1 Tm 6, 11-16)

Lecture de la première lettre de saint Paul apôtre à Timothée

Toi, homme de Dieu,
recherche la justice, la piété, la foi, la charité,
la persévérance et la douceur.
    Mène le bon combat, celui de la foi,
empare-toi de la vie éternelle !
C’est à elle que tu as été appelé,
c’est pour elle que tu as prononcé ta belle profession de foi
devant de nombreux témoins.


    Et maintenant, en présence de Dieu qui donne vie à tous les êtres,
et en présence du Christ Jésus
qui a témoigné devant Ponce Pilate par une belle affirmation,
voici ce que je t’ordonne :
    garde le commandement du Seigneur,
en demeurant sans tache, irréprochable
jusqu’à la Manifestation de notre Seigneur Jésus Christ.
    Celui qui le fera paraître aux temps fixés, c’est Dieu,
Souverain unique et bienheureux,
Roi des rois et Seigneur des seigneurs,
    lui seul possède l’immortalité,
habite une lumière inaccessible ;
aucun homme ne l’a jamais vu,
et nul ne peut le voir.
À lui, honneur et puissance éternelle. Amen.


    – Parole du Seigneur.

Evangile : « Tu as reçu le bonheur, et Lazare, le malheur. Maintenant, lui, il trouve ici la consolation, et toi, la souffrance » (Lc 16, 19-31)

    Acclamation :

    Alléluia. Alléluia.
    Jésus Christ s’est fait pauvre, lui qui était riche,
    pour que vous deveniez riches par sa pauvreté.
    Alléluia.
    (cf. 2 Co 8, 9)


Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

En ce temps-là,
Jésus disait aux pharisiens :
    « Il y avait un homme riche,
vêtu de pourpre et de lin fin,
qui faisait chaque jour des festins somptueux.
    Devant son portail gisait un pauvre nommé Lazare,
qui était couvert d’ulcères.
    Il aurait bien voulu se rassasier
de ce qui tombait de la table du riche ;
mais les chiens, eux, venaient lécher ses ulcères.
    Or le pauvre mourut,
et les anges l’emportèrent auprès d’Abraham.
Le riche mourut aussi,
et on l’enterra.
    Au séjour des morts, il était en proie à la torture ;
levant les yeux, il vit Abraham de loin
et Lazare tout près de lui.
    Alors il cria :
‘Père Abraham, prends pitié de moi
et envoie Lazare tremper le bout de son doigt dans l’eau
pour me rafraîchir la langue,
car je souffre terriblement dans cette fournaise.
    – Mon enfant, répondit Abraham,
rappelle-toi :
tu as reçu le bonheur pendant ta vie,
et Lazare, le malheur pendant la sienne.
Maintenant, lui, il trouve ici la consolation,
et toi, la souffrance.
    Et en plus de tout cela, un grand abîme
a été établi entre vous et nous,
pour que ceux qui voudraient passer vers vous
ne le puissent pas,
et que, de là-bas non plus, on ne traverse pas vers nous.’
    Le riche répliqua :
‘Eh bien ! père, je te prie d’envoyer Lazare
dans la maison de mon père.
    En effet, j’ai cinq frères :
qu’il leur porte son témoignage,
de peur qu’eux aussi ne viennent
dans ce lieu de torture !’
    Abraham lui dit :
‘Ils ont Moïse et les Prophètes :
qu’ils les écoutent !
    – Non, père Abraham, dit-il,
mais si quelqu’un de chez les morts vient les trouver,
ils se convertiront.’
    Abraham répondit :
‘S’ils n’écoutent pas Moïse ni les Prophètes,
quelqu’un pourra bien ressusciter d’entre les morts :
ils ne seront pas convaincus.’ »


    – Acclamons la Parole de Dieu.


Source : http://www.aelf.org/ 

 

27 janvier 2017

Dimanche 29 janvier 2017 : 4ème dimanche du Temps Ordinaire

Dimanche 29  janvier  2017 : 4ème dimanche du Temps Ordinaire
 


1ère lecture : « Je laisserai chez toi un peuple pauvre et petit » (So 2, 3 ; 3, 12-13)

Lecture du livre du prophète Sophonie

Cherchez le Seigneur,
vous tous, les humbles du pays,
qui accomplissez sa loi.
Cherchez la justice,
cherchez l’humilité :
peut-être serez-vous à l’abri
au jour de la colère du Seigneur.


    Je laisserai chez toi un peuple pauvre et petit ;
il prendra pour abri le nom du Seigneur.
    Ce reste d’Israël ne commettra plus d’injustice ;
ils ne diront plus de mensonge ;
dans leur bouche, plus de langage trompeur.
Mais ils pourront paître et se reposer,
nul ne viendra les effrayer.


    – Parole du Seigneur.

Psaume : Ps 145 (146), 7, 8, 9ab.10b

R/

Heureux les pauvres de cœur,
car le royaume des Cieux est à eux !

ou :

Alléluia !

(Mt 5, 3)

Le Seigneur fait justice aux opprimés ;
aux affamés, il donne le pain,
le Seigneur délie les enchaînés.

 

Le Seigneur ouvre les yeux des aveugles,
le Seigneur redresse les accablés,
le Seigneur aime les justes.

 

Le Seigneur protège l’étranger,
il soutient la veuve et l’orphelin,
le Seigneur est ton Dieu pour toujours.

2ème lecture : « Ce qu’il y a de faible dans le monde, voilà ce que Dieu a choisi » (1 Co 1, 26-31)

Lecture de la première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens

    Frères,
vous qui avez été appelés par Dieu, regardez bien :
parmi vous, il n’y a pas beaucoup de sages aux yeux des hommes,
ni de gens puissants ou de haute naissance.
    Au contraire, ce qu’il y a de fou dans le monde,
voilà ce que Dieu a choisi,
pour couvrir de confusion les sages ;
ce qu’il y a de faible dans le monde,
voilà ce que Dieu a choisi,
pour couvrir de confusion ce qui est fort ;
    ce qui est d’origine modeste, méprisé dans le monde,
ce qui n’est pas,
voilà ce que Dieu a choisi,
pour réduire à rien ce qui est ;
    ainsi aucun être de chair ne pourra s’enorgueillir devant Dieu.
    C’est grâce à Dieu, en effet, que vous êtes dans le Christ Jésus,
lui qui est devenu pour nous sagesse venant de Dieu,
justice, sanctification, rédemption.
    Ainsi, comme il est écrit :
Celui qui veut être fier,
qu’il mette sa fierté dans le Seigneur.


    – Parole du Seigneur.

Evangile : « Heureux les pauvres de cœur » (Mt 5, 1-12a)

    Acclamation :

    Alléluia. Alléluia.
    Réjouissez-vous, soyez dans l’allégresse,
    car votre récompense est grande dans les cieux !
    Alléluia.
    (Mt 5, 12)


Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu

    En ce temps-là,
    voyant les foules,
Jésus gravit la montagne.
Il s’assit, et ses disciples s’approchèrent de lui.
    Alors, ouvrant la bouche, il les enseignait.
Il disait :
    « Heureux les pauvres de cœur,
car le royaume des Cieux est à eux.
    Heureux ceux qui pleurent,
car ils seront consolés.
    Heureux les doux,
car ils recevront la terre en héritage.
    Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice,
car ils seront rassasiés.
    Heureux les miséricordieux,
car ils obtiendront miséricorde.
    Heureux les cœurs purs,
car ils verront Dieu.
    Heureux les artisans de paix,
car ils seront appelés fils de Dieu.
    Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice,
car le royaume des Cieux est à eux.
    Heureux êtes-vous si l’on vous insulte,
si l’on vous persécute
et si l’on dit faussement toute sorte de mal contre vous,
à cause de moi.
    Réjouissez-vous, soyez dans l’allégresse,
car votre récompense est grande dans les cieux ! »


    – Acclamons la Parole de Dieu.

 
Source : http://www.aelf.org/ 

20 janvier 2017

Dimanche 22 janvier 2017 : 3ème dimanche du Temps Ordinaire

Dimanche 22  janvier  2017 : 3ème dimanche du Temps Ordinaire

 
1ère lecture : Dans la Galilée des nations le peuple a vu se lever une grande lumière (Is 8, 23b – 9, 3)

Lecture du livre du prophète Isaïe

Dans un premier temps, le Seigneur a couvert de honte
le pays de Zabulon et le pays de Nephtali ;
mais ensuite, il a couvert de gloire
la route de la mer, le pays au-delà du Jourdain,
et la Galilée des nations.
  Le peuple qui marchait dans les ténèbres
a vu se lever une grande lumière ;
et sur les habitants du pays de l’ombre,
une lumière a resplendi.
    Tu as prodigué la joie,
tu as fait grandir l’allégresse :
ils se réjouissent devant toi,
comme on se réjouit de la moisson,
comme on exulte au partage du butin.
    Car le joug qui pesait sur lui,
la barre qui meurtrissait son épaule,
le bâton du tyran,
tu les as brisés comme au jour de Madiane.


    – Parole du Seigneur.

Psaume : Ps 26 (27), 1, 4abcd, 13-14

R/

Le Seigneur est ma lumière et mon salut.

(Ps 26, 1a)

Le Seigneur est ma lumière et mon salut ;
de qui aurais-je crainte ?
Le Seigneur est le rempart de ma vie ;
devant qui tremblerais-je ?

 

J’ai demandé une chose au Seigneur,
la seule que je cherche :
habiter la maison du Seigneur
tous les jours de ma vie,

 

Mais j’en suis sûr, je verrai les bontés du Seigneur
sur la terre des vivants.
« Espère le Seigneur, sois fort et prends courage ;
espère le Seigneur. »

2ème lecture : « Tenez tous le même langage ; qu’il n’y ait pas de division entre vous » (1 Co 1, 10-13.17)

Lecture de la première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens

Frères,
je vous exhorte au nom de notre Seigneur Jésus Christ :
ayez tous un même langage ;
qu’il n’y ait pas de division entre vous,
soyez en parfaite harmonie de pensées et d’opinions.
    Il m’a été rapporté à votre sujet, mes frères,
par les gens de chez Chloé,
qu’il y a entre vous des rivalités.
    Je m’explique.
Chacun de vous prend parti en disant :
« Moi, j’appartiens à Paul »,
ou bien :
« Moi, j’appartiens à Apollos »,
ou bien :
« Moi, j’appartiens à Pierre »,
ou bien :
« Moi, j’appartiens au Christ ».
    Le Christ est-il donc divisé ?
Est-ce Paul qui a été crucifié pour vous ?
Est-ce au nom de Paul que vous avez été baptisés ?
    Le Christ, en effet, ne m’a pas envoyé pour baptiser,
mais pour annoncer l’Évangile,
et cela sans avoir recours au langage de la sagesse humaine,
ce qui rendrait vaine la croix du Christ.


    – Parole du Seigneur.

Evangile : Il vint habiter à Capharnaüm pour que soit accomplie la parole d’Isaïe (Mt 4, 12-23)

    Acclamation :

    Alléluia. Alléluia.
    Jésus proclamait l’Évangile du Royaume,
    et guérissait toute maladie dans le peuple.
    Alléluia.
    (cf. Mt 4, 23)


Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu

Quand Jésus apprit l’arrestation de Jean le Baptiste,
il se retira en Galilée.
    Il quitta Nazareth
et vint habiter à Capharnaüm,
ville située au bord de la mer de Galilée,
dans les territoires de Zabulon et de Nephtali.
    C’était pour que soit accomplie
la parole prononcée par le prophète Isaïe :
    Pays de Zabulon et pays de Nephtali,
route de la mer et pays au-delà du Jourdain,
Galilée des nations !
    Le peuple qui habitait dans les ténèbres
a vu une grande lumière.
Sur ceux qui habitaient dans le pays et l’ombre de la mort,
une lumière s’est levée.
    À partir de ce moment, Jésus commença à proclamer :
« Convertissez-vous,
car le royaume des Cieux est tout proche. »


    Comme il marchait le long de la mer de Galilée,
il vit deux frères,
Simon, appelé Pierre,
et son frère André,
qui jetaient leurs filets dans la mer ;
car c’étaient des pêcheurs.
    Jésus leur dit :
« Venez à ma suite,
et je vous ferai pêcheurs d’hommes. »
    Aussitôt, laissant leurs filets, ils le suivirent.


De là, il avança et il vit deux autres frères,
Jacques, fils de Zébédée,
et son frère Jean,
qui étaient dans la barque avec leur père,
en train de réparer leurs filets.
Il les appela.
    Aussitôt, laissant la barque et leur père,
ils le suivirent.


    Jésus parcourait toute la Galilée ;
il enseignait dans leurs synagogues,
proclamait l’Évangile du Royaume,
guérissait toute maladie et toute infirmité dans le peuple.


    – Acclamons la Parole de Dieu.

 

OU LECTURE BREVE

Evangile : Il vint habiter à Capharnaüm pour que soit accomplie la parole d’Isaïe (Mt 4, 12-17)

    Acclamation :


Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu

Quand Jésus apprit l’arrestation de Jean le Baptiste,
il se retira en Galilée.
    Il quitta Nazareth
et vint habiter à Capharnaüm,
ville située au bord de la mer de Galilée,
dans les territoires de Zabulon et de Nephtali.
    C’était pour que soit accomplie
la parole prononcée par le prophète Isaïe :
    Pays de Zabulon et pays de Nephtali,
route de la mer et pays au-delà du Jourdain,
Galilée des nations !
    Le peuple qui habitait dans les ténèbres
a vu une grande lumière.
Sur ceux qui habitaient dans le pays et l’ombre de la mort,
une lumière s’est levée.
    À partir de ce moment, Jésus commença à proclamer :
« Convertissez-vous,
car le royaume des Cieux est tout proche. »


    – Acclamons la Parole de Dieu.

 
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13 janvier 2017

Dimanche 15 janvier 2017 : 2ème dimanche du Temps Ordinaire

Dimanche 15  janvier  2017 : 2ème dimanche du Temps Ordinaire

 
1ère lecture : « Je ferai de toi la lumière des nations pour que mon salut parvienne jusqu’aux extrémités de la terre » (Is 49, 3.5-6)

Lecture du livre du prophète Isaïe

Le Seigneur m’a dit :
« Tu es mon serviteur, Israël,
en toi je manifesterai ma splendeur. »
    Maintenant le Seigneur parle,
lui qui m’a façonné dès le sein de ma mère
pour que je sois son serviteur,
que je lui ramène Jacob,
que je lui rassemble Israël.
Oui, j’ai de la valeur aux yeux du Seigneur,
c’est mon Dieu qui est ma force.
    Et il dit :
« C’est trop peu que tu sois mon serviteur
pour relever les tribus de Jacob,
ramener les rescapés d’Israël :
je fais de toi la lumière des nations,
pour que mon salut parvienne
jusqu’aux extrémités de la terre. »


    – Parole du Seigneur.

Psaume : Ps 39 (40), 2abc.4ab, 7-8a, 8b-9, 10cd.11cd

R/

Me voici, Seigneur,
je viens faire ta volonté.

(cf. Ps 39, 8a.9a)

D’un grand espoir j’espérais le Seigneur :
il s’est penché vers moi
Dans ma bouche il a mis un chant nouveau,
une louange à notre Dieu.

 

Tu ne voulais ni offrande ni sacrifice,
tu as ouvert mes oreilles ;
tu ne demandais ni holocauste ni victime,
alors j’ai dit : « Voici, je viens. »

 

Dans le livre, est écrit pour moi
ce que tu veux que je fasse.
Mon Dieu, voilà ce que j’aime :
ta loi me tient aux entrailles.

 

Vois, je ne retiens pas mes lèvres,
Seigneur, tu le sais.
J’ai dit ton amour et ta vérité
à la grande assemblée.

2ème lecture : « À vous, la grâce et la paix, de la part de Dieu notre Père et du Seigneur Jésus Christ » (1 Co 1, 1-3)

Lecture de la première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens

Paul, appelé par la volonté de Dieu
pour être apôtre du Christ Jésus,
et Sosthène notre frère,
    à l’Église de Dieu qui est à Corinthe,
à ceux qui ont été sanctifiés dans le Christ Jésus
et sont appelés à être saints
avec tous ceux qui, en tout lieu,
invoquent le nom de notre Seigneur Jésus Christ,
leur Seigneur et le nôtre.


    À vous, la grâce et la paix,
de la part de Dieu notre Père
et du Seigneur Jésus Christ.


    – Parole du Seigneur.

Evangile : « Voici l’Agneau de Dieu, qui enlève le péché du monde » (Jn 1, 29-34)

    Acclamation :

    Alléluia. Alléluia.
    « Le Verbe s’est fait chair,
    il a établi parmi nous sa demeure.
    À tous ceux qui l’ont reçu,
    il a donné de pouvoir devenir enfants de Dieu. »
    Alléluia.
    (cf. Jn 1, 14a.12a)


Évangile de Jésus Christ selon saint Jean

    En ce temps-là,
    voyant Jésus venir vers lui,
Jean le Baptiste déclara :
« Voici l’Agneau de Dieu,
qui enlève le péché du monde ;
    c’est de lui que j’ai dit :
L’homme qui vient derrière moi
est passé devant moi,
car avant moi il était.
    Et moi, je ne le connaissais pas ;
mais, si je suis venu baptiser dans l’eau,
c’est pour qu’il soit manifesté à Israël. »
    Alors Jean rendit ce témoignage :
« J’ai vu l’Esprit
descendre du ciel comme une colombe
et il demeura sur lui.
    Et moi, je ne le connaissais pas,
mais celui qui m’a envoyé baptiser dans l’eau m’a dit :
‘Celui sur qui tu verras l’Esprit descendre et demeurer,
celui-là baptise dans l’Esprit Saint.’
    Moi, j’ai vu, et je rends témoignage :
c’est lui le Fils de Dieu. »


    – Acclamons la Parole de Dieu.

 
Source : http://www.aelf.org/ 

 

10 septembre 2016

Dimanche 11 septembre 2016 - 24ème dimanche du Temps Ordinaire

Dimanche 11 septembre  2016 - 24ème dimanche du Temps Ordinaire


1ère lecture : « Le Seigneur renonça au mal qu’il avait voulu faire » (Ex 32, 7-11.13-14)

Lecture du livre de l’Exode

En ces jours-là,
    le Seigneur parla à Moïse :
« Va, descends,
car ton peuple s’est corrompu,
lui que tu as fait monter du pays d’Égypte.
    Ils n’auront pas mis longtemps
à s’écarter du chemin que je leur avais ordonné de suivre !
Ils se sont fait un veau en métal fondu
et se sont prosternés devant lui.
Ils lui ont offert des sacrifices en proclamant :
‘Israël, voici tes dieux,
qui t’ont fait monter du pays d’Égypte.’ »


    Le Seigneur dit encore à Moïse :
« Je vois que ce peuple
est un peuple à la nuque raide.
    Maintenant, laisse-moi faire ;
ma colère va s’enflammer contre eux
et je vais les exterminer !
Mais, de toi, je ferai une grande nation. »
    Moïse apaisa le visage du Seigneur son Dieu
en disant :
« Pourquoi, Seigneur,
ta colère s’enflammerait-elle contre ton peuple,
que tu as fait sortir du pays d’Égypte
par ta grande force et ta main puissante ?
    Souviens-toi de tes serviteurs,
Abraham, Isaac et Israël,
à qui tu as juré par toi-même :
‘Je multiplierai votre descendance
comme les étoiles du ciel ;
je donnerai, comme je l’ai dit,
tout ce pays à vos descendants,
et il sera pour toujours leur héritage.’ »
    Le Seigneur renonça
au mal qu’il avait voulu faire à son peuple.


    – Parole du Seigneur.

Psaume : Ps 50 (51), 3-4, 12-13, 17.19

R/

Oui, je me lèverai,
et j’irai vers mon Père.

(Lc 15, 18)

Pitié pour moi, mon Dieu, dans ton amour,
selon ta grande miséricorde, efface mon péché.
Lave-moi tout entier de ma faute,
purifie-moi de mon offense.

 

Crée en moi un cœur pur, ô mon Dieu,
renouvelle et raffermis au fond de moi mon esprit.
Ne me chasse pas loin de ta face,
ne me reprends pas ton esprit saint.

 

Seigneur, ouvre mes lèvres,
et ma bouche annoncera ta louange.
Le sacrifice qui plaît à Dieu, c’est un esprit brisé ;
tu ne repousses pas, ô mon Dieu, un cœur brisé et broyé.

2ème lecture : « Le Christ Jésus est venu dans le monde pour sauver les pécheurs » (1 Tm 1, 12-17)

Lecture de la première lettre de saint Paul apôtre à Timothée

Bien-aimé,
    je suis plein de gratitude
envers celui qui me donne la force,
le Christ Jésus notre Seigneur,
car il m’a estimé digne de confiance lorsqu’il m’a chargé du ministère,
    moi qui étais autrefois blasphémateur, persécuteur, violent.
Mais il m’a été fait miséricorde,
car j’avais agi par ignorance,
n’ayant pas encore la foi ;

   la grâce de notre Seigneur a été encore plus abondante,
avec la foi, et avec l’amour qui est dans le Christ Jésus.


    Voici une parole digne de foi,
et qui mérite d’être accueillie sans réserve :
le Christ Jésus est venu dans le monde
pour sauver les pécheurs ;
et moi, je suis le premier des pécheurs.
    Mais s’il m’a été fait miséricorde,
c’est afin qu’en moi le premier,
le Christ Jésus montre toute sa patience,
pour donner un exemple à ceux qui devaient croire en lui,
en vue de la vie éternelle.


    Au roi des siècles,
au Dieu immortel, invisible et unique,
honneur et gloire pour les siècles des siècles. Amen.


    – Parole du Seigneur.

Evangile : « Il y aura de la joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se convertit » (Lc 15, 1-32)

    Acclamation :

    Alléluia. Alléluia.
    Dans le Christ, Dieu réconciliait le monde avec lui :
    il a mis dans notre bouche la parole de la réconciliation.
    Alléluia.
    (cf. 2 Co 5, 19)


Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

En ce temps-là,
    les publicains et les pécheurs
venaient tous à Jésus pour l’écouter.
    Les pharisiens et les scribes récriminaient contre lui :
« Cet homme fait bon accueil aux pécheurs,
et il mange avec eux ! »
    Alors Jésus leur dit cette parabole :
    « Si l’un de vous a cent brebis et qu’il en perd une,
n’abandonne-t-il pas les 99 autres dans le désert
pour aller chercher celle qui est perdue,
jusqu’à ce qu’il la retrouve ?
    Quand il l’a retrouvée,
il la prend sur ses épaules, tout joyeux,
    et, de retour chez lui, il rassemble ses amis et ses voisins
pour leur dire :
‘Réjouissez-vous avec moi,
car j’ai retrouvé ma brebis,
celle qui était perdue !’
    Je vous le dis :
C’est ainsi qu’il y aura de la joie dans le ciel
pour un seul pécheur qui se convertit,
plus que pour 99 justes
qui n’ont pas besoin de conversion.


    Ou encore, si une femme a dix pièces d’argent et qu’elle en perd une,
ne va-t-elle pas allumer une lampe, balayer la maison,
et chercher avec soin jusqu’à ce qu’elle la retrouve ?
    Quand elle l’a retrouvée,
elle rassemble ses amies et ses voisines
pour leur dire :
‘Réjouissez-vous avec moi,
car j’ai retrouvé la pièce d’argent que j’avais perdue !’
    Ainsi je vous le dis :
Il y a de la joie devant les anges de Dieu
pour un seul pécheur qui se convertit. »


    Jésus dit encore :
« Un homme avait deux fils.
    Le plus jeune dit à son père :
‘Père, donne-moi la part de fortune qui me revient.’
Et le père leur partagea ses biens.
    Peu de jours après,
le plus jeune rassembla tout ce qu’il avait,
et partit pour un pays lointain
où il dilapida sa fortune en menant une vie de désordre.
    Il avait tout dépensé,
quand une grande famine survint dans ce pays,
et il commença à se trouver dans le besoin.
    Il alla s’engager auprès d’un habitant de ce pays,
qui l’envoya dans ses champs garder les porcs.
    Il aurait bien voulu se remplir le ventre
avec les gousses que mangeaient les porcs,
mais personne ne lui donnait rien.
    Alors il rentra en lui-même et se dit :
‘Combien d’ouvriers de mon père ont du pain en abondance,
et moi, ici, je meurs de faim !
    Je me lèverai, j’irai vers mon père,
et je lui dirai :
Père, j’ai péché contre le ciel et envers toi.
    Je ne suis plus digne d’être appelé ton fils.
Traite-moi comme l’un de tes ouvriers.’
    Il se leva et s’en alla vers son père.
Comme il était encore loin,
son père l’aperçut et fut saisi de compassion ;
il courut se jeter à son cou
et le couvrit de baisers.
    Le fils lui dit :
‘Père, j’ai péché contre le ciel et envers toi.
Je ne suis plus digne d’être appelé ton fils.’
    Mais le père dit à ses serviteurs :
‘Vite, apportez le plus beau vêtement pour l’habiller,
mettez-lui une bague au doigt et des sandales aux pieds,
    allez chercher le veau gras, tuez-le,
mangeons et festoyons,
    car mon fils que voilà était mort,
et il est revenu à la vie ;
il était perdu,
et il est retrouvé.’
Et ils commencèrent à festoyer.


    Or le fils aîné était aux champs.
Quand il revint et fut près de la maison,
il entendit la musique et les danses.
    Appelant un des serviteurs,
il s’informa de ce qui se passait.
    Celui-ci répondit :
‘Ton frère est arrivé,
et ton père a tué le veau gras,
parce qu’il a retrouvé ton frère en bonne santé.’
    Alors le fils aîné se mit en colère,
et il refusait d’entrer.
Son père sortit le supplier.
    Mais il répliqua à son père :
‘Il y a tant d’années que je suis à ton service
sans avoir jamais transgressé tes ordres,
et jamais tu ne m’as donné un chevreau
pour festoyer avec mes amis.
    Mais, quand ton fils que voilà est revenu
après avoir dévoré ton bien avec des prostituées,
tu as fait tuer pour lui le veau gras !’
    Le père répondit :
‘Toi, mon enfant, tu es toujours avec moi,
et tout ce qui est à moi est à toi.
    Il fallait festoyer et se réjouir ;
car ton frère que voilà était mort,
et il est revenu à la vie ;
il était perdu,
et il est retrouvé ! »


    – Acclamons la Parole de Dieu.

 

OU LECTURE BREVE

Evangile : « Il y aura de la joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se convertit » (Lc 15, 1-10)

    Acclamation :


Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

En ce temps-là,
    les publicains et les pécheurs
venaient tous à Jésus pour l’écouter.
    Les pharisiens et les scribes récriminaient contre lui :
« Cet homme fait bon accueil aux pécheurs,
et il mange avec eux ! »
    Alors Jésus leur dit cette parabole :
    « Si l’un de vous a cent brebis et qu’il en perd une,
n’abandonne-t-il pas les 99 autres dans le désert
pour aller chercher celle qui est perdue,
jusqu’à ce qu’il la retrouve ?
    Quand il l’a retrouvée,
il la prend sur ses épaules, tout joyeux,
    et, de retour chez lui, il rassemble ses amis et ses voisins
pour leur dire :
‘Réjouissez-vous avec moi,
car j’ai retrouvé ma brebis,
celle qui était perdue !’
    Je vous le dis :
C’est ainsi qu’il y aura de la joie dans le ciel
pour un seul pécheur qui se convertit,
plus que pour 99 justes
qui n’ont pas besoin de conversion.


    Ou encore, si une femme a dix pièces d’argent et qu’elle en perd une,
ne va-t-elle pas allumer une lampe, balayer la maison,
et chercher avec soin jusqu’à ce qu’elle la retrouve ?
    Quand elle l’a retrouvée,
elle rassemble ses amies et ses voisines
pour leur dire :
‘Réjouissez-vous avec moi,
car j’ai retrouvé la pièce d’argent que j’avais perdue !’
    Ainsi je vous le dis :
Il y a de la joie devant les anges de Dieu
pour un seul pécheur qui se convertit. »


    – Acclamons la Parole de Dieu.



Source : http://www.aelf.org/ 

 

25 décembre 2015

Que fête-t-on à Noël ?


Les rues s’illuminent, se parent d’étoiles et de guirlandes. On parle cadeaux, bûches et sapins… Pas de doute, la fête de Noël approche ! Qu’est-ce qui en est à l’origine ? Que veut dire la naissance du Christ, pour nous aujourd’hui ?

On entend dire parfois : « Noël, c’est un rêve, c’est magnifique ! ». Il est vrai que pour beaucoup de gens, Noël, y compris chez les non-chrétiens, est une fête importante qui touche la famille, les enfants notamment qui sont comblés de cadeaux ce soir-là.

Noël, une fête pour tous
Noël, c’est le sapin illuminé dans nos maisons, dans nos villages, dans nos villes, sur les places publiques. Noël, c’est la période où les magasins sont devenus, plus que d’habitude, les « temples de la consommation». Le soir, le repas traditionnel du « réveillon » est un moment important de convivialité, de remise et d’échanges de cadeaux, aux enfants en priorité, mais aussi aux adultes qui veulent se faire plaisir. Noël revêt aussi cet aspect d’intimité, de proximité. C’est essentiellement le noyau familial : parents et enfants, qui se trouvent réunis autour de la table, du sapin illuminé et aussi souvent de la crèche. Noël invite, presque naturellement, au respect, à quelque chose de sacré, même pour les non-chrétiens. On entend dire parfois : «Noël, pour nous, c’est sacré». Le mot «sacré» signifie dans l’expression «important». Toute cette représentation festive de Noël a sa valeur en elle-même.

Noël, au-delà des cadeaux
Cependant, le sens ultime de la fête de Noël ne réside pas seulement dans les cadeaux ou la consommation, ou même la famille. Pour le chrétien, Noël n’a pas seulement un aspect de rêve ou de magie. Noël est une réalité historique, humaine et spirituelle. Jésus est situé dans une histoire. Il a vécu dans un petit pays, appelé la Palestine, occupé à cette époque par les Romains. Au moment où Jésus est né, des bergers qui étaient là dans les environs de ce petit village appelé Bethléem entendent un ange qui leur dit : « Soyez sans crainte, voici que je vous annonce une grande joie qui sera celle de tout le peuple : aujourd’hui vous est né un Sauveur qui est le Christ Seigneur, dans la ville de David. Vous trouverez un nouveau-né enveloppé de langes et couché dans une crèche. » Et soudain, une troupe nombreuse de l’armée céleste louait Dieu en disant : « Gloire à Dieu au plus haut des cieux et Paix sur la terre aux hommes de bonne volonté. »

Jésus, notre cadeau de Noël
Oui, en effet, cette nuit-là, le monde entier a reçu un cadeau : Dieu a envoyé son fils dans le monde comme un cadeau fait à l’humanité. Ce cadeau, nous pouvons en vivre tous les jours si nous acceptons le message de l’Evangile, si nous acceptons de croire en ce Jésus de Noël qui donne sens à notre vie. Une bible, éditée il y a de nombreuses années, porte sur sa couverture cette très belle phrase : « La bible est un trésor ». C’est une chance de posséder un trésor qui contient un appel à l’amour, à la Paix, à la Joie, à l’Espérance. C’est le message de Noël, c’est le message de l’Evangile qui nourrit la vie des chrétiens.

Père Maurice Allaire, diocèse de Coutances

Approfondir le thème

Source : www.noel.catholique.fr

I

8 avril 2016

Dimanche 10 avril 2016 - 3ème Dimanche de Pâques

Dimanche 10 avril 2016 - 3ème Dimanche de Pâques


1ère lecture : « Nous sommes les témoins de tout cela avec l’Esprit Saint » (Ac 5, 27b-32.40b-41)

Lecture du livre des Actes des Apôtres

En ces jours-là,
les Apôtres comparaissaient devant le Conseil suprême.
    Le grand prêtre les interrogea :
    « Nous vous avions formellement interdit
d’enseigner au nom de celui-là,
et voilà que vous remplissez Jérusalem
de votre enseignement.
Vous voulez donc faire retomber sur nous
le sang de cet homme ! »
    En réponse, Pierre et les Apôtres déclarèrent :
« Il faut obéir à Dieu
plutôt qu’aux hommes.
    Le Dieu de nos pères a ressuscité Jésus,
que vous aviez exécuté en le suspendant au bois du supplice.
    C’est lui que Dieu, par sa main droite, a élevé,
en faisant de lui le Prince et le Sauveur,
pour accorder à Israël la conversion et le pardon des péchés.
    Quant à nous, nous sommes les témoins de tout cela,
avec l’Esprit Saint,
que Dieu a donné à ceux qui lui obéissent. »


    Après avoir fait fouetter les Apôtres,
ils leur interdirent de parler au nom de Jésus,
puis ils les relâchèrent.
    Quant à eux, quittant le Conseil suprême,
ils repartaient tout joyeux d’avoir été jugés dignes
de subir des humiliations pour le nom de Jésus.


    – Parole du Seigneur.

Psaume : Ps 29 (30), 3-4, 5-6ab, 6cd.12, 13

R/

Je t’exalte, Seigneur,
tu m’a relevé.
ou :

Alléluia.

(Ps 29, 2a)

Quand j’ai crié vers toi, Seigneur,
mon Dieu, tu m’as guéri ;
Seigneur, tu m’as fait remonter de l’abîme
et revivre quand je descendais à la fosse.

 

Fêtez le Seigneur, vous, ses fidèles,
rendez grâce en rappelant son nom très saint.
Sa colère ne dure qu’un instant,
sa bonté, toute la vie.

 

Avec le soir, viennent les larmes,
mais au matin, les cris de joie !
Tu as changé mon deuil en une danse,
mes habits funèbres en parure de joie !

 

Que mon cœur ne se taise pas,
qu’il soit en fête pour toi ;
et que sans fin, Seigneur, mon Dieu,
je te rende grâce !

2ème lecture : « Il est digne, l’Agneau immolé, de recevoir puissance et richesse » (Ap 5, 11-14)

Lecture de l’Apocalypse de saint Jean

Moi, Jean,
    j’ai vu :
et j’entendis la voix d’une multitude d’anges
qui entouraient le Trône, les Vivants et les Anciens ;
ils étaient des myriades de myriades,
par milliers de milliers.
    Ils disaient d’une voix forte :
« Il est digne, l’Agneau immolé,
de recevoir puissance et richesse,
    sagesse et force,
honneur, gloire et louange. »


    Toute créature dans le ciel et sur la terre,
sous la terre et sur la mer,
et tous les êtres qui s’y trouvent,
je les entendis proclamer :
« À celui qui siège sur le Trône, et à l’Agneau,
la louange et l’honneur,
la gloire et la souveraineté
pour les siècles des siècles. »
    Et les quatre Vivants disaient : « Amen ! » ;
et les Anciens, se jetant devant le Trône, se prosternèrent.


    – Parole du Seigneur.

Evangile : « Jésus s’approche ; il prend le pain et le leur donne ; et de même pour le poisson » (Jn 21, 1-19)

    Acclamation :

    Alléluia. Alléluia.
    Le Christ est ressuscité,
    le Créateur de l’univers,
    le Sauveur des hommes.
    Alléluia.


Évangile de Jésus Christ selon saint Jean

En ce temps-là,
    Jésus se manifesta encore aux disciples
sur le bord de la mer de Tibériade, et voici comment.
    Il y avait là, ensemble, Simon-Pierre,
avec Thomas, appelé Didyme (c’est-à-dire Jumeau),
Nathanaël, de Cana de Galilée,
les fils de Zébédée,
et deux autres de ses disciples.
    Simon-Pierre leur dit :
« Je m’en vais à la pêche. »
Ils lui répondent :
« Nous aussi, nous allons avec toi. »
Ils partirent et montèrent dans la barque ;
or, cette nuit-là, ils ne prirent rien.


    Au lever du jour, Jésus se tenait sur le rivage,
mais les disciples ne savaient pas que c’était lui.
    Jésus leur dit :
« Les enfants,
auriez-vous quelque chose à manger ? »
Ils lui répondirent :
« Non. »
    Il leur dit :
« Jetez le filet à droite de la barque,
et vous trouverez. »
Ils jetèrent donc le filet,
et cette fois ils n’arrivaient pas à le tirer,
tellement il y avait de poissons.
    Alors, le disciple que Jésus aimait
dit à Pierre :
« C’est le Seigneur ! »
Quand Simon-Pierre entendit que c’était le Seigneur,
il passa un vêtement,
car il n’avait rien sur lui,
et il se jeta à l’eau.
    Les autres disciples arrivèrent en barque,
traînant le filet plein de poissons ;
la terre n’était qu’à une centaine de mètres.
    Une fois descendus à terre,
ils aperçoivent, disposé là, un feu de braise
avec du poisson posé dessus,
et du pain.
    Jésus leur dit :
« Apportez donc de ces poissons que vous venez de prendre. »
    Simon-Pierre remonta
et tira jusqu’à terre le filet plein de gros poissons :
il y en avait cent cinquante-trois.
Et, malgré cette quantité, le filet ne s’était pas déchiré.
    Jésus leur dit alors :
« Venez manger. »
Aucun des disciples n’osait lui demander :
« Qui es-tu ? »
Ils savaient que c’était le Seigneur.
    Jésus s’approche ;
il prend le pain
et le leur donne ;
et de même pour le poisson.
    C’était la troisième fois
que Jésus ressuscité d’entre les morts
se manifestait à ses disciples.


    Quand ils eurent mangé,
Jésus dit à Simon-Pierre :
« Simon, fils de Jean, m’aimes-tu vraiment,
plus que ceux-ci ? »
Il lui répond :
« Oui, Seigneur ! Toi, tu le sais : je t’aime. »
Jésus lui dit :
« Sois le berger de mes agneaux. »
    Il lui dit une deuxième fois :
« Simon, fils de Jean, m’aimes-tu vraiment? »
Il lui répond :
« Oui, Seigneur ! Toi, tu le sais : je t’aime. »
Jésus lui dit :
« Sois le pasteur de mes brebis. »
    Il lui dit, pour la troisième fois :
« Simon, fils de Jean, m’aimes-tu ? »
Pierre fut peiné
parce que, la troisième fois, Jésus lui demandait :
« M’aimes-tu ? »
Il lui répond :
« Seigneur, toi, tu sais tout :
tu sais bien que je t’aime. »
Jésus lui dit :
« Sois le berger de mes brebis.
    Amen, amen, je te le dis :
quand tu étais jeune,
tu mettais ta ceinture toi-même
pour aller là où tu voulais ;
quand tu seras vieux,
tu étendras les mains,
et c’est un autre qui te mettra ta ceinture,
pour t’emmener là où tu ne voudrais pas aller. »
    Jésus disait cela pour signifier par quel genre de mort
Pierre rendrait gloire à Dieu.
Sur ces mots, il lui dit :
« Suis-moi. »


    – Acclamons la Parole de Dieu.

 

OU LECTURE BREVE

Evangile : « Jésus s’approche ; il prend le pain et le leur donne ; et de même pour le poisson » (Jn 21, 1-14)

    Acclamation :


Évangile de Jésus Christ selon saint Jean

En ce temps-là,
    Jésus se manifesta encore aux disciples
sur le bord de la mer de Tibériade, et voici comment.
    Il y avait là, ensemble, Simon-Pierre,
avec Thomas, appelé Didyme (c’est-à-dire Jumeau),
Nathanaël, de Cana de Galilée,
les fils de Zébédée,
et deux autres de ses disciples.
    Simon-Pierre leur dit :
« Je m’en vais à la pêche. »
Ils lui répondent :
« Nous aussi, nous allons avec toi. »
Ils partirent et montèrent dans la barque ;
or, cette nuit-là, ils ne prirent rien.


    Au lever du jour, Jésus se tenait sur le rivage,
mais les disciples ne savaient pas que c’était lui.
    Jésus leur dit :
« Les enfants,
auriez-vous quelque chose à manger ? »
Ils lui répondirent :
« Non. »
    Il leur dit :
« Jetez le filet à droite de la barque,
et vous trouverez. »
Ils jetèrent donc le filet,
et cette fois ils n’arrivaient pas à le tirer,
tellement il y avait de poissons.
    Alors, le disciple que Jésus aimait
dit à Pierre :
« C’est le Seigneur ! »
Quand Simon-Pierre entendit que c’était le Seigneur,
il passa un vêtement,
car il n’avait rien sur lui,
et il se jeta à l’eau.
    Les autres disciples arrivèrent en barque,
traînant le filet plein de poissons ;
la terre n’était qu’à une centaine de mètres.


    Une fois descendus à terre,
ils aperçoivent, disposé là, un feu de braise
avec du poisson posé dessus,
et du pain.
    Jésus leur dit :
« Apportez donc de ces poissons que vous venez de prendre. »
    Simon-Pierre remonta
et tira jusqu’à terre le filet plein de gros poissons :
il y en avait cent cinquante-trois.
Et, malgré cette quantité, le filet ne s’était pas déchiré.
    Jésus leur dit alors :
« Venez manger. »
Aucun des disciples n’osait lui demander :
« Qui es-tu ? »
Ils savaient que c’était le Seigneur.
    Jésus s’approche ;
il prend le pain
et le leur donne ;
et de même pour le poisson.
    C’était la troisième fois
que Jésus ressuscité d’entre les morts
se manifestait à ses disciples.


    – Acclamons la Parole de Dieu.



Source : http://www.aelf.org/

15 avril 2016

Dimanche 17 avril 2016 - 4ème Dimanche de Pâques

Dimanche 17 avril 2016 - 4ème Dimanche de Pâques



1ère lecture : « Nous nous tournons vers les nations païennes » (Ac 13, 14.43-52)

Lecture du livre des Actes des Apôtres

En ces jours-là,
Paul et Barnabé
    poursuivirent leur voyage au-delà de Pergé
et arrivèrent à Antioche de Pisidie.
Le jour du sabbat, ils entrèrent à la synagogue et prirent place.
    Une fois l’assemblée dispersée,
beaucoup de Juifs et de convertis qui adorent le Dieu unique
les suivirent.
Paul et Barnabé, parlant avec eux,
les encourageaient à rester attachés à la grâce de Dieu.
    Le sabbat suivant, presque toute la ville se rassembla
pour entendre la parole du Seigneur.
    Quand les Juifs virent les foules,
ils s’enflammèrent de jalousie ;
ils contredisaient les paroles de Paul et l’injuriaient.
    Paul et Barnabé leur déclarèrent avec assurance :
« C’est à vous d’abord
qu’il était nécessaire d’adresser la parole de Dieu.
Puisque vous la rejetez
et que vous-mêmes ne vous jugez pas dignes de la vie éternelle,
eh bien ! nous nous tournons vers les nations païennes.
    C’est le commandement que le Seigneur nous a donné :
J’ai fait de toi la lumière des nations
pour que, grâce à toi,
le salut parvienne jusqu’aux extrémités de la terre. »
    En entendant cela, les païens étaient dans la joie
et rendaient gloire à la parole du Seigneur ;
tous ceux qui étaient destinés à la vie éternelle
devinrent croyants.
    Ainsi la parole du Seigneur se répandait dans toute la région.

    Mais les Juifs provoquèrent l’agitation
parmi les femmes de qualité adorant Dieu,
et parmi les notables de la cité ;
ils se mirent à poursuivre Paul et Barnabé,
et les expulsèrent de leur territoire.
    Ceux-ci secouèrent contre eux la poussière de leurs pieds
et se rendirent à Iconium,
    tandis que les disciples étaient remplis de joie et d’Esprit Saint.


    – Parole du Seigneur.

Psaume : Ps 99 (100), 1-2, 3, 5

R/

Nous sommes son peuple, son troupeau.
ou :

Alléluia.

(cf. Ps 99, 3c)

Acclamez le Seigneur, terre entière,
servez le Seigneur dans l’allégresse,
venez à lui avec des chants de joie !

 

Reconnaissez que le Seigneur est Dieu :
il nous a faits, et nous sommes à lui,
nous, son peuple, son troupeau.

 

Oui, le Seigneur est bon,
éternel est son amour,
sa fidélité demeure d’âge en âge.

2ème lecture : « L’Agneau sera leur pasteur pour les conduire aux sources des eaux de la vie » (Ap 7, 9.14b-17)

Lecture de l’Apocalypse de saint Jean

Moi, Jean,
    j’ai vu :
et voici une foule immense,
que nul ne pouvait dénombrer,
une foule de toutes nations, tribus, peuples et langues.
Ils se tenaient debout devant le Trône et devant l’Agneau,
vêtus de robes blanches, avec des palmes à la main.
    L’un des Anciens me dit :
« Ceux-là viennent de la grande épreuve ;
ils ont lavé leurs robes,
ils les ont blanchies par le sang de l’Agneau.
    C’est pourquoi ils sont devant le trône de Dieu,
et le servent, jour et nuit, dans son sanctuaire.
Celui qui siège sur le Trône
établira sa demeure chez eux.
    Ils n’auront plus faim, ils n’auront plus soif,
ni le soleil ni la chaleur ne les accablera,
    puisque l’Agneau qui se tient au milieu du Trône
sera leur pasteur
pour les conduire aux sources des eaux de la vie.
Et Dieu essuiera toute larme de leurs yeux. »


    – Parole du Seigneur.

Evangile : « À mes brebis, je donne la vie éternelle » (Jn 10, 27-30)

    Acclamation :

    Alléluia. Alléluia.
    Je suis, le bon Pasteur, dit le Seigneur ;
    je connais mes brebis
    et mes brebis me connaissent.
    Alléluia.
    (Jn 10, 14)


Évangile de Jésus Christ selon saint Jean

En ce temps-là,
Jésus déclara :
    « Mes brebis écoutent ma voix ;
moi, je les connais,
et elles me suivent.
    Je leur donne la vie éternelle :
jamais elles ne périront,
et personne ne les arrachera de ma main.
    Mon Père, qui me les a données,
est plus grand que tout,
et personne ne peut les arracher de la main du Père.
    Le Père et moi,
nous sommes UN. »


    – Acclamons la Parole de Dieu.


Source : http://www.aelf.org/

8 octobre 2016

Semaine du 9 au 15 octobre 2016

EGLISE St PIERRE (centre ville)

Dimanche 9 :   09h00   Intentions paroissiales

                         11h00   Messe de rentrée pastorale et messe des familles

                                      Intention Mme Angèle ROUALO - M. Jean TOURVILLE

                                      Messe d'action de grâce pour la famille RAKOTOBE

                                      Service de prières aux défunts Avril, Mai et Juin 2016*

Mardi        11 : 14h30    Obsèques de M. Henri LE DARZ

                         18h30    Intention M. Albert LE GAREC

Mercredi   12 :  09h00    Laudes

                          09h15    Intention M. Henri LE PUIL

Jeudi         13 :   09h15   Intentions paroissiales

Dimanche 16 :  09h00    Intentions paroissiales

                         11h00    Intention M. Yvon LEPAGE – M. André FONTENEAU

                                       M. Henri LE PUIL - M. André JAFFRE – M. Louis LE GLEUHER

                                       Service de prières aux défunts Juillet – Août et Septembre 2016*

* Liste nominative affichée à la porte de l'église – porche sud

 

CHAPELLE NOTRE DAME DE LA GARDE (Lomener)

 

Samedi     8 :   18h00    Intention M. Gilbert LUCAS et Mme Monique LUCAS

Vendredi 14 :  09h15    Intentions paroissiales

Samedi   15 :  18h00    Intention M. Michel VILSALMON – Mme Eugénie BIGNON

                                     M. Pierre DANIEL – M. Henri LE PUIL

Célébration(s) / Messe(s) :

Mercredi  12 :  18h00 Permanence pour le sacrement de réconciliation (fin à 19h00) - église

Jeudi       13 :  15h00 Célébration à Ter et Mer

                      20h00 Adoration (fin à 20h30) – église

Rencontre(s) :

Lundi      10 :    20h15 Lecture de la Bible – presbytère (fin à 22h00)

Vendredi  14 :   14h30 Réunion M.C.R. au presbytère

 

Nos peines : M. Alain LE QUINTREC, 53 ans

 

Collecte de vieux journaux par le C.C.F.D. et Tarz Héol

Samedi 15 octobre – place des droits de l'Enfant

 

Expositions Art Sacré « Le Bestiaire des Saints en Morbihan » et « de la conserverie à la chapelle »

Chapelle Notre Dame de la Garde – Lomener / jusqu'à fin octobre

 

Messe de rentrée pastorale

Dimanche 9 octobre – 11h00 – église St Pierre

Ce sera également l'envoi en mission de Mélanie et de l'ensemble des catéchistes, l'accueil des nouveaux paroissiens, et la messe d'action de grâce du groupe pèlerinage en Terre Sainte.

Un verre de l'amitié sera servi sur le parvis de l'église à l'issue.

 

Sacrements pour les adultes : baptême, eucharistie, confirmation.

Merci de contacter les prêtres ou le presbytère pour rejoindre une équipe.

 

Vente de crêpes et de gâteaux au profit de la paroisse le week-end du 15 et 16 octobre

Si vous souhaitez offrir des ingrédients (farine, sucre, œufs, beurre), merci de les déposer au presbytère.

 

La paroisse propose une formation sur les Actes des Apôtres en novembre et décembre.

6 soirées à Larmor-Plage. Inscriptions sur les tracts à l'entrée des églises.

4 mars 2016

Dimanche 6 mars - 4ème dimanche de Carême de Lætare

Dimanche 6 mars  - 4ème dimanche de Carême de Lætare


1ère lecture : L’arrivée du peuple de Dieu en Terre Promise et la célébration de la Pâque (Jos 5, 9a.10-12)

Lecture du livre de Josué

En ces jours-là,
le Seigneur dit à Josué :

« Aujourd'hui, j'ai enlevé de vous le déshonneur de l'Égypte. »

 Les fils d’Israël campèrent à Guilgal
et célébrèrent la Pâque le quatorzième jour du mois,
vers le soir, dans la plaine de Jéricho.
    Le lendemain de la Pâque,
en ce jour même,
ils mangèrent les produits de cette terre :
des pains sans levain et des épis grillés.
    À partir de ce jour, la manne cessa de tomber,
puisqu’ils mangeaient des produits de la terre.
Il n’y avait plus de manne pour les fils d’Israël,
qui mangèrent cette année-là
ce qu’ils récoltèrent sur la terre de Canaan.


    – Parole du Seigneur.

Psaume : Ps 33 (34), 2-3, 4-5, 6-7

R/

Goûtez et voyez
comme est bon le Seigneur !

(cf. Ps 33, 9a)

Je bénirai le Seigneur en tout temps,
sa louange sans cesse à mes lèvres.
Je me glorifierai dans le Seigneur :
que les pauvres m’entendent et soient en fête !

 

Magnifiez avec moi le Seigneur,
exaltons tous ensemble son nom.
Je cherche le Seigneur, il me répond :
de toutes mes frayeurs, il me délivre.

 

Qui regarde vers lui resplendira,
sans ombre ni trouble au visage.
Un pauvre crie ; le Seigneur entend :
il le sauve de toutes ses angoisses.

2ème lecture : « Dieu nous a réconciliés avec lui par le Christ » (2 Co 5, 17-21)

Lecture de la deuxième lettre de saint Paul apôtre aux Corinthiens

Frères,
    si quelqu’un est dans le Christ,
il est une créature nouvelle.
Le monde ancien s’en est allé,
un monde nouveau est déjà né.
    Tout cela vient de Dieu :
il nous a réconciliés avec lui par le Christ,
et il nous a donné le ministère de la réconciliation.
    Car c’est bien Dieu
qui, dans le Christ, réconciliait le monde avec lui :
il n’a pas tenu compte des fautes,
et il a déposé en nous la parole de la réconciliation.
    Nous sommes donc les ambassadeurs du Christ,
et par nous c’est Dieu lui-même qui lance un appel :
nous le demandons au nom du Christ,
laissez-vous réconcilier avec Dieu.
    Celui qui n’a pas connu le péché,
Dieu l’a pour nous identifié au péché,
afin qu’en lui nous devenions justes
de la justice même de Dieu.


    – Parole du Seigneur.

Evangile : « Ton frère que voilà était mort, et il est revenu à la vie » (Lc 15, 1-3.11-32)

    Acclamation :

    Gloire et louange à toi, Seigneur Jésus.
    Je me lèverai, j’irai vers mon père,
    et je lui dirai :
    Père, j’ai péché contre le ciel et envers toi.
    Gloire et louange à toi, Seigneur Jésus.
    (Lc 15, 18)


Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

En ce temps-là,
    les publicains et les pécheurs
venaient tous à Jésus pour l’écouter.
    Les pharisiens et les scribes récriminaient contre lui :
« Cet homme fait bon accueil aux pécheurs,
et il mange avec eux ! »
    Alors Jésus leur dit cette parabole :
    « Un homme avait deux fils.
    Le plus jeune dit à son père :
‘Père, donne-moi la part de fortune qui me revient.’
Et le père leur partagea ses biens.
    Peu de jours après,
le plus jeune rassembla tout ce qu’il avait,     
et partit pour un pays lointain
où il dilapida sa fortune en menant une vie de désordre.
    Il avait tout dépensé,
quand une grande famine survint dans ce pays,
et il commença à se trouver dans le besoin.
    Il alla s’engager auprès d’un habitant de ce pays,
qui l’envoya dans ses champs garder les porcs.
    Il aurait bien voulu se remplir le ventre
avec les gousses que mangeaient les porcs,
mais personne ne lui donnait rien.
    Alors il rentra en lui-même et se dit :
‘Combien d’ouvriers de mon père ont du pain en abondance,
et moi, ici, je meurs de faim !
    Je me lèverai, j’irai vers mon père,
et je lui dirai :
Père, j’ai péché contre le ciel et envers toi.
    Je ne suis plus digne d’être appelé ton fils.
Traite-moi comme l’un de tes ouvriers.’
    Il se leva et s’en alla vers son père.
Comme il était encore loin,
son père l’aperçut et fut saisi de compassion ;
il courut se jeter à son cou
et le couvrit de baisers.
    Le fils lui dit :
‘Père, j’ai péché contre le ciel et envers toi.
Je ne suis plus digne d’être appelé ton fils.’
    Mais le père dit à ses serviteurs :
‘Vite, apportez le plus beau vêtement pour l’habiller,
mettez-lui une bague au doigt et des sandales aux pieds,
    allez chercher le veau gras, tuez-le,
mangeons et festoyons,
    car mon fils que voilà était mort,
et il est revenu à la vie ;
il était perdu,
et il est retrouvé.’
Et ils commencèrent à festoyer.


    Or le fils aîné était aux champs.
Quand il revint et fut près de la maison,
il entendit la musique et les danses.
    Appelant un des serviteurs,
il s’informa de ce qui se passait.
    Celui-ci répondit :
‘Ton frère est arrivé,
et ton père a tué le veau gras,
parce qu’il a retrouvé ton frère en bonne santé.’
    Alors le fils aîné se mit en colère,
et il refusait d’entrer.
Son père sortit le supplier.
    Mais il répliqua à son père :
‘Il y a tant d’années que je suis à ton service
sans avoir jamais transgressé tes ordres,
et jamais tu ne m’as donné un chevreau
pour festoyer avec mes amis.
    Mais, quand ton fils que voilà est revenu
après avoir dévoré ton bien avec des prostituées,
tu as fait tuer pour lui le veau gras !’
    Le père répondit :
‘Toi, mon enfant, tu es toujours avec moi,
et tout ce qui est à moi est à toi.
    Il fallait festoyer et se réjouir ;
car ton frère que voilà était mort,
et il est revenu à la vie ;
il était perdu,
et il est retrouvé ! »


    – Acclamons la Parole de Dieu.

 

Source : http://www.aelf.org/

 

 

 

10 avril 2014

Bienvenue

L'accueil est assuré au presbytère – 9 rue de Kervam :
- pour obtenir tous les renseignements que vous souhaitez avoir sur la vie de la paroisse,
- pour y faire toutes vos démarches concernant la pastorale des sacrements*,
- pour y rencontrer un prêtre, dans la mesure de leur disponibilité.
    Dans ce cas, il est cependant prudent de prendre rendez-vous.

La permanence est assurée par des bénévoles du lundi au samedi, de 9h30 à 12h00 et de 14h30 à 17 heures.

Vous pouvez joindre le presbytère :
· Par téléphone : 02 97 86 32 62
· Par courriel : paroisse.ploemeur@wanadoo.fr
· Par courrier : Presbytère de Ploemeur – 9 rue de Kervam - 56270 PLOEMEUR

* Toute demande d'acte administratif doit se faire uniquement par courrier accompagné d'une enveloppe timbrée à votre adresse pour la réponse.

1 avril 2016

Dimanche 3 avril 2016 - 2ème Dimanche de Pâques Solennité du Seigneur 1ère lecture : « Des foules d’hommes et de femmes, en d

Dimanche 3 avril 2016 - 2ème Dimanche de Pâques
Solennité du Seigneur


1ère lecture : « Des foules d’hommes et de femmes, en devenant croyants, s’attachèrent au Seigneur » (Ac 5, 12-16)

Lecture du livre des Actes des Apôtres

À Jérusalem,
    par les mains des Apôtres,
beaucoup de signes et de prodiges
s’accomplissaient dans le peuple.
Tous les croyants, d’un même cœur,
se tenaient sous le portique de Salomon.
    Personne d’autre n’osait se joindre à eux ;
cependant tout le peuple faisait leur éloge ;
    de plus en plus, des foules d’hommes et de femmes,
en devenant croyants, s’attachaient au Seigneur.
    On allait jusqu’à sortir les malades sur les places,
en les mettant sur des civières et des brancards :
ainsi, au passage de Pierre,
son ombre couvrirait l’un ou l’autre.
    La foule accourait aussi des villes voisines de Jérusalem,
en amenant des gens malades ou tourmentés par des esprits impurs.
Et tous étaient guéris.


    – Parole du Seigneur.

Psaume : Ps 117 (118), 2-4, 22-24, 25-27a

R/

Rendez grâce au Seigneur : Il est bon !
Éternel est son amour !
ou :

Alléluia !

(117, 1)

Oui, que le dise Israël :
Éternel est son amour !
Oui, que le dise la maison d’Aaron :
Éternel est son amour !
Qu’ils le disent, ceux qui craignent le Seigneur :
Éternel est son amour !

 

La pierre qu’ont rejetée les bâtisseurs
est devenue la pierre d’angle :
c’est là l’œuvre du Seigneur,
la merveille devant nos yeux.
Voici le jour que fit le Seigneur,
qu’il soit pour nous jour de fête et de joie !

 

Donne, Seigneur, donne le salut !
Donne, Seigneur, donne la victoire !
Béni soit au nom du Seigneur celui qui vient !
De la maison du Seigneur, nous vous bénissons !
Dieu, le Seigneur, nous illumine.

2ème lecture : « J’étais mort, et me voilà vivant pour les siècles des siècles » (Ap 1, 9-11a.12-13.17-19)

Lecture de l’Apocalypse de saint Jean

    Moi, Jean, votre frère,
partageant avec vous la détresse,
la royauté et la persévérance en Jésus,
je me trouvai dans l’île de Patmos
à cause de la parole de Dieu
et du témoignage de Jésus.
    Je fus saisi en esprit, le jour du Seigneur,
et j’entendis derrière moi une voix forte,
pareille au son d’une trompette.
    Elle disait :
« Ce que tu vois, écris-le dans un livre
et envoie-le aux sept Églises :
à Éphèse, Smyrne, Pergame, Thyatire,
Sardes, Philadelphie et Laodicée. »


    Je me retournai pour regarder
quelle était cette voix qui me parlait.
M’étant retourné,
j’ai vu sept chandeliers d’or,
    et au milieu des chandeliers un être
qui semblait un Fils d’homme,
revêtu d’une longue tunique,
une ceinture d’or à hauteur de poitrine.    
    Quand je le vis,
je tombai à ses pieds comme mort,
mais il posa sur moi sa main droite, en disant :
« Ne crains pas.
Moi, je suis le Premier et le Dernier,
    le Vivant :
j’étais mort,
et me voilà vivant pour les siècles des siècles ;
je détiens les clés de la mort et du séjour des morts.
    Écris donc ce que tu as vu,
ce qui est,
ce qui va ensuite advenir. »


    – Parole du Seigneur.

Evangile : « Huit jours plus tard, Jésus vient » (Jn 20, 19-31)

    Acclamation :

    Alléluia. Alléluia.
    Thomas parce que tu m’as vu, tu crois,
    dit le Seigneur.
    Heureux ceux qui croient sans avoir vu !
    Alléluia.
    (Jn 20, 29)


Évangile de Jésus Christ selon saint Jean

C’était après la mort de Jésus.
        Le soir venu, en ce premier jour de la semaine,
alors que les portes du lieu où se trouvaient les disciples
étaient verrouillées par crainte des Juifs,
Jésus vint, et il était là au milieu d’eux.
Il leur dit :
« La paix soit avec vous ! »
    Après cette parole, il leur montra ses mains et son côté.
Les disciples furent remplis de joie
en voyant le Seigneur.
    Jésus leur dit de nouveau :
« La paix soit avec vous !
De même que le Père m’a envoyé,
moi aussi, je vous envoie. »
    Ayant ainsi parlé, il souffla sur eux
et il leur dit :
« Recevez l’Esprit Saint.
    À qui vous remettrez ses péchés,
ils seront remis ;
à qui vous maintiendrez ses péchés,
ils seront maintenus. »


    Or, l’un des Douze, Thomas,
appelé Didyme (c’est-à-dire Jumeau),
n’était pas avec eux quand Jésus était venu.
    Les autres disciples lui disaient :
« Nous avons vu le Seigneur ! »
Mais il leur déclara :
« Si je ne vois pas dans ses mains la marque des clous,
si je ne mets pas mon doigt dans la marque des clous,
si je ne mets pas la main dans son côté,
non, je ne croirai pas ! »


    Huit jours plus tard,
les disciples se trouvaient de nouveau dans la maison,
et Thomas était avec eux.
Jésus vient,
alors que les portes étaient verrouillées,
et il était là au milieu d’eux.
Il dit :
 « La paix soit avec vous ! »
    Puis il dit à Thomas :
« Avance ton doigt ici, et vois mes mains ;
avance ta main, et mets-la dans mon côté :
cesse d’être incrédule,
sois croyant. »
    Alors Thomas lui dit :
« Mon Seigneur et mon Dieu ! »
    Jésus lui dit :
« Parce que tu m’as vu, tu crois.
Heureux ceux qui croient sans avoir vu. »


    Il y a encore beaucoup d’autres signes
que Jésus a faits en présence des disciples
et qui ne sont pas écrits dans ce livre.
    Mais ceux-là ont été écrits
pour que vous croyiez
que Jésus est le Christ, le Fils de Dieu,
et pour qu’en croyant, vous ayez la vie en son nom.


    – Acclamons la Parole de Dieu.


Source : http://www.aelf.org/

26 août 2016

Dimanche 28 août 2016 - 22ème dimanche du Temps Ordinaire

Dimanche 28 août  2016 - 22ème dimanche du Temps Ordinaire



1ère lecture : « Il faut t’abaisser : tu trouveras grâce devant le Seigneur » (Si 3, 17-18.20.28-29)

Lecture du livre de Ben Sira le Sage

Mon fils, accomplis toute chose dans l’humilité,
et tu seras aimé plus qu’un bienfaiteur.
    Plus tu es grand, plus il faut t’abaisser :
tu trouveras grâce devant le Seigneur.
    Grande est la puissance du Seigneur,
et les humbles lui rendent gloire.
    La condition de l’orgueilleux est sans remède,
car la racine du mal est en lui.
    Qui est sensé médite les maximes de la sagesse ;
l’idéal du sage, c’est une oreille qui écoute.


    – Parole du Seigneur.

Psaume : Ps 67 (68), 4-5ac, 6-7ab, 10-11

R/

Béni soit le Seigneur :
il élève les humbles.

(cf. Lc 1, 52)

Les justes sont en fête, ils exultent ;
devant la face de Dieu ils dansent de joie.
Chantez pour Dieu, jouez pour son nom.
Son nom est Le Seigneur ; dansez devant sa face.

 

Père des orphelins, défenseur des veuves,
tel est Dieu dans sa sainte demeure.
A l’isolé, Dieu accorde une maison ;
aux captifs, il rend la liberté.

 

Tu répandais sur ton héritage une pluie généreuse,
et quand il défaillait, toi, tu le soutenais.
Sur les lieux où campait ton troupeau,
tu le soutenais, Dieu qui es bon pour le pauvre.

2ème lecture : « Vous êtes venus vers la montagne de Sion et vers la ville du Dieu vivant » (He 12, 18-19.22-24a)

Lecture de la lettre aux Hébreux

Frères,
quand vous êtes venus vers Dieu,
    vous n’êtes pas venus vers une réalité palpable,
embrasée par le feu, comme la montagne du Sinaï :
pas d’obscurité, de ténèbres ni d’ouragan,
    pas de son de trompettes
ni de paroles prononcées par cette voix
que les fils d’Israël demandèrent à ne plus entendre.


    Mais vous êtes venus vers la montagne de Sion
et vers la ville du Dieu vivant, la Jérusalem céleste,
vers des myriades d’anges en fête
    et vers l’assemblée des premiers-nés
dont les noms sont inscrits dans les cieux.
Vous êtes venus vers Dieu, le juge de tous,
et vers les esprits des justes amenés à la perfection.
    Vous êtes venus vers Jésus,
le médiateur d’une alliance nouvelle.


    – Parole du Seigneur.

Evangile : « Quiconque s’élève sera abaissé, qui s’abaisse sera élevé » (Lc 14, 1.7-14)

    Acclamation :

    Alléluia. Alléluia.
    Prenez sur vous mon joug, dit le Seigneur ;
    devenez mes disciples,
    car je suis doux et humble de cœur.
    Alléluia.
    (cf. Mt 11, 29ab)


Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

Un jour de sabbat,
Jésus était entré dans la maison d’un chef des pharisiens
pour y prendre son repas,
et ces derniers l’observaient.
    Jésus dit une parabole aux invités
lorsqu’il remarqua comment ils choisissaient les premières places,
et il leur dit :
    « Quand quelqu’un t’invite à des noces,
ne va pas t’installer à la première place,
de peur qu’il ait invité un autre plus considéré que toi.
    Alors, celui qui vous a invités, toi et lui,
viendra te dire : ‘Cède-lui ta place’ ;
et, à ce moment, tu iras, plein de honte, prendre la dernière place.
    Au contraire, quand tu es invité,
va te mettre à la dernière place.
Alors, quand viendra celui qui t’a invité, il te dira :
‘Mon ami, avance plus haut’,
et ce sera pour toi un honneur
aux yeux de tous ceux qui seront à la table avec toi.
    En effet, quiconque s’élève sera abaissé ;
qui s’abaisse sera élevé. »


    Jésus disait aussi à celui qui l’avait invité :
« Quand tu donnes un déjeuner ou un dîner,
n’invite pas tes amis, ni tes frères,
ni tes parents, ni de riches voisins ;
sinon, eux aussi te rendraient l’invitation
et ce serait pour toi un don en retour.
    Au contraire, quand tu donnes une réception,
invite des pauvres, des estropiés,
des boiteux, des aveugles ;
    heureux seras-tu,
parce qu’ils n’ont rien à te donner en retour :
cela te sera rendu à la résurrection des justes. »


    – Acclamons la Parole de Dieu.



Source : http://www.aelf.org/ 

3 septembre 2016

Semaine du 4 au 10 septembre 2016

EGLISE St PIERRE (centre ville)

Dimanche   4 :   9h00    Intention Mme Yvette CARRIO – Mme Jeannine LE BIHAN

                                       M. Robert LE FOULGOC – M. Pierre LE GALLO

                         11h00    Messe d'au revoir du père Ivan BRIENT

                                       Intention M. Christophe CIVEL – Mme Jeannette BERTHELE

                                       Mme Germaine LE GARREC – Familles GOURVEN - HELLEGOUARCH

                                       Service de prières aux défunts Janvier – Février et Mars 2016*

Mardi        6 :   14h30    Obsèques de Mme Louise MOISAN

                         18h30    Intention Mme Marie Josèphe LE QUINTREC

Mercredi   7 :     9h00    Laudes

                           9h15    Intention Mme Marie Josèphe LE QUINTREC

Jeudi 8 :             9h15    Pas de messe

Samedi     10 :  14h30   Mariage de Fatou et Joël KERARON

Dimanche 11 :    9h00   Intention M. Pierre ESVAN – M. Eugène MORVANT

                          11h00   Messe d'installation du père Armel de la MONNERAYE

                                       Messe anniversaire Mme Renée JOUANNET

                                       Intention M. Pierre GOBET – M. SALLA

                                       Service de prières aux défunts Avril – Mai et Juin 2016*

                         12h00    Baptême d'Anaïs LE GUILLOU

* Liste nominative affichée à la porte de l'église – porche sud

 

CHAPELLE NOTRE DAME DE LA GARDE (Lomener)

Samedi     3 :   18h00    Intention M. Jean GARIN – Fabien HASCOET – M. LE GALLO

                                      M. Michel VILSALMON – M. et Mme Mathilde et Léon FERRERO

Vendredi   9 :    9h15    Intentions paroissiales

Samedi    10 : 18h00    Intention Pierre et Anne-Marie GUEGAN – M. et Mme Jean-Marie THIERY

                                     M. Eugène MORVANT

 

Célébration(s) / Messe(s) :

Jeudi 8 : 15h00 Célébration à Ter et Mer

 

Nos peines : M. Bernard SEVELLEC, 61 ans

 

Dimanche 4 septembre - 11h00 - église St Pierre

Messe d'Au Revoir au père Ivan Brient.

Cette célébration sera suivie du verre de l'amitié sur le parvis de l'église.

 

A noter sur votre agenda

Dimanche 11 septembre - 11h00 - église St Pierre

Messe d'Installation du père Armel de la Monneraye.

Cette célébration sera suivie du verre de l'amitié sur le parvis de l'église

et d'un pique-nique, apporté par chacun, à la salle Ninnoch.

 

Si vous souhaitez offrir des fleurs de votre jardin

pour la décoration de l'église ou de la chapelle de Lomener,

merci de les déposer le vendredi entre 9h30 et 10h00.

 

Inscriptions à la catéchèse (tous niveaux) et à l'A.C.E.

Samedi 10 septembre de 10h00 à 12h00 - presbytère

 

Concert de musique Irlandaise à la chapelle Notre Dame de la Garde – dimanche 18 septembre à 18h00

 

L'A.C.E. (Perlins, Fripounets,Triolos) reprend ses activités le 1er octobre de 10h30 à 12h00.

Inscription le 10 septembre lors du forum des associations au centre Océanis.

Contact : Claudine au 06 26 45 88 10 ou Laurence au 06 71 49 16 56

......

28 février 2015

Conseil Pastoral

  Le Conseil Pastoral est un lieu :
        * d'écoute et de dialogue,
      * de découverte mutuelle des différents mouvements ou groupes existant dans la paroisse, en vue de permettre une collaboration plus étroite entre eux,
        * de réflexion sur ce que vivent les chrétiens d'aujourd'hui dans la société et dans l'Eglise,
        * de concertation et d'impulsion,
        * d'initiatives : temps forts, propositions de formation …


1 août 2015

Les pardons bretons

De mai à octobre, tandis que les touristes envahissent les terres bretonnes, cantiques et litanies s'élèvent vers le ciel armoricain en même temps que se hissent en des processions colorées bannières, croix, reliques, statues de saints portées par des hommes ou des femmes en costume traditionnel. Les pardons bretons semblent bien constituer une spécificité du folklore local. Mais ils expriment aussi de façon remarquable la foi, la piété et la dévotion du peuple breton envers ses saints protecteurs.

Entre folklore et sacralité

Le Pardon trouve ses origines dans les confréries qui divisaient les paroisses en quartiers : chacune se mettait sous la protection d'un saint et lui portait une dévotion particulière. Les habitants du quartier se devaient aide et assistance au sein de la confrérie : ils se réunissaient une ou deux fois par an pour rétablir leur unité et se donner un pardon mutuel. À partir du XVe siècle, la construction des églises permit les premiers pèlerinages : de grandes assemblées se réunissaient en des messes solennelles et en des processions pour obtenir le pardon des péchés, les indulgences, exécuter un vœu ou encore demander des grâces.
Ces traditions religieuses ancestrales trouvent aujourd'hui un regain grâce au rôle de nombreuses associations. Leur caractère social et identitaire est clairement manifesté, comme le prouve la fête populaire qui les clôt : les danses bretonnes viennent mêler le profane au sacré. Traditions vivantes mêlant folklore et sacralité, les pardons sont donc bien une racine  pour l'identité bretonne.

1 200 pardons bretons

Ainsi, ce ne sont pas moins de 1 200 pardons qui sont chaque année fêtés en Bretagne.
Tous ne s'équivalent pas cependant : de grands pardons tels que celui de Sainte Anne d'Auray rassemblent des milliers de personnes et touristes, mais la majorité sont des petits pardons pleins de ferveur religieuse. Parmi les plus connus, nous pouvons citer le pardon de Saint-Yves à Tréguier (22) le troisième dimanche de mai, celui de Notre-Dame de Bon-Secours à Guingamp (22) le premier dimanche de juillet, de la Saint-Guénolé à Batz-sur-Mer (44) le premier dimanche d'août ou encore celui de Notre-Dame du Folgoët (29) au Folgoët le premier dimanche de septembre.

Certains pardons s'échelonnent sur tout un territoire. Certains suivent de longs itinéraires appelés « troménies » (tour du territoire du saint, en breton). Ainsi de la « Grande Troménie de Locronan » (deuxième dimanche de juillet) qui, tous les six ans, suit un parcours de 12 kilomètres ponctué de chapelles votives improvisées. Mais le plus connu et celui qui a le plus d'ampleur est bien le Tro-Breiz, « le tour de Bretagne ». Depuis le XIIe siècle, les sept saints fondateurs des évêchés armoricains sont vénérés dans un parcours de plus de 500 kilomètres reliant leurs tombeaux aux sept évêchés : Samson à Dol, Malo à Saint-Malo, Brieuc à Saint Brieuc, Tugdual à Tréguier, Pol-Aurélien à Saint-Pol-de-Léon, Corentin à Quimper et Patern à Vannes.

Le regain de cette tradition a par ailleurs vu l'apparition de nouveaux pardons insolites, fruits de la société contemporaine : le pardon islamo-chrétien au Vieux-Marché (22) le quatrième dimanche de juillet, créé en 1954, symbolisant le rapprochement de l'Islam et de la Chrétienté, ou encore, depuis 1979, le pardon de la Madone des Motards à Porcaro (56) le 15 août, au cours duquel le recteur bénit les motos.

 Par Bénédicte Bouley
www.cef.fr

 

5 janvier 2013

La paroisse aux trente chapelles

Article en cours de rédaction

Pendant longtemps, Ploemeur constitua l’une des plus vastes communes du diocèse de vannes. Le démembrement de la « grande paroisse », notamment au profit de Lorient ou Larmor diminua son étendue, qui demeure cependant importante.
La tradition veut que Ploemeur soit également connue comme la « paroisse aux trente chapelles ». Si beaucoup d’entre elles ont disparu avec le temps et les ravages de la seconde guerre mondiale, la ville peut s’enorgueillir de toujours disposer d’un important patrimoine religieux.

Nous connaissons encore le nom et l’emplacement de certaines d’entre elles :
Saint-Adrien, situé au village du même nom
Saint-Antoine, près du village de Kermelo
Saint-Armel, situé dans le quartier lorientais du même nom
Saint-Bieuzy, une statue existe toujours au presbytère
Sainte-Brigitte, au Moustoir-Berhiet
Saint-Christophe des Montagnes ou Saint-Michel, en un lieu pour l’instant inconnu
Saint-Christophe à Kérentrech
Saint-Cornély au village de Kervernoïs
Saint-Déron ou Saint-Aaron, ce lieu-dit est situé à proximité de la chapelle Sainte-Anne
Saint-Félan, au Moustoir saint Félan (de nos jours s’y trouve l’église du Moustoir)
Saint-Gabriel, s’élevait dans les champs auprès du moulin à vent de Bec-Er-Groix
Saint-Hilaire à Lomener, la statue de saint Hilaire aurait été empruntée par les groisillons pour être exposée dans une de leur chapelle
Saint-Jean à Korguen
Saint-Laurent, au sud de la rivière du Ter
Chapelle de la Madeleine, (aussi qualifiée de « Karkous » en breton), puisqu’elle était réservée aux lépreux qui pouvaient s’y regrouper
Saint-Michel au village de la Montagne
Saint-Nicolas, près de Kervénanec
Sainte-Ninnoc, au village qui porte son nom à Lannénec (ancien prieuré)
Notre Dame de Larmor est la seule de ces chapelles à exister aujourd’hui
Notre Dame de Pitié à Locmaria-Er-Hoat
Notre Dame du Plascaer sur l’îlot de Tanguethen
Saint-Thurien au village de Kerhoas
La chapelle de la Vraie Croix sur la route du bourg au Nével, en ruine en 1923, est détruite sur avis du conseil municipal en 1930.

24 septembre 2013

Installation du père Ivan Brient

Dimanche, sur le parvis de l’église Saint-Pierre-Aux-Liens, Ivan Brient, le nouveau curé doyen, a reçu des mains de Loïc Le Meur, le maire, les clés de son église ; puis il a été officiellement présenté à la communauté paroissiale par Gwenaël Maurey, archiprêtre de Lorient.

C’est devant un parterre d’enfants tenant des rubans multicolores et une nombreuse assistance, y compris ses anciens paroissiens de Malestroit et de sa famille, que le nouveau prêtre, âgé de 41 ans, a été accueilli dans cette messe de rentrée, au cours de laquelle il aura, entre autres, accueilli Isabelle Guillo, animatrice en pastorale.

Avant la célébration eucharistique qu’il a présidée aux côtés de prêtres et diacres, les membres du conseil pastoral lui ont souhaité la bienvenue par quelques mots en breton et aux sons de la cornemuse.

Mgr Centène, évêque de Vannes, lui a confié l’action du comité de pilotage, chargé « d’accompagner la pastorale en breton ».

Cette première célébration eucharistique a donné un avant goût aux paroissiens, visiblement enchantés de cette rencontre avec leur nouveau pasteur.

« Du changement, quelque chose de nouveau, de rafraîchissant, quelqu’un qui prend les jeunes en compte… » sont les propos entendus sur le parvis de l’église.

Après la messe, les paroissiens furent nombreux à partager avec Ivan Brient un moment de convivialité à la salle Ninnoch.

Texte : Mireille Melon pour Le Télégramme

29 septembre 2013

Interview du Père Ivan Brient

Trois questions à... Ivan Brient, curé doyen de la paroisse de Ploemeur.

Qui êtes-vous et quel a été votre parcours avant d'arriver à Ploemeur ?

Je suis né en 1972, à Auray, mais je suis originaire de Plougoumelen. J'ai suivi mes études à Sainte-Anne-d'Auray puis à Rennes, avant de rentrer au séminaire interdiocésain de Vannes, en 1993. J'ai ensuite effectué deux années de coopération missionnaire au Burkina Faso. À mon retour en France, en 1998, j'ai repris ma formation en vue du sacerdoce, à Vannes, puis à Rennes. J'ai été ordonné prêtre en 2001. Suite à mon ordination, j'ai été envoyé faire des études à l'Institut biblique de Rome et à l'École biblique et archéologique française de Jérusalem. Je suis revenu dans le diocèse de Vannes en 2004. Formateur au séminaire Saint-Yves de Rennes, j'étais également au service des paroisses de Malestroit jusqu'à ma nomination comme curé doyen de Ploemeur.

Après dix jours passés à Ploemeur, quel regard portez-vous sur votre nouvelle paroisse ?

Ploemeur bénéficie d'une belle diversité de populations. Toutes les sensibilités catholiques sont représentées ici, elles font la richesse de la paroisse. J'ai été immédiatement frappé par le nombre de chrétiens investis à tous niveaux. Ils ont mis en place une organisation remarquable. Je me réjouis aussi de constater l'engagement des jeunes dans des mouvements comme les Scouts et l'ACE (Action catholique des enfants).

Comment envisager-vous votre ministère paroissial ?

Je ne l'envisage pas seul ! Je souhaite travailler en équipe avec les chrétiens de la commune et bien sûr avec le père Jean Le Berrigaud et Isabelle Guillo, l'animatrice en pastorale. Je n'oublie pas les deux écoles et le collège privés. Je porterai aussi une attention particulière au travail des mouvements de solidarité. Enfin, je veillerai à la beauté de la liturgie : qu'on ait envie de venir à la messe.

Interview publiée avec l'aimable autorisation de l'auteur.

3 janvier 2015

Nedeleg

Nedeleg. En noz-mañ eh eus digouezhet un darvoud en deus chañjet ar bed : ganedigezh ur c’hrouadur hag en deus chañjet istoer mab-den. Ur c’hraou, un azenn, un ejon, un tad hag ur vamm… hag en o mesk : ur c’hrouadur.

Ha perag ober ur gouel henoazh neuze ? Boud a zo ur bochad a azenned er bed, ur bochad a oc'hen, e-leizh a dadoù hag a vammoù , e-leizh a vugale ivez… Petra zo spesial ged ar familh-se?
Ged ar vugulion e kaveet ar respont ; ar vugulion en-deus lakaet o deñved da beuriñ er parkeier tro dro da Vetleem. Ar ré-se a oar piv eo ar c’hrouadur-se. Gouiet a rant an dra-se dre an Aeled : ar Salver Jezuz-Krist eo ar c’hrouadur-se, Doue daet da vout den.

Ya, ar vugulion eo ar ré a zo bet choajet get Doue. Gellet en devehe Doue choajiñ tud lennek, tud ketabl da skriv ha da embann an doere. Ne pas ! Choajet en deus bugulion, tud simpl ha n’anavent ket anezhe kalz a draoù a fed skiantoù nag a fed davnez ar Bibl. Hentoù Doue, n’int ket hentoù mab-den.
Choajet en deus Doue ar re vihan aveit kemenn an doere brasañ : ganedigezh an hani brasañ, ganedigezh e vab Jezuz.
Ur skouer eo aveidomp. Aveid anavoued an traoù doueel ema ret bout simpl, izel a galon, bihan bihan, evel bugulion an amzer-hont.
Lâret a vo an dra-se get Jezus eñ-memb ha pa vo é kerzhiñ àr vord mor Galile : “An hani a venn monet da Rouantelezh an neañv, ema ret dezhoñ bout evel ur c’hrouadur.”
Ya, joa ar vugale, glanded o spered, izelded o c’halon : setu an hent da vonet beta Doue.

Daousto mah eus ur bochad argant dispignet tro ha tro deomp en amzer Nedeleg: aveid ar boued, ar prezantoù, ar gouloùier lakaet e peb lec’h, ne faot ket ankouahat orin gouel Nedeleg, mamenn gouel Nedeleg : Vennet en deus Doue donet er bed dre hent ar baourentez. Neuze, red eo er lâret : Nededeg a c'heller kompren ar mister anezhoñ get kalon ur c’hrouadur, get ur galon izel ha simpl. E pad an nozvezh-mañ, chomomp e spered Nedeleg.
Sellomp doc’h ar c’hraou, ha setu tout !

Père Ivan Brient
Curé de Ploemeur

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