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paroisse
13 janvier 2016

Les vœux de la paroisse


Les vœux de la paroisse vus par la presse.

Cliquez sur les photos pour les agrandir.

Le Télégramme - le 12 janvier 2016

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Ouest France - le 11 janvier 2016

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10 janvier 2016

Le baptême du Seigneur


Pourquoi fêter le baptême du Christ ?


Au terme du temps de Noël, la fête du Baptême du Seigneur vient exprimer la profonde communion entre Dieu et l'humanité.

Une fête liturgique moins connue que l'Epiphanie

Baptême-de-Jésus-Année-AL'antienne du chant du magnificat aux vêpres de l'Epiphanie, indique que cette fête synthétise trois événements : "Nous célébrons trois mystères en ce jour. Aujourd'hui l'étoile a conduit les mages vers la crèche ; aujourd'hui l'eau fut changée en vin aux noces de Cana ; aujourd'hui le Christ a été baptisé par Jean dans le Jourdain pour nous sauver, alléluia". L'Epiphanie annonce donc déjà le baptême du Christ, nous faisant ainsi faire un bond de... 30 ans !

Ainsi, nous sommes propulsés de "Jésus enfant" à "Jésus adulte". Nous passons de la sphère "privée" autour de la Sainte Famille, des Mages, des Bergers et des Anges à la sphère "publique" qui correspond au "lancement" de la vie publique de Jésus, avec Jean-Baptiste, la foule des pécheurs venus se faire baptiser par lui dans le Jourdain.

Que se passe-t-il au Baptême du Christ ?

Les  évangélistes nous rapportent que Jean Baptiste prêche un baptême de conversion, dans les eaux du Jourdain, annonçant la venue de celui qui baptiserait dans l'Esprit Saint.
Chez l'évangéliste Matthieu, les deux cousins, Jean et Jésus, échangent : Jean s'oppose à le baptiser, réclamant de Jésus qu'il le baptise, au contraire. Mais, répond Jésus, "laisse faire, il faut accomplir ce qui est juste"... Chez l'évangéliste Luc, Jean se sait indigne de dénouer la courroie de ses sandales.
Dans les quatre évangiles, le Baptiste atteste, témoigne, de ce qu'il a vu et entendu : dès que Jésus a été baptisé, il a vu les cieux s'ouvrir, une colombe descendre sur Jésus symbolisant l'Esprit Saint ; il a aussi entendu une voix, celle du Père, disant que Jésus est son fils bien-aimé. La foule présente est aussi témoin de cela.
Les Pères de l'Eglise ont déduit deux choses importantes : d'une part, Jésus, avec humilité, revêt symboliquement le péché de l'humanité en plongeant dans les eaux du Jourdain, et la délivre, en fait, de la mort ; d'autre part, nous sommes témoins de la première manifestation du Dieu Trinité.

Catherine Sesboüé, religieuse de l'Assomption.

Source : www.croire.com

3 janvier 2016

L’Epiphanie

epiphanieDu grec épiphanéia : « apparition » ; de épiphainéin : « paraître ou briller sur ». La Solennité de l’Epiphanie célèbre la manifestation de Jésus comme Messie. La fête est venue d’Orient où elle a été fixée au 6 janvier : fête des lumières, fête de l’eau, elle est beaucoup plus la célébration de l’inauguration du ministère public du Christ, lors de son baptême au Jourdain, qu’une festivité des événements de l’enfance de Jésus.

En Occident, l’Epiphanie, fixée au 6 janvier ou au dimanche situé entre le 2 et le 8 janvier, est surtout la fête des Mages ou des « Rois ». Les manifestations inaugurales de la vie publique ne sont pas oubliées, puisque l’office de la fête parle des trois mystères de ce jour comme n’en faisant qu’un : l’adoration des Mages, le baptême de Jésus et les noces de Cana (cf. Antienne de Magnificat aux secondes Vêpres) ; il faut dire cependant que les Mages retiennent presque toute l’attention.

Pour laisser à l’Epiphanie toute sa dimension de « Pentecôte » du cycle de la Nativité, l’Église latine a récemment instauré la Fête du Baptême du Seigneur, célébrée le dimanche qui suit l’Epiphanie.

Approfondir le thème : cliquez ici
Source : www.eglise.catholique.fr
Iconographie : L'Adoration des mages peint par Matthias Stom


27 décembre 2015

La Sainte Famille


Un modèle de famille ?

La Sainte Famille met en évidence les attitudes fondamentales pour toute famille : personne n’appartient à personne, et chacun agit selon sa propre vérité, qui réside dans sa relation à Dieu.

la sainte familleDéclarée sainte et proposée en exemple à toutes nos familles, la famille de Jésus n’est pourtant pas un modèle du genre : un projet de rupture de fiançailles ; un "père" qui n’est pas le père ; un accouchement en voyage et dans la précarité ; un fils unique, du moins à s’en tenir aux évangiles de l’enfance ; un enfant qui fait une fugue à douze ans… Sans compter que les évangiles ne citent aucune parole de Joseph et que Marie "garde toutes ces choses dans son cœur". La communication n’est pas au premier plan ! Nous devons chercher ailleurs ce qui fait la perfection de cette famille.

Les fondamentaux de la famille

D’abord, elle est qualifiée de "sainte". Nous avons réduit le sens de ce mot à une signification morale. En fait, ce qui est saint, dans l’Écriture, c’est ce qui appartient à Dieu. Le nombre des membres de la famille, trois, veut-il nous renvoyer à la Trinité ? Difficile à dire, même s’il est vrai que nous ne pouvons devenir images de Dieu qu’en nous faisant relations, et que les relations primordiales sont la paternité, la maternité, la filiation. Tous les autres liens s’en inspirent, et quand Jésus dira qu’il faut quitter père et mère pour le suivre, cela signifiera que nous sommes appelés à une seconde naissance. Cependant, si la famille de Jésus a pu être considérée comme exemplaire, c’est qu’elle met en évidence des attitudes fondamentales, essentielles pour toute famille.

Amour des autres, amour de Dieu

Bien entendu, la première idée qui vient à l’esprit est que la famille du Christ se caractérise par l’amour mutuel. Mais qu’est-ce que l’amour? On le confond facilement avec le désir de posséder ou d’être possédé. Or, avec le Christ, nous apprenons qu’il consiste au contraire à se déposséder. L’amour atteint sa perfection quand il donne sans chercher la réciprocité. Si les Évangiles ne nous rapportent qu’un seul dialogue échangé dans la famille de Jésus (Luc 2,48-49), c’est que l’amour ne réside pas dans des paroles mais dans la décision de donner et de se donner. Un tel amour crée une dépendance.

Dans les Évangiles, la dépendance d’amour vis-à-vis des autres découle d’une dépendance vis-à-vis de Dieu. Joseph reçoit d’un ange pendant son sommeil, dans une totale inactivité, les décisions qu’il doit prendre. Marie adhère au projet de Dieu. Jésus se consacre "aux affaires de son Père" (Luc 2,49). Chacun a sa relation personnelle à Dieu, et c’est à partir de là qu’il prend ses décisions.

Un modèle ?

Certains se demanderont comment cette obéissance à Dieu peut se concilier avec notre liberté. C’est que Dieu n’est pas un suzerain aux décisions arbitraires et même capricieuses, mais le dynamisme intelligent et amoureux qui nous fait être et nous achemine vers notre plénitude. Jésus, Marie et Joseph sont parfaitement libres parce qu’ils coïncident avec leur propre vérité, qui est divine. Cette liberté-vérité de chacun est totalement respectée par les autres. Dans cette famille, personne n’appartient à personne et chacun reste au seuil du mystère de l’autre. Jésus n’est pas pour ses parents, il se doit aux affaires de son Père. Déjà Syméon leur avait signifié que cet enfant ne leur appartenait pas puisqu’il était "lumièrepour éclairer les nations et glorifier Israël" (Luc 2,32). Joseph prend ses décisions selon la voix de ses rêves. Marie est seule quand elle dit "oui"à l’ange. Mais ces notes distinctes forment ensemble une mélodie. En cela toutes les familles ont à imiter celle de Jésus. L’amour commence par le respect de l’autre en sa différence.

P. Marcel Domergue - 2012

Source : www.croire.com
Iconographie : "La Sainte Famille avec Saint Joaquim et Sainte Anne devant l’Eternelle Gloire" - Francisco de Goya - 1769

26 décembre 2015

Les crèches ploemeuroises

Les crèches ploemeuroises vues par la presse.

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Extrait du journal Le Télégramme - jeudi 24 décembre 2015

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25 décembre 2015

Que fête-t-on à Noël ?


Les rues s’illuminent, se parent d’étoiles et de guirlandes. On parle cadeaux, bûches et sapins… Pas de doute, la fête de Noël approche ! Qu’est-ce qui en est à l’origine ? Que veut dire la naissance du Christ, pour nous aujourd’hui ?

On entend dire parfois : « Noël, c’est un rêve, c’est magnifique ! ». Il est vrai que pour beaucoup de gens, Noël, y compris chez les non-chrétiens, est une fête importante qui touche la famille, les enfants notamment qui sont comblés de cadeaux ce soir-là.

Noël, une fête pour tous
Noël, c’est le sapin illuminé dans nos maisons, dans nos villages, dans nos villes, sur les places publiques. Noël, c’est la période où les magasins sont devenus, plus que d’habitude, les « temples de la consommation». Le soir, le repas traditionnel du « réveillon » est un moment important de convivialité, de remise et d’échanges de cadeaux, aux enfants en priorité, mais aussi aux adultes qui veulent se faire plaisir. Noël revêt aussi cet aspect d’intimité, de proximité. C’est essentiellement le noyau familial : parents et enfants, qui se trouvent réunis autour de la table, du sapin illuminé et aussi souvent de la crèche. Noël invite, presque naturellement, au respect, à quelque chose de sacré, même pour les non-chrétiens. On entend dire parfois : «Noël, pour nous, c’est sacré». Le mot «sacré» signifie dans l’expression «important». Toute cette représentation festive de Noël a sa valeur en elle-même.

Noël, au-delà des cadeaux
Cependant, le sens ultime de la fête de Noël ne réside pas seulement dans les cadeaux ou la consommation, ou même la famille. Pour le chrétien, Noël n’a pas seulement un aspect de rêve ou de magie. Noël est une réalité historique, humaine et spirituelle. Jésus est situé dans une histoire. Il a vécu dans un petit pays, appelé la Palestine, occupé à cette époque par les Romains. Au moment où Jésus est né, des bergers qui étaient là dans les environs de ce petit village appelé Bethléem entendent un ange qui leur dit : « Soyez sans crainte, voici que je vous annonce une grande joie qui sera celle de tout le peuple : aujourd’hui vous est né un Sauveur qui est le Christ Seigneur, dans la ville de David. Vous trouverez un nouveau-né enveloppé de langes et couché dans une crèche. » Et soudain, une troupe nombreuse de l’armée céleste louait Dieu en disant : « Gloire à Dieu au plus haut des cieux et Paix sur la terre aux hommes de bonne volonté. »

Jésus, notre cadeau de Noël
Oui, en effet, cette nuit-là, le monde entier a reçu un cadeau : Dieu a envoyé son fils dans le monde comme un cadeau fait à l’humanité. Ce cadeau, nous pouvons en vivre tous les jours si nous acceptons le message de l’Evangile, si nous acceptons de croire en ce Jésus de Noël qui donne sens à notre vie. Une bible, éditée il y a de nombreuses années, porte sur sa couverture cette très belle phrase : « La bible est un trésor ». C’est une chance de posséder un trésor qui contient un appel à l’amour, à la Paix, à la Joie, à l’Espérance. C’est le message de Noël, c’est le message de l’Evangile qui nourrit la vie des chrétiens.

Père Maurice Allaire, diocèse de Coutances

Approfondir le thème

Source : www.noel.catholique.fr

I

21 décembre 2015

Le sens de Noël


Pour les chrétiens, la fête de Noël (du latin natalis, « naissance », « nativité ») célèbre la naissance de Jésus, Fils de Dieu, le Sauveur attendu, annoncé par les prophètes.

Jésus veut dire en hébreu « Dieu sauve ». Ce nom même révèle son identité et sa mission, sauver les hommes et les conduire vers le Père.

creche de noel

La naissance de Jésus est le coeur de ce qu’on appelle le « mystère de l’Incarnation »: « Au temps établi par Dieu, le Fils unique du Père, la Parole éternelle, s’est incarné : sans perdre la nature divine, Il a assumé la nature humaine ».
Le Credo – également appelé « Je crois en Dieu » -, récité au cours de chaque messe dominicale, résume ainsi cet événement : « Pour nous les hommes et pour notre salut, Il descendit du ciel. Par l’Esprit Saint, Il a pris chair de la Vierge Marie et s’est fait homme ».

Le Fils de Dieu s’est fait homme !
Comme le racontent les évangélistes Luc et Mathieu, Marie « mit au monde son fils premier-né ; elle l’emmaillota et le coucha dans une mangeoire ». Dans les environs, se trouvaient des bergers. L’Ange du Seigneur s’approcha et leur dit : « Aujourd’hui vous est né un Sauveur dans la ville de David. Il est le Messie, le Seigneur. Et voilà le signe qui vous est donné : vous trouverez un nouveau-né emmailloté et couché dans une mangeoire ».

« Rien de merveilleux, rien d’extraordinaire, rien d’éclatant n’est donné comme signe aux bergers, commentait récemment le pape Benoit XVI. Ils verront seulement un enfant entouré de langes qui, comme tous les enfants, a besoin de soins maternels ; un enfant qui est né dans une étable et qui, de ce fait, est couché non pas dans un berceau, mais dans une mangeoire. Le signe de Dieu est l’enfant, avec son besoin d’aide et sa pauvreté ».

Cette simplicité est frappante en effet : le fils de Dieu n’est pas venu avec puissance ni grandeur visible. Il ne s’est pas imposé. Ainsi, en l’absence de place dans la salle commune, Il s’est contenté d’une mangeoire, habituellement réservée aux animaux.

Dans l’étonnant déroulement de cet événement inouï – le Fils de Dieu s’est fait homme ! -, les Pères de l’Eglise ont vu bien des signes : d’abord parce que l’enfant de Bethléem est né pauvre parmi les pauvres qu’étaient les bergers.

Egalement parce qu’enfant, il est faible et sans défense. Jésus vient ainsi parmi les hommes en partageant en tout leur condition humaine, à l’exception du péché. Il dira d’ailleurs plus tard « J’avais faim, et vous m’avez donné à manger ; j’avais soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais un étranger, et vous m’avez accueilli ; j’étais nu, et vous m’avez habillé ; j’étais malade, et vous m’avez visité ; j’étais en prison, et vous êtes venus jusqu’à moi ! ».

Il ne parlait pas, alors, des circonstances de sa naissance. Mais il exprimait ce que nous constatons lors de sa naissance : Il s’identifie à chacun de nous. « Chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces petits qui sont mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait ».

Par ailleurs, la venue des rois mages manifeste que le Fils de Dieu est venu pour les hommes de tous les pays et de tous les temps. Et en effet, à la fin de sa vie terrestre, Jésus enverra ses apôtres en mission en leur disant : « Allez dans le monde entier, proclamez l’Evangile à toute la création ».

La mangeoire, enfin, symbolise l’autel. Pour vivre, l’homme a besoin de nourriture. Mais, comme Jésus le dira souvent au cours de sa vie publique, l’homme n’a pas seulement besoin de pain, il a aussi besoin de nourriture pour son âme, d’un sens à donner à sa vie. C’est pourquoi les Pères de l’Eglise considèrent que la mangeoire est le symbole de l’autel, sur lequel est déposé le Pain, qui est le Christ lui-même : la vraie nourriture pour le cœur. De même, dans l’hostie consacrée au cours de la messe, il a l’humble apparence d’un morceau de pain.

A Noël Dieu se donne aux hommes
Dieu se donne aux hommes, à Noël, en la personne de Jésus-Christ, comme au cours de chaque messe célébrée quelque part dans le monde.
C’est pourquoi Noël est la fête des dons, pour imiter Dieu qui s’est donné Lui-même aux hommes.
Malgré les temps difficiles que nous traversons, la célébration de Noël nous rappelle que Dieu ne cesse de répandre dans le cœur des hommes des sentiments de paix, d’amour et de confiance.

Le message de Noël résiste aux violences et aux effondrements. La naissance de Jésus est le signe de la vie qui ne cesse de se renouveler telle une source permanente d’espérance pour le monde.

Quoiqu’on ignore le jour et l’heure précis de la naissance de Jésus-Christ, Noël est célébré depuis des siècles dans la nuit du 24 au 25 décembre. Les chrétiens donnant à cet événement le sens de ce qui est pour eux la venue de la vraie lumière – celle du Christ -, le choix de cette date est à mettre en lien avec le solstice d’hiver, moment où le jour prend peu à peu le pas sur l’obscurité. L’heure de minuit est tout aussi symbolique : elle marque l’arrivée d’un jour nouveau.

La « messe de minuit », celle du 24 décembre au soir, rassemble traditionnellement plus de fidèles que celle du 25 au matin. Aujourd’hui, elle est souvent célébrée plus tôt dans la soirée, notamment pour permettre aux enfants d’y participer.

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Source : www.eglise.catholique.fr

Iconographie : scène de la Nativité - commons.wikimedia.org – Berit Watkin

14 décembre 2015

Qu'est ce que l'Avent ?

couronne

Adventus, en latin, signifie « avènement ». Le temps liturgique de l’Avent est consacré à une ardente préparation de la venue du Seigneur. Il commence le quatrième dimanche avant Noël. Marqué par une pénitence de tonalité joyeuse, il utilise les ornements violets ; on se passe habituellement d’accompagnement musical pour les chants liturgiques, et d’ornementation florale.

L’Avent célèbre le triple avènement du Seigneur : sa naissance à Bethléem dans le passé, sa venue dans les cœurs par la grâce, et son retour glorieux à la fin des temps. Dès le début de l’année liturgique, la triple référence au passé, au présent et à l’avenir, qui appartient à la structure de la liturgie ici-bas, est rendue manifeste.

On passe sans heurt d’une année liturgique à une autre. Les derniers dimanches du temps ordinaire préparent à la Parousie du Seigneur et au jugement dernier ; la fête du Christ-Roi en est l’aboutissement. Le début de l’Avent considère surtout le dernier avènement du Christ (avenir). A partir du 17 décembre commence une grande semaine de préparation à Noël, plus attentive à la commémoration du mystère de l’Incarnation et de la naissance du Sauveur (passé), pour que nous puissions mieux recevoir la grâce du salut (présent). La liturgie actualise ainsi le passé dans le présent, pour instaurer l’avenir ; elle le fait avec un art consommé, signe de la plénitude dont elle est dépositaire.

Plus d'info...

Illustration : www.commons.wikimedia.org

Source : www.liturgiecatholique.fr

 

7 septembre 2015

Expo : "De la conserverie à la chapelle"


L'association "Les amis de la chapelle Notre Dame de la Garde" fête ses 30 ans !

chapelle notre dame de la garde

Dimanche 13 septembre 2015 :
- 17h00 => célébration eucharistique
- 18h30 => vernissage de l'exposition "de la conserverie à la chapelle"

Plus d'info sur l'histoire de la chapelle : cliquez ici

5 septembre 2015

Présentation du père Pierre Lanco


Présentation du père Pierre Lanco
Extrait du journal Ouest France - samedi 5 septembre 2015

ouest france 2015_09_05

Cliquez sur l'image pour l'agrandir

 

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