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paroisse
24 juin 2016

Les nominations diocésaines 2016


Monseigneur Raymond CENTÈNE, Evêque de VANNES, nomme

Au Pays du FAOUËT
M. l’abbé Jean-Paul SOSSAH, vicaire au doyenné de GOURIN.
M. l’abbé Vincent DANIEL, doyen de PLOUAY, administrateur des paroisses de PLOUAY, CALAN, INGUINIEL et LANVAUDAN.
M. l’abbé Jean-Paul CADO, au service du doyenné du FAOUËT, en résidence à KERNASCLÉDEN.
M. l’abbé Benoît-Vianney ARNAULD, aumônier des Sœurs Dominicaines du Saint-Esprit à PONTCALLEC, et au service du doyenné du FAOUËT.
Père Syrinus Bertin AWONO, religieux pallottin, vicaire à GUÉMENÉ-SUR-SCORFF, LOCMALO, PERSQUEN, LANGOËLAN, LIGNOL et KERNASCLÉDEN.

Au Pays de LORIENT
M. l’abbé Armel DE LA MONNERAYE, curé-doyen de PLOEMEUR et recteur de LARMOR­ PLAGE, tout en gardant ses fonctions extra-paroissiales.
M. l’abbé Zacharie AMBASSA, administrateur des paroisses de QUEVEN et GESTEL.
M. l’abbé Yann LAMOUROUX, administrateur de la paroisse Sainte-Bernadette à LORIENT et de la paroisse de GROIX, tout en gardant ses fonctions actuelles.
M. l’abbé Camille Wilfrid LAWSON, de !’archidiocèse de Cotonou (BENIN) au service des paroisses de Sainte-Bernadette à LORIENT et de GROIX.
M. l’abbé Ghislain LUHITO LOKERO, en mission d’étude, au service des paroisses de Sainte­ Bernadette à LORIENT et de GROIX.
M. l’abbé Thomas WEBER, vicaire à Saint-Louis et au Sacré-Cœur du Moustoir à LORIENT.
M. l’abbé Jean-Charles NICOLLEAU, vicaire à Sainte-Anne d’Arvor et à Sainte-Jeanne d’Arc à LORIENT, et adjoint de l’aumônier des étudiants à LORIENT.

Au Pays d ‘AURAY
M. l’abbé Dominique LE QUERNEC, curé-doyen de CARNAC-QUIBERON-BELLE-ILE­ BELZ, recteur de CARNAC, PLOUHARNEL et LA TRINITÉ-SUR-MER.
M. l’abbé Marius ALECU, curé de QUIBERON et recteur de SAINT-PIERRE-QUIBERON, tout en demeurant aumônier diocésain de l’Action Catholique des Enfants.
M. l’abbé Francis LOISEL, au service des paroisses d’AURAY, tout en demeurant prêtre accompagnateur du Service diocésain du catéchuménat.
M. l’abbé Bernard LE LUEL, recteur de LANDÉVANT et de LANDAUL, tout en gardant ses fonctions actuelles.
M. l’abbé Jean-Pierre PENHOUËT, recteur de LOCMARIAQUER, tout en restant recteur de CRAC’H et SAINT-PHILIBERT.
M. l’abbé Robert ROUXEL, au service des paroisses de BELZ, PLOEMEL, MENDON, LOCOAL-MENDON et ERDEVEN, en résidence au presbytère de PLOEMEL.

Au Pays de LOCMINÉ
M. l’abbé Faustin MUYALI NZY AVAKE, curé-doyen de GRAND-CHAMP, recteur de LOCMARIA-GRAND-CHAMP, LOCQUELTAS et PLAUDREN, tout en gardant ses fonctions extra-paroissiales.
M. l’abbé Gwenael AIRAULT, recteur de PLESCOP, MEUCON, PLUMERGAT, MÉRIADEC et BRANDIVY, tout en demeurant aumônier diocésain du MEJ et responsable diocésain des Servants d’autel du Morbihan.

Au Pays de PONTIVY
M. l’abbé Ivan BRIENT, archiprêtre de PONTIVY, curé-doyen de PONTIVY, recteur de LE SOURN, SAINT-THURIAU, CLÉGUÉREC, SAINT-AIGNAN, SAINTE-BRIGITTE, SÉGLIEN, SILFIAC, NEUILLAC et KERGRIST, tout en gardant ses fonctions extra­ paroissiales.

Au Pays de VANNES
Père Grégoire PLUS, de la Congrégation Saint-Jean, prêtre résident à l’ILE-AUX-MOINES.
M. l’abbé Bernard PLISSON, recteur de SÉNÉ.
M. l’abbé Michel GICQUELLO, aumônier de la Maison de retraite des Frères des écoles chrétiennes à KEROZER (ST-AVÉ).
M. l’abbé Arnauld CALONNE, recteur de l’ILE-AUX-MOINES, tout en conservant ses missions actuelles.
M. l’abbé Marcel HYOMBO ATENDE, administrateur de la paroisse Saint-Guen à VANNES, tout en demeurant aumônier diocésain du Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement (CCFD).

Au Pays de LA ROCHE-BERNARD
M. l’abbé François MUKENDWA, curé-doyen de QUESTEMBERT , recteur de BERRIC , MOLAC, LARRÉ, LAUZACH, LE COURS, LIMERZEL et PÉAULE.
M. l’abbé Pierre JOUBAUD , au service du doyenné de QUESTEMBERT.
M. l’abbé Johannès ALEWONA et M. l’abbé Ephrem LALEYE , du diocèse d’ABOMEY (Bénin) , au service du doyenné de MUZILLAC.

Au Pays de GUER
M. l’abbé Joseph DO VAN LUONG, vicaire au doyenné de MALESTROIT.
M. l’abbé Patience-Aimé BONDEKO, vicaire au doyenné de GUER.

Au Pays de PLOËRMEL
M. l’abbé Christophe GUÉGAN archiprêtre de PLOËRMEL, curé-doyen de PLOËRMEL, recteur de CAMPÉNÉAC, LOYAT, MONTERREIN, MONTERTELOT , TAUPONT et AUGAN.
M. l’abbé Xavier LAPORTE-WEYWADA , vicaire au doyenné de PLOËRMEL et prêtre accompagnateur des lycées Lamennais et La Touche et du collège Le Sacré-Cœur.

Dans les instances diocésaines, services et mouvements :
M. l’abbé Julien NATUREL , responsable de la propédeutique Bienheureux Pierre-René Rogue et de l’internat pour garçons Foyer Jean-Paul II, à SAINTE-ANNE D’AURAY.
M. l’abbé Hervé LE BERRE , outre ses fonctions paroissiales , prêtre accompagnateur de la Pastorale des jeunes.
M. l’abbé Jean-Yves LE GUÉVEL, outre ses fonctions paroissiales, prêtre accompagnateur de la Pastorale des réalités du tourisme et des loisirs (PRTL).
M. l’abbé Pierre BRUN-LE GOUEST, outre ses fonctions paroissiales, aumônier diocésain du Secours Catholique.
Madame Arzhelenn ROZÉ, déléguée diocésaine à la Pastorale et évangélisation des jeunes.

En mission d ‘étude
M. l’abbé Jean-Marie SUREL, à ROME, en théologie spirituelle.
M. l’abbé Jean DU PARC, à ROME, en histoire de l’Eglise.

Toutes ces nominations prennent effet au 1er septembre 2016.
Les curés, recteurs et administrateurs exercent leur office après la prise de possession canonique (installation officielle).

Fidei Donum
M. l’abbé Jérôme SECHER est autorisé à se mettre à la disposition du Vicariat latin du Liban au titre de Fidei Donum.

Monseigneur accepte que se retirent
M. l’abbé Joachim LE PALUD, chapelain épiscopal, à la Maison Saint-Joachim.
M. L’abbé Joseph BOUDARD à GLENAC.
M. l’abbé Roger PICAUT à BIGNAN.

VANNES, le 20 juin 2016,
+ Raymond CENTENE
Evêque de VANNES

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24 juin 2016

Dimanche 26 juin 2016 - 13ème dimanche du Temps Ordinaire

Dimanche 26 juin 2016 - 13ème dimanche du Temps Ordinaire


1ère lecture : « Élisée se leva et partit à la suite d’Élie » (1 R 19, 16b.19-21)

Lecture du premier livre des Rois

En ces jours-là,
le Seigneur avait dit au prophète Élie :
« Tu consacreras Élisée, fils de Shafath,
comme prophète pour te succéder. »
    Élie s’en alla.
Il trouva Élisée, fils de Shafath, en train de labourer.
Il avait à labourer douze arpents,
et il en était au douzième.
Élie passa près de lui et jeta vers lui son manteau.
    Alors Élisée quitta ses bœufs, courut derrière Élie,
et lui dit :
« Laisse-moi embrasser mon père et ma mère,
puis je te suivrai. »
Élie répondit :
« Va-t’en, retourne là-bas !
Je n’ai rien fait. »
    Alors Élisée s’en retourna ;
mais il prit la paire de bœufs pour les immoler,
les fit cuire avec le bois de l’attelage,
et les donna à manger aux gens.
Puis il se leva, partit à la suite d’Élie
et se mit à son service.


    – Parole du Seigneur.

Psaume : Ps 15 (16), 1.2a.5, 7-8, 9-10, 2b.11

R/

Dieu, mon bonheur et ma joie !

(cf. Ps 15, 2.11)

Garde-moi, mon Dieu : j’ai fait de toi mon refuge.
J’ai dit au Seigneur : « Tu es mon Dieu !
Seigneur, mon partage et ma coupe :
de toi dépend mon sort. »

 

Je bénis le Seigneur qui me conseille :
même la nuit mon cœur m’avertit.
Je garde le Seigneur devant moi sans relâche ;
il est à ma droite : je suis inébranlable.

 

Mon cœur exulte, mon âme est en fête,
ma chair elle-même repose en confiance :
tu ne peux m’abandonner à la mort
ni laisser ton ami voir la corruption.

 

Je n’ai pas d’autre bonheur que toi.
Tu m’apprends le chemin de la vie :
devant ta face, débordement de joie !
À ta droite, éternité de délices !

2ème lecture : « Vous avez été appelés à la liberté » (Ga 5, 1.13-18)

Lecture de la lettre de saint Paul apôtre aux Galates

Frères,
    c’est pour que nous soyons libres
que le Christ nous a libérés.
Alors tenez bon,
ne vous mettez pas de nouveau sous le joug de l’esclavage.
    Vous, frères, vous avez été appelés à la liberté.
Mais que cette liberté ne soit pas un prétexte
pour votre égoïsme ;
au contraire, mettez-vous, par amour,
au service les uns des autres.
    Car toute la Loi est accomplie
dans l’unique parole que voici :
Tu aimeras ton prochain comme toi-même.
    Mais si vous vous mordez et vous dévorez les uns les autres,
prenez garde : vous allez vous détruire les uns les autres.
    Je vous le dis :
marchez sous la conduite de l’Esprit Saint,
et vous ne risquerez pas de satisfaire les convoitises de la chair.
    Car les tendances de la chair s’opposent à l’Esprit,
et les tendances de l’Esprit s’opposent à la chair.
En effet, il y a là un affrontement
qui vous empêche de faire tout ce que vous voudriez.
    Mais si vous vous laissez conduire par l’Esprit,
vous n’êtes pas soumis à la Loi.


    – Parole du Seigneur.

Evangile : « Jésus, le visage déterminé, prit la route de Jérusalem » « Je te suivrai partout où tu iras » (Lc 9, 51-62)

    Acclamation :

    Alléluia. Alléluia.
    Parle, Seigneur, ton serviteur écoute ;
    Tu as les paroles de la vie éternelle.
    Alléluia.
    (cf. 1 S 3,9 ; Jn 6, 68c)


Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

Comme s’accomplissait le temps
où il allait être enlevé au ciel,
Jésus, le visage déterminé, prit la route de Jérusalem.
    Il envoya, en avant de lui, des messagers ;
ceux-ci se mirent en route
et entrèrent dans un village de Samaritains
pour préparer sa venue.
    Mais on refusa de le recevoir,
parce qu’il se dirigeait vers Jérusalem.
    Voyant cela,
les disciples Jacques et Jean dirent :
« Seigneur, veux-tu que nous ordonnions
qu’un feu tombe du ciel et les détruise ? »
    Mais Jésus, se retournant, les réprimanda.
    Puis ils partirent pour un autre village.


    En cours de route, un homme dit à Jésus :
« Je te suivrai partout où tu iras. »
    Jésus lui déclara :
« Les renards ont des terriers,
les oiseaux du ciel ont des nids ;
mais le Fils de l’homme n’a pas d’endroit où reposer la tête. »


    Il dit à un autre :
« Suis-moi. »
L’homme répondit :
« Seigneur, permets-moi d’aller d’abord
enterrer mon père. »
    Mais Jésus répliqua :
« Laisse les morts enterrer leurs morts.
Toi, pars, et annonce le règne de Dieu. »


    Un autre encore lui dit :
« Je te suivrai, Seigneur ;
mais laisse-moi d’abord faire mes adieux
aux gens de ma maison. »
    Jésus lui répondit :
« Quiconque met la main à la charrue,
puis regarde en arrière,
n’est pas fait pour le royaume de Dieu. »


    – Acclamons la Parole de Dieu.

 
Source : http://www.aelf.org/

22 juin 2016

La revue de presse


Le départ du Père Ivan Brient vu par la presse
(cliquez sur les photos pour les agrandir)

Le Télégramme - mardi 21 juin 2016
le telegramme_2016_06_21


Ouest France - le 21 juin 2016

ouest france 2016_06_21

19 juin 2016

Kénavo Ivan

ivan

Nommé curé doyen de Ploemeur en septembre 2013 et prêtre accompagnateur de la pastorale en langue bretonne, le père Ivan Brient était jusqu’à cette date professeur au grand séminaire de Rennes et prêtre sur le secteur de Malestroit. 

En janvier 2015, il devient également administrateur de la paroisse de Larmor-Plage du fait du départ précipité du père Lambert pour raison de santé. En septembre 2015, il est nommé recteur de cette paroisse.
En parallèle, il continue à dispenser quelques cours au grand séminaire de Rennes  et il est chargé de la formation des prêtres du diocèse.

Mgr Centène, évêque de Vannes, vient de le nommer archiprêtre du pays de Pontivy à compter de septembre prochain après seulement trois années passées sur le doyenné de Ploemeur tout en gardant sa mission concernant la langue bretonne.

« 2013/2014 fut l’année de découverte de la paroisse et ses nombreuses facettes, des chrétiens de Ploemeur et des habitants de cette belle commune. 2014/2015 fut l’année de lancement de multiples chantiers, certains compliqués. 2015/2016, les premiers bourgeons apparaissent. J’aurai bien aimé rester plus long pour profiter également des fruits de mon labeur » dit-il avec un pincement au cœur. « Mais je ne suis pas à mon compte, je suis au service de l’Eglise et j’ai fait vœux d’obéissance ».

Vendredi 17 juin dernier, à l’occasion de la messe en breton en la chapelle St Léonard, il annonçait humblement en fin de célébration que cela faisait 15 ans –jour pour jour- qu’il avait été ordonné prêtre.

Kénavo Ivan et bonne route dans tes nouvelles missions !

17 juin 2016

Dimanche 19 juin 2016 - 12ème dimanche du Temps Ordinaire

 

Dimanche 19 juin 2016 - 12ème dimanche du Temps Ordinaire


1ère lecture : « Ils regarderont vers celui qu’ils ont transpercé » (Jn 19,37) (Za 12, 10-11a ; 13, 1)

Lecture du livre du prophète Zacharie

Ainsi parle le Seigneur :
    Je répandrai sur la maison de David
et sur les habitants de Jérusalem
un esprit de grâce et de supplication.
Ils regarderont vers moi.
Celui qu’ils ont transpercé,
ils feront une lamentation sur lui
comme on se lamente sur un fils unique ;
ils pleureront sur lui amèrement
comme on pleure sur un premier-né.
    Ce jour-là, il y aura grande lamentation dans Jérusalem.


    Ce jour-là, il y aura une source
qui jaillira pour la maison de David
et pour les habitants de Jérusalem :
elle les lavera de leur péché et de leur souillure.


    – Parole du Seigneur.

Psaume : Ps 62 (63), 2, 3-4, 5-6, 8-9

R/

Mon âme a soif de toi,
Seigneur, mon Dieu.

(cf. Ps 62, 2b)

Dieu, tu es mon Dieu,

      je te cherche dès l’aube :
mon âme a soif de toi ;
après toi languit ma chair,
terre aride, altérée, sans eau.

 

Je t’ai contemplé au sanctuaire,
j’ai vu ta force et ta gloire.
Ton amour vaut mieux que la vie :
tu seras la louange de mes lèvres !

 

Toute ma vie je vais te bénir,
lever les mains en invoquant ton nom.
Comme par un festin je serai rassasié ;
la joie sur les lèvres, je dirai ta louange.

 

Oui, tu es venu à mon secours :
je crie de joie à l’ombre de tes ailes.
Mon âme s’attache à toi,
ta main droite me soutient.

2ème lecture : « Vous tous que le baptême a unis au Christ, vous avez revêtu le Christ » (Ga 3, 26-29)

Lecture de la lettre de saint Paul apôtre aux Galates

Frères,
    tous, dans le Christ Jésus,
vous êtes fils de Dieu
par la foi.
    En effet, vous tous que le baptême a unis au Christ,
vous avez revêtu le Christ ;
    il n’y a plus ni juif ni grec,
il n’y a plus ni esclave ni homme libre,
il n’y a plus l’homme et la femme,
car tous, vous ne faites plus qu’un
dans le Christ Jésus.
    Et si vous appartenez au Christ,
vous êtes de la descendance d’Abraham :
vous êtes héritiers selon la promesse.


    – Parole du Seigneur.

Evangile : « Tu es le Christ, le Messie de Dieu. – Il faut que le Fils de l’homme souffre beaucoup » (Lc 9, 18-24)

    Acclamation :

    Alléluia. Alléluia.
    Mes brebis écoutent ma voix, dit le Seigneur ;
    moi, je les connais, et elles me suivent.
    Alléluia.
    (Jn 10, 27)


Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

En ce jour-là, Jésus était en prière à l’écart.
Comme ses disciples étaient là,
il les interrogea :
« Au dire des foules, qui suis-je ? »
    Ils répondirent :
« Jean le Baptiste ;
mais pour d’autres, Élie ;
et pour d’autres, un prophète d’autrefois qui serait ressuscité. »
    Jésus leur demanda :
« Et vous, que dites-vous ? Pour vous, qui suis-je ? »
Alors Pierre prit la parole et dit :
« Le Christ, le Messie de Dieu. »
    Mais Jésus, avec autorité,
leur défendit vivement de le dire à personne,
    et déclara :
« Il faut que le Fils de l’homme souffre beaucoup,
qu’il soit rejeté
par les anciens, les grands prêtres et les scribes,
qu’il soit tué,
et que, le troisième jour, il ressuscite. »


    Il leur disait à tous :
« Celui qui veut marcher à ma suite,
qu’il renonce à lui-même,
qu’il prenne sa croix chaque jour
et qu’il me suive.
    Car celui qui veut sauver sa vie
la perdra ;
mais celui qui perdra sa vie à cause de moi
la sauvera. »


    – Acclamons la Parole de Dieu.

 

Source : http://www.aelf.org/

 

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12 juin 2016

Yohan Cabaye témoigne de sa foi


Yohan Cabaye est sélectionné en équipe de France de football et participe à l'Euro 2016.Yohan_Cabaye
Extrait du journal "La croix du Nord".

Yohan Cabaye à la Treille : un footballeur témoigne de sa foi.

Drôle d’endroit pour une rencontre. Dimanche après-midi, le footballeur Yohan Cabaye, 27 ans, est venu parler de sa foi catholique dans la cathédrale de la Treille à Lille. Plus de 300 personnes avaient préféré la douce lumière de la nef aux terrasses du parvis de la Treille. Elles n’ont pas été déçues. Pendant trois quarts d’heure, le joueur de Newcastle United qui avait joué la veille a dialogué avec deux prêtres sur son métier mais surtout sur sa foi. Le père Gérard de Riemacker, grand supporter du LOSC avait même revêtu le maillot lillois pour l’occasion. Il a présenté le footballeur en revenant sur deux moments-clés vécus à une saison d’écart. Le pénalty raté qui privait les Lillois de Ligue des Champions en mai 2010 et le fameux doublé coupe-championnat réalisé l’année suivante. Le père Arnauld Chillon, recteur de la cathédrale, était à l’initiative de l’invitation du joueur et avait préparé l’entretien avec lui par courriel. Mgr Laurent Ulrich, l’archevêque de Lille a également assisté à cette conférence.

“Respect et humilité”

Interrogé sur ses valeurs, l’ancien Lillois a insisté sur “le respect et l’humilité, deux valeurs qui se joignent qui sont super importantes et qu’il est parfois difficile d’avoir très jeune. J’essaie de les transmettre à ma fille“. Yohan Cabaye a ensuite évoqué sa foi avec une certaine facilité et une simplicité étonnante. “Il y a trop de signes dans ma vie de tous les jours” explique celui dont la petite Mila est née un… 24 décembre. La figure de sa grand-mère a été fondamentale dans sa découverte de la foi. “À sa façon d’agir, de parler, de m’expliquer les choses, j’ai commencé à croire au Seigneur. Je le prie tous les jours. “La lecture de la Bible est aussi importante pour le natif de Tourcoing, “notamment dans les nombreux moments de solitude de notre métier“.

Le pardon à la femme adultère

Yohan Cabaye a également livré son passage d’évangile préféré, celui de la femme adultère, épargné de la lapidation par l’intervention du Christ. “Chacun fait des erreurs, le plus importants est de pardonner“, a-t-il déclaré pour éclairer son choix. La conférence de l’international français s’est terminée par une séance de dédicace où le joueur s’est montré attentif et très disponible pour les nombreux enfants présents. Pour le père Arnauld Chillon, un seul mot résumait cette intervention: “Authentique“. “Il a eu une simplicité pour dire des choses essentielles“, nous confiait-il.

L'article : la croix du nord

 

10 juin 2016

Dimanche 12 juin 2016 - 11ème dimanche du Temps Ordinaire

 

Dimanche 12 juin 2016 - 11ème dimanche du Temps Ordinaire


1ère lecture : « Le Seigneur a passé sur ton péché : tu ne mourras pas » (2 S 12, 7-10.13)

Lecture du deuxième livre de Samuel

En ces jours-là,
après le péché de David,
    le prophète Nathan lui dit :
« Ainsi parle le Seigneur Dieu d’Israël :
Je t’ai consacré comme roi d’Israël,
je t’ai délivré de la main de Saül,
    puis je t’ai donné la maison de ton maître,
j’ai mis dans tes bras les femmes de ton maître ;
je t’ai donné la maison d’Israël et de Juda
et, si ce n’est pas assez,
j’ajouterai encore autant.
    Pourquoi donc as-tu méprisé le Seigneur
en faisant ce qui est mal à ses yeux ?
Tu as frappé par l’épée Ourias le Hittite ;
sa femme, tu l’as prise pour femme ;
lui, tu l’as fait périr par l’épée des fils d’Ammone.
    Désormais, l’épée ne s’écartera plus jamais de ta maison,
parce que tu m’as méprisé
et que tu as pris la femme d’Ourias le Hittite
pour qu’elle devienne ta femme. »
David dit à Nathan :
« J’ai péché contre le Seigneur ! »
Nathan lui répondit :
« Le Seigneur a passé sur ton péché,
tu ne mourras pas. »


    – Parole du Seigneur.

Psaume : Ps 31 (32), 1-2, 5abcd, 5ef.7, 10bc-11

R/

Enlève, Seigneur,
l’offense de ma faute.

(cf. Ps 31, 5e)

Heureux l’homme dont la faute est enlevée,
et le péché remis !
Heureux l’homme dont le Seigneur ne retient pas l’offense,
dont l’esprit est sans fraude !

 

Je t’ai fait connaître ma faute,
je n’ai pas caché mes torts.
J’ai dit : « Je rendrai grâce au Seigneur
en confessant mes péchés. »

 

Et toi, tu as enlevé l’offense de ma faute.
Tu es un refuge pour moi,
mon abri dans la détresse,
de chants de délivrance, tu m’as entouré.

 

L’amour du Seigneur entourera
ceux qui comptent sur lui.
Que le Seigneur soit votre joie, hommes justes !
Hommes droits, chantez votre allégresse !

2ème lecture : « Je vis, mais ce n’est plus moi, c’est le Christ qui vit en moi » (Ga 2, 16.19-21)

Lecture de la lettre de saint Paul apôtre aux Galates

Frères,
    nous avons reconnu
que ce n’est pas en pratiquant la loi de Moïse
que l’homme devient juste devant Dieu,
mais seulement par la foi en Jésus Christ ;
c’est pourquoi nous avons cru, nous aussi, au Christ Jésus
pour devenir des justes par la foi au Christ,
et non par la pratique de la Loi,
puisque, par la pratique de la Loi, personne ne deviendra juste.
    Par la Loi, je suis mort à la Loi
afin de vivre pour Dieu ;
avec le Christ, je suis crucifié.
    Je vis, mais ce n’est plus moi,
c’est le Christ qui vit en moi.
Ce que je vis aujourd’hui dans la chair,
je le vis dans la foi au Fils de Dieu
qui m’a aimé et s’est livré lui-même pour moi.
    Il n’est pas question pour moi de rejeter la grâce de Dieu.
En effet, si c’était par la Loi qu’on devient juste,
alors le Christ serait mort pour rien.


    – Parole du Seigneur.

Evangile : « Ses nombreux péchés sont pardonnés, puisqu’elle a montré beaucoup d’amour » (Lc 7, 36 – 8, 3)

    Acclamation :

    Alléluia. Alléluia.
    Près du Seigneur est l’amour,
    près de lui, abonde le rachat.
    Alléluia.
    (Ps 129, 7)


Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

En ce temps-là,
    un pharisien avait invité Jésus à manger avec lui.
Jésus entra chez lui et prit place à table.
    Survint une femme de la ville, une pécheresse.
Ayant appris que Jésus était attablé dans la maison du pharisien,
elle avait apporté un flacon d’albâtre contenant un parfum.
    Tout en pleurs, elle se tenait derrière lui, près de ses pieds,
et elle se mit à mouiller de ses larmes les pieds de Jésus.
Elle les essuyait avec ses cheveux,
les couvrait de baisers
et répandait sur eux le parfum.


    En voyant cela,
le pharisien qui avait invité Jésus se dit en lui-même :
« Si cet homme était prophète,
il saurait qui est cette femme qui le touche,
et ce qu’elle est : une pécheresse. »
    Jésus, prenant la parole, lui dit :
« Simon, j’ai quelque chose à te dire.
– Parle, Maître. »
    Jésus reprit :
« Un créancier avait deux débiteurs ;
le premier lui devait cinq cents pièces d’argent,
l’autre cinquante.
    Comme ni l’un ni l’autre ne pouvait les lui rembourser,
il en fit grâce à tous deux.
Lequel des deux l’aimera davantage ? »
    Simon répondit :
« Je suppose que c’est celui à qui on a fait grâce
de la plus grande dette.
– Tu as raison », lui dit Jésus.
    Il se tourna vers la femme
et dit à Simon :
« Tu vois cette femme ?
Je suis entré dans ta maison,
et tu ne m’as pas versé de l’eau sur les pieds ;
elle, elle les a mouillés de ses larmes
et essuyés avec ses cheveux.
    Tu ne m’as pas embrassé ;
elle, depuis qu’elle est entrée,
n’a pas cessé d’embrasser mes pieds.
    Tu n’as pas fait d’onction sur ma tête ;
elle, elle a répandu du parfum sur mes pieds.
    Voilà pourquoi je te le dis :
ses péchés, ses nombreux péchés, sont pardonnés,
puisqu’elle a montré beaucoup d’amour.
Mais celui à qui on pardonne peu
montre peu d’amour. »
    Il dit alors à la femme :
« Tes péchés sont pardonnés. »
    Les convives se mirent à dire en eux-mêmes :
« Qui est cet homme,
qui va jusqu’à pardonner les péchés ? »
    Jésus dit alors à la femme :
« Ta foi t’a sauvée.
Va en paix ! »
    Ensuite, il arriva que Jésus, passant à travers villes et villages,
proclamait et annonçait la Bonne Nouvelle du règne de Dieu.
Les Douze l’accompagnaient,
    ainsi que des femmes qui avaient été guéries
de maladies et d’esprits mauvais :
Marie, appelée Madeleine,
de laquelle étaient sortis sept démons,
    Jeanne, femme de Kouza, intendant d’Hérode,
Suzanne, et beaucoup d’autres,
qui les servaient en prenant sur leurs ressources.


    – Acclamons la Parole de Dieu.

 

OU LECTURE BREVE

Evangile : « Ses nombreux péchés sont pardonnés, puisqu’elle a montré beaucoup d’amour » (Lc 7, 36-50)

    Acclamation :


Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

En ce temps-là,
    un pharisien avait invité Jésus à manger avec lui.
Jésus entra chez lui et prit place à table.
    Survint une femme de la ville, une pécheresse.
Ayant appris que Jésus était attablé dans la maison du pharisien,
elle avait apporté un flacon d’albâtre contenant un parfum.
    Tout en pleurs, elle se tenait derrière lui, près de ses pieds,
et elle se mit à mouiller de ses larmes les pieds de Jésus.
Elle les essuyait avec ses cheveux,
les couvrait de baisers
et répandait sur eux le parfum.


    En voyant cela,
le pharisien qui avait invité Jésus se dit en lui-même :
« Si cet homme était prophète,
il saurait qui est cette femme qui le touche,
et ce qu’elle est : une pécheresse. »
    Jésus, prenant la parole, lui dit :
« Simon, j’ai quelque chose à te dire.
– Parle, Maître. »
    Jésus reprit :
« Un créancier avait deux débiteurs ;
le premier lui devait cinq cents pièces d’argent,
l’autre cinquante.
    Comme ni l’un ni l’autre ne pouvait les lui rembourser,
il en fit grâce à tous deux.
Lequel des deux l’aimera davantage ? »
    Simon répondit :
« Je suppose que c’est celui à qui on a fait grâce
de la plus grande dette.
– Tu as raison », lui dit Jésus.
    Il se tourna vers la femme
et dit à Simon :
« Tu vois cette femme ?
Je suis entré dans ta maison,
et tu ne m’as pas versé de l’eau sur les pieds ;
elle, elle les a mouillés de ses larmes
et essuyés avec ses cheveux.
    Tu ne m’as pas embrassé ;
elle, depuis qu’elle est entrée,
n’a pas cessé d’embrasser mes pieds.
    Tu n’as pas fait d’onction sur ma tête ;
elle, elle a répandu du parfum sur mes pieds.
    Voilà pourquoi je te le dis :
ses péchés, ses nombreux péchés, sont pardonnés,
puisqu’elle a montré beaucoup d’amour.
Mais celui à qui on pardonne peu
montre peu d’amour. »
    Il dit alors à la femme :
« Tes péchés sont pardonnés. »
    Les convives se mirent à dire en eux-mêmes :
« Qui est cet homme,
qui va jusqu’à pardonner les péchés ? »
    Jésus dit alors à la femme :
« Ta foi t’a sauvée.
Va en paix ! »


    – Acclamons la Parole de Dieu.

Source : http://www.aelf.org/

 

3 juin 2016

Dimanche 5 juin 2016 - 10ème dimanche du Temps Ordinaire

 

Dimanche 5 juin 2016 - 10ème dimanche du Temps Ordinaire


1ère lecture : « Regarde, ton fils est vivant ! » (1 R 17, 17-24)

Lecture du premier livre des Rois

En ces jours-là,
    le fils de la femme chez qui habitait le prophète Élie
tomba malade ;
le mal fut si violent que l’enfant expira.
    Alors la femme dit à Élie :
« Que me veux-tu, homme de Dieu ?
Tu es venu chez moi pour rappeler mes fautes
et faire mourir mon fils ! »
    Élie répondit :
« Donne-moi ton fils ! »
Il le prit des bras de sa mère,
le porta dans sa chambre en haut de la maison
et l’étendit sur son lit.
    Puis il invoqua le Seigneur :
« Seigneur, mon Dieu,
cette veuve chez qui je loge,
lui veux-tu du mal jusqu’à faire mourir son fils ? »
    Par trois fois, il s’étendit sur l’enfant
en invoquant le Seigneur :
« Seigneur, mon Dieu, je t’en supplie,
rends la vie à cet enfant ! »
    Le Seigneur entendit la prière d’Élie ;
le souffle de l’enfant revint en lui :
il était vivant !
    Élie prit alors l’enfant,
de sa chambre il le descendit dans la maison,
le remit à sa mère et dit :
« Regarde, ton fils est vivant ! »
    La femme lui répondit :
« Maintenant je sais que tu es un homme de Dieu,
et que, dans ta bouche, la parole du Seigneur est véridique. »


    – Parole du Seigneur.

Psaume : Ps 29 (30), 3-4, 5-6ab, 6cd.12, 13

R/

Je t’exalte, Seigneur :
tu m’as relevé.

(Ps 29, 2a)

Quand j’ai crié vers toi, Seigneur,
mon Dieu, tu m’as guéri ;
Seigneur, tu m’as fait remonter de l’abîme
et revivre quand je descendais à la fosse.

 

Fêtez le Seigneur, vous, ses fidèles,
rendez grâce en rappelant son nom très saint.
Sa colère ne dure qu’un instant,
sa bonté, toute la vie.

 

Avec le soir, viennent les larmes,
mais au matin, les cris de joie !
Tu as changé mon deuil en une danse,
mes habits funèbres en parure de joie !

 

Que mon cœur ne se taise pas,
qu’il soit en fête pour toi,
et que sans fin, Seigneur, mon Dieu,
je te rende grâce !

2ème lecture : « Dieu a trouvé bon de révéler en moi son Fils, pour que je l’annonce parmi les nations » (Ga 1, 11-19)

Lecture de la lettre de saint Paul apôtre aux Galates

Frères, je tiens à ce que vous le sachiez,
l’Évangile que j’ai proclamé
n’est pas une invention humaine.
    Ce n’est pas non plus d’un homme
que je l’ai reçu ou appris,
mais par révélation de Jésus Christ.
    Vous avez entendu parler
du comportement que j’avais autrefois dans le judaïsme :
je menais une persécution effrénée contre l’Église de Dieu,
et je cherchais à la détruire.
    J’allais plus loin dans le judaïsme
que la plupart de mes frères de race qui avaient mon âge,
et, plus que les autres, je défendais avec une ardeur jalouse
les traditions de mes pères.
    Mais Dieu m’avait mis à part dès le sein de ma mère ;
dans sa grâce, il m’a appelé ;
et il a trouvé bon
    de révéler en moi son Fils,
pour que je l’annonce parmi les nations païennes.
Aussitôt, sans prendre l'avis de personne,
    sans même monter à Jérusalem
pour y rencontrer ceux qui étaient Apôtres avant moi,
je suis parti pour l’Arabie
et, de là, je suis retourné à Damas.
    Puis, trois ans après,
je suis monté à Jérusalem
pour faire la connaissance de Pierre,
et je suis resté quinze jours auprès de lui.
    Je n’ai vu aucun des autres Apôtres
sauf Jacques, le frère du Seigneur.


    – Parole du Seigneur.

Evangile : « Jeune homme, je te l’ordonne, lève-toi » (Lc 7, 11-17)

    Acclamation :

    Alléluia. Alléluia.
    Un grand prophète s’est levé parmi nous :
    et Dieu a visité son peuple.
    Alléluia.
    (Lc 7, 16)


Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

    En ce temps-là,
    Jésus se rendit dans une ville appelée Naïm.
Ses disciples faisaient route avec lui,
ainsi qu’une grande foule.
    Il arriva près de la porte de la ville
au moment où l’on emportait un mort pour l’enterrer ;
c’était un fils unique, et sa mère était veuve.
Une foule importante de la ville accompagnait cette femme.
    Voyant celle-ci, le Seigneur fut saisi de compassion pour elle
et lui dit :
« Ne pleure pas. »
    Il s’approcha et toucha le cercueil ;
les porteurs s’arrêtèrent,
et Jésus dit :
« Jeune homme, je te l’ordonne, lève-toi. »
    Alors le mort se redressa
et se mit à parler.
Et Jésus le rendit à sa mère.


    La crainte s’empara de tous,
et ils rendaient gloire à Dieu en disant :
« Un grand prophète s’est levé parmi nous,
et Dieu a visité son peuple. »
    Et cette parole sur Jésus se répandit
dans la Judée entière et dans toute la région.


    – Acclamons la Parole de Dieu.



Source : http://www.aelf.org/

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