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paroisse
29 février 2016

Retraite dans la vie


La montée de Jésus à Jérusalem

Aménager une retraite spirituelle dans mon quotidien.
la montée de jésus vers jérusalemPour toute personne des paroisses de Ploemeur et Larmor.

Deux propositions :

1) Enseignement du lundi 29 février au vendredi 4 mars de 20h30 à 21h30 par le Père Ivan Brient - Eglise de Larmor-Plage
2) Partage d'Evangile du mardi 1er mars au jeudi 3 mars à 16h00 par le Père Pierre Lanco - salle paroissiale de Larmor-Plage (durée : 45 min).

Il est préférable de s'inscrire auprès de l'accueil des presbytères (Ploemeur ou Larmor-Plage)

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28 février 2016

Repas de la paroisse

Dimanche 13 mars 2016 - Salle Ninnoch - rue du Fort-Bloqué

gif cuisineAu programme :
- A partir de 12 h 00, apéritif stands enveloppes
- 12 h 30, repas du pêcheur
- 15 h, tirage de la souscription volontaire.

Le menu, concocté par Yves Poulhazan et son équipe : soupe de poissons / merlu - mayonnaise - pommes de terre / fromage / dessert du chef.

Tarif 14€ / adulte - enfant : 5 € - forfait famille : 32 €. Inscription avant le jeudi 10 mars.

Contact et réservation : tél. 02 97 86 32 62.

26 février 2016

Dimanche 28 février 2016 - 3ème dimanche de Carême

Dimanche 28 février 2016 - 3ème dimanche de Carême


1ère lecture : « Celui qui m’a envoyé vers vous, c’est : Je-suis » (Ex 3, 1-8a.10.13-15)

Lecture du livre de l’Exode

En ces jours-là,
    Moïse était berger du troupeau de son beau-père Jéthro,
prêtre de Madiane.
Il mena le troupeau au-delà du désert
et parvint à la montagne de Dieu, à l’Horeb.
    L’ange du Seigneur lui apparut
dans la flamme d’un buisson en feu.
Moïse regarda : le buisson brûlait
sans se consumer.
    Moïse se dit alors :
« Je vais faire un détour
pour voir cette chose extraordinaire :
pourquoi le buisson ne se consume-t-il pas ? »
    Le Seigneur vit qu’il avait fait un détour pour voir,
et Dieu l’appela du milieu du buisson :
« Moïse ! Moïse ! »
Il dit :
« Me voici ! »
    Dieu dit alors :
« N’approche pas d’ici !
Retire les sandales de tes pieds,
car le lieu où tu te tiens est une terre sainte ! »
    Et il déclara :
« Je suis le Dieu de ton père,
le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac, le Dieu de Jacob. »
Moïse se voila le visage
car il craignait de porter son regard sur Dieu.
    Le Seigneur dit :
« J’ai vu, oui, j’ai vu la misère de mon peuple
qui est en Égypte,
et j’ai entendu ses cris sous les coups des surveillants.
Oui, je connais ses souffrances.
    Je suis descendu pour le délivrer de la main des Égyptiens
et le faire monter de ce pays
vers un beau et vaste pays,
vers un pays, ruisselant de lait et de miel.
    Maintenant donc, va !
Je t’envoie chez Pharaon :
tu feras sortir d’Égypte mon peuple, les fils d’Israël. »
    Moïse répondit à Dieu :
« J’irai donc trouver les fils d’Israël, et je leur dirai :
‘Le Dieu de vos pères m’a envoyé vers vous.’
Ils vont me demander quel est son nom ;
que leur répondrai-je ? »
    Dieu dit à Moïse :
« Je suis qui je suis.
Tu parleras ainsi aux fils d’Israël :
‘Celui qui m’a envoyé vers vous, c’est : Je-suis’. »
    Dieu dit encore à Moïse :
« Tu parleras ainsi aux fils d’Israël :
‘Celui qui m’a envoyé vers vous,
c’est Le Seigneur,
le Dieu de vos pères,
le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac, le Dieu de Jacob’.
C’est là mon nom pour toujours,
c’est par lui que vous ferez mémoire de moi, d’âge en d’âge. »


    – Parole du Seigneur.

Psaume : Ps 102 (103), 1-2, 3-4, 6-7, 8.11

R/

Le Seigneur est tendresse et pitié.

(Ps 102, 8a)

Bénis le Seigneur, ô mon âme,
bénis son nom très saint, tout mon être !
Bénis le Seigneur, ô mon âme,
n’oublie aucun de ses bienfaits !

 

Car il pardonne toutes tes offenses
et te guérit de toute maladie ;
il réclame ta vie à la tombe
et te couronne d’amour et de tendresse.

 

Le Seigneur fait œuvre de justice,
il défend le droit des opprimés.
Il révèle ses desseins à Moïse,
aux enfants d’Israël ses hauts faits.

 

Le Seigneur est tendresse et pitié,
lent à la colère et plein d’amour ;
Comme le ciel domine la terre,
fort est son amour pour qui le craint.

2ème lecture : La vie de Moïse avec le peuple au désert, l’Écriture l’a racontée pour nous avertir (1 Co 10, 1-6.10-12)

Lecture de la première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens

Frères,
je ne voudrais pas vous laisser ignorer
que, lors de la sortie d’Égypte,
nos pères étaient tous sous la protection de la nuée,
et que tous ont passé à travers la mer.
    Tous, ils ont été unis à Moïse par un baptême
dans la nuée et dans la mer ;
    tous, ils ont mangé la même nourriture spirituelle ;
    tous, ils ont bu la même boisson spirituelle ;
car ils buvaient à un rocher spirituel qui les suivait,
et ce rocher, c’était le Christ.
    Cependant, la plupart n’ont pas su plaire à Dieu :
leurs ossements, en effet, jonchèrent le désert.
    Ces événements devaient nous servir d’exemple,
pour nous empêcher de désirer ce qui est mal
comme l’ont fait ces gens-là.
    Cessez de récriminer
comme l’ont fait certains d’entre eux :
ils ont été exterminés.
    Ce qui leur est arrivé devait servir d’exemple,
et l’Écriture l’a raconté pour nous avertir,
nous qui nous trouvons à la fin des temps.
    Ainsi donc, celui qui se croit solide,
qu’il fasse attention à ne pas tomber.


    – Parole du Seigneur.

Evangile : « Si vous ne vous convertissez pas, vous périrez tous de même » (Lc 13, 1-9)

    Acclamation :

    Gloire au Christ,
    Sagesse éternelle du Dieu vivant.
    Gloire à toi, Seigneur.
    Convertissez-vous, dit le Seigneur,
    car le royaume des Cieux est tout proche.
    Gloire au Christ,
    Sagesse éternelle du Dieu vivant.
    Gloire à toi, Seigneur.
    (Mt 4, 17)


Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

Un jour, des gens rapportèrent à Jésus l’affaire des Galiléens
que Pilate avait fait massacrer,
mêlant leur sang à celui des sacrifices qu’ils offraient.
    Jésus leur répondit :
« Pensez-vous que ces Galiléens
étaient de plus grands pécheurs
que tous les autres Galiléens,
pour avoir subi un tel sort ?
    Eh bien, je vous dis : pas du tout !
Mais si vous ne vous convertissez pas,
vous périrez tous de même.
    Et ces dix-huit personnes
tuées par la chute de la tour de Siloé,
pensez-vous qu’elles étaient plus coupables
que tous les autres habitants de Jérusalem ?
    Eh bien, je vous dis : pas du tout !
Mais si vous ne vous convertissez pas,
vous périrez tous de même. »
    Jésus disait encore cette parabole :
« Quelqu’un avait un figuier planté dans sa vigne.
Il vint chercher du fruit sur ce figuier,
et n’en trouva pas.
    Il dit alors à son vigneron :
‘Voilà trois ans que je viens
chercher du fruit sur ce figuier,
et je n’en trouve pas.
Coupe-le. À quoi bon le laisser épuiser le sol ?’
    Mais le vigneron lui répondit :
‘Maître, laisse-le encore cette année,
le temps que je bêche autour
pour y mettre du fumier.
    Peut-être donnera-t-il du fruit à l’avenir.
Sinon, tu le couperas.’ »


    – Acclamons la Parole de Dieu.


 

Source : http://www.aelf.org/

20 février 2016

La vierge métisse de Guadalupe

A l'occasion de son voyage au Mexique, le pape François a prié la vierge métisse de Guadalupe dans son sanctuaire, le samedi 13 février dernier. Ci-après, éditorial de Marc Messier, journaliste à Europe 1.

"Le mystère reste entier, mais la madone Lupita et sa relique ont donné aux peuples du Mexique une raison de s'unir.

On n'a jamais su d'où elle était sortie, une drôle de vierge, ni blanche ni noire, une vierge métisse. Une étrange déesse à la peau bronzée, aux cheveux noirs de jais coiffés à l'aztèque. Une tenue bleu-vert constellée de fleurs et d'étoiles d'or : une inconnue dans l'imagerie chrétienne de la Renaissance. On tient son portrait d'une tunique, son visage a été fixé sur le manteau que portait Juan Diego, le paysan indien qui la vu un jour de Décembre de l'an de grâce 1531. Une apparition sur le mont Tepeyac, une colline de Tenochtitlan, l'ancienne capitale de l'empire aztèque, devenue Mexico sous l'épée sanglante de Hermann Cortes et de ses conquistadors. Le pays soumis, l'or pillé, le serpent à plumes brûlé, comme tous ses autres frères Nahuas, Juan Diego a abjuré ses idoles et s'est converti au christianisme. Pas le choix, c'était le crucifix ou la mort.

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Le berger a 57 ans, nous sommes le 9 Décembre 1531. Cet hiver, la terre du mont Tepeyac est toute dure. Juan Diego se rend au marché comme souvent, quand une voix l'interpelle par son prénom. Il se retourne et là elle apparaît : une jeune dame brune éblouissante de lumière. Le pauvre bougre croit halluciner, elle lui demande de bâtir un temple pour recueillir les pleurs des Indigènes. Le berger tout chamboulé fonce vers l'évêque, qui n'en croit pas un mot. Quelques jours plus tard il se rend chez un vieil oncle qui est en train de mourir. Pour éviter de la croiser, il change de chemin. Cela n'y fait rien, la dame lui apparaît encore. Il lui explique que l'évêque n'a pas cru à leur rencontre. La dame va lui donner une preuve : des roses qui fleurissent par miracle sur la colline en plein hiver. Juan les recueille délicatement dans son manteau, le primat espagnol est bouleversé. Sur le fond de la tunique, une madone est inexplicablement imprimé dessus. Un tissu intact 485 ans plus tard, un phénomène incroyable pour une tunique faite de chanvre et d'agave qui aurait du être détruite par le temps. Un tissu miraculeusement reconstitué après une brûlure d'acide accidentelle au 18ème siècle, et qui est sortie indemne d'un attentat à la dynamite d'un anarchiste. La tunique a été examiné sous toutes les coutures par des experts du monde : impossible d'expliquer la nature des pigments de l'impression de la dame qui ne comporte aucune trace de pinceau. La température de la relique conserve en permanence celle du corps humain. Il y a aussi le regard de cette femme d'une stupéfiante humanité.

En grossissant ses yeux plusieurs milliers de fois, on y découvre parait-il des silhouettes, dont celle de Juan Diego et de l'évêque. Les détracteurs du merveilleux voient dans cette icône une supercherie pour embobiner les Aztèques qui s'accrochaient à leur divinité païenne. Au delà des controverses, la vierge de Guadalupe, Lupita la petite mère, est celle qui rassemble les Mexicains depuis un demi-millénaire. Portée par les guérilleros de Zapata en étendard, la vierge métisse aura réussi l'alliance entre les idoles des uns et le dieu des autres, entre les cultures anciennes et les traditions d'aujourd'hui. Un miracle sans doute, une belle histoire assurément".

Marc Messier
Europe 1
Le 14/02/2016

19 février 2016

Dimanche 21 février 2016 - 2ème dimanche de Carême

Dimanche 21 février 2016 - 2ème dimanche de Carême



1ère lecture : Le Seigneur conclut une alliance avec Abraham, le croyant (Gn 15, 5-12.17-18)

Lecture du livre de la Genèse

En ces jours-là,
le Seigneur parlait à Abraham dans une vision.
    Il le fit sortir et lui dit :
« Regarde le ciel,
et compte les étoiles, si tu le peux... »
Et il déclara :
« Telle sera ta descendance ! »
    Abram eut foi dans le Seigneur
et le Seigneur estima qu’il était juste.


    Puis il dit :
« Je suis le Seigneur,
qui t’ai fait sortir d’Our en Chaldée
pour te donner ce pays en héritage. »
    Abram répondit :
« Seigneur mon Dieu, comment vais-je savoir
que je l’ai en héritage ? »
    Le Seigneur lui dit :
« Prends-moi une génisse de trois ans,
une chèvre de trois ans,
un bélier de trois ans,
une tourterelle et une jeune colombe. »
    Abram prit tous ces animaux,
les partagea en deux,
et plaça chaque moitié en face de l’autre ;
mais il ne partagea pas les oiseaux.
    Comme les rapaces descendaient sur les cadavres,
Abram les chassa.
    Au coucher du soleil,
un sommeil mystérieux tomba sur Abram,
une sombre et profonde frayeur tomba sur lui.
    Après le coucher du soleil, il y eut des ténèbres épaisses.
Alors un brasier fumant et une torche enflammée
passèrent entre les morceaux d’animaux.
    Ce jour-là, le Seigneur conclut une alliance avec Abram
en ces termes :
« À ta descendance je donne le pays que voici,

depuis le Torrent d'Égypte jusqu'au Grand Fleuve, l'Euphrate. »


    – Parole du Seigneur.

Psaume : Ps 26 (27), 1, 7-8, 9abcd, 13-14

R/

Le Seigneur est ma lumière et mon salut.

(Ps 26, 1a)

Le Seigneur est ma lumière et mon salut ;
de qui aurais-je crainte ?
Le Seigneur est le rempart de ma vie ;
devant qui tremblerais-je ?

 

Écoute, Seigneur, je t’appelle !
Pitié ! Réponds-moi !
Mon cœur m’a redit ta parole :
« Cherchez ma face. »

 

C’est ta face, Seigneur, que je cherche :
ne me cache pas ta face.
N’écarte pas ton serviteur avec colère :
tu restes mon secours.

 

J’en suis sûr, je verrai les bontés du Seigneur
sur la terre des vivants.
« Espère le Seigneur, sois fort et prends courage ;
espère le Seigneur. »

2ème lecture : « Le Christ transformera nos pauvres corps à l’image de son corps glorieux » (Ph 3, 17 – 4, 1)

Lecture de la lettre de saint Paul Apôtre aux Philippiens

Frères,
ensemble imitez-moi,
et regardez bien ceux qui se conduisent
selon l’exemple que nous vous donnons.
    Car je vous l’ai souvent dit,
et maintenant je le redis en pleurant :
beaucoup de gens se conduisent en ennemis de la croix du Christ.
    Ils vont à leur perte.
Leur dieu, c’est leur ventre,
et ils mettent leur gloire dans ce qui fait leur honte ;
ils ne pensent qu’aux choses de la terre.


    Mais nous, nous avons notre citoyenneté dans les cieux,
d’où nous attendons comme sauveur
le Seigneur Jésus Christ,
    lui qui transformera nos pauvres corps
à l’image de son corps glorieux,
avec la puissance active qui le rend même capable
de tout mettre sous son pouvoir.
    Ainsi, mes frères bien-aimés pour qui j’ai tant d’affection,
vous, ma joie et ma couronne,
tenez bon dans le Seigneur, mes bien-aimés.


    – Parole du Seigneur.

 

OU LECTURE BREVE

2ème lecture : « Le Christ transformera nos pauvres corps à l’image de son corps glorieux » (Ph 3, 20 – 4, 1)

Lecture de la lettre de saint Paul apôtre aux Philippiens

Frères,
    nous, nous avons notre citoyenneté dans les cieux,
d’où nous attendons comme sauveur
le Seigneur Jésus Christ,
    lui qui transformera nos pauvres corps
à l’image de son corps glorieux,
avec la puissance active qui le rend même capable
de tout mettre sous son pouvoir.


    Ainsi, mes frères bien-aimés pour qui j’ai tant d’affection,
vous, ma joie et ma couronne,
tenez bon dans le Seigneur, mes bien-aimés.


    – Parole du Seigneur.

Evangile : « Pendant qu’il priait, l’aspect de son visage devint autre » (Lc 9, 28b-36)

    Acclamation :

    Gloire au Christ,
    Parole éternelle du Dieu vivant.
    Gloire à toi, Seigneur.
    De la nuée lumineuse,
    la voix du Père a retenti :
    « Celui-ci est mon Fils bien-aimé,
    écoutez-le ! »
    Gloire au Christ,
    Parole éternelle du Dieu vivant.
    Gloire à toi, Seigneur.
    (cf. Mt 17, 5)


Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

En ce temps-là,
    Jésus prit avec lui Pierre, Jean et Jacques,
et il gravit la montagne pour prier.
    Pendant qu’il priait,
l’aspect de son visage devint autre,
et son vêtement devint d’une blancheur éblouissante.
    Voici que deux hommes s’entretenaient avec lui :
c’étaient Moïse et Élie,
    apparus dans la gloire.
Ils parlaient de son départ
qui allait s’accomplir à Jérusalem.
    Pierre et ses compagnons étaient accablés de sommeil ;
mais, restant éveillés, ils virent la gloire de Jésus,
et les deux hommes à ses côtés.
    Ces derniers s’éloignaient de lui,
quand Pierre dit à Jésus :
« Maître, il est bon que nous soyons ici !
Faisons trois tentes :
une pour toi, une pour Moïse, et une pour Élie. »
Il ne savait pas ce qu’il disait.
    Pierre n’avait pas fini de parler,
qu’une nuée survint et les couvrit de son ombre ;
ils furent saisis de frayeur
lorsqu’ils y pénétrèrent.
    Et, de la nuée, une voix se fit entendre :
« Celui-ci est mon Fils,
celui que j’ai choisi :
écoutez-le ! »
    Et pendant que la voix se faisait entendre,
il n’y avait plus que Jésus, seul.
Les disciples gardèrent le silence
et, en ces jours-là,
ils ne rapportèrent à personne rien de ce qu’ils avaient vu.


    – Acclamons la Parole de Dieu.

 

Source : http://www.aelf.org/

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14 février 2016

Vivre le temps du Carême


40 jours pour accueillir le Christ ressuscité dans ma vie


Chaque semaine :
• messes, confessions, adoration aux horaires habituels
• chemin de croix le vendredi à 17h - églises de Ploemeur et Larmor-Plage
• prière des vêpres dans les chapelles de Ploemeur, le mercredi à 18h (voir feuille de semaine)

croix

Rencontre de Carême, autour de l’encyclique Laudato Si’, avec Jean-Claude Pierre.
• mardi 15 mars - 20h30 - Ploemeur salle Ninnoch

Conférences spirituelles, avec Gwénola Rebours, salle paroissiale de Larmor-Plage :
• la Passion du Christ, mercredi 23 mars - 18h
• la Résurrection, mardi 29 mars - 18h

Tro Plañvour : pèlerinage des six chapelles de Ploemeur, circuit de 22km.
Samedi 5 mars - départ à 9h de St Tual - pique-nique tiré du sac salle Ninnoch - arrivée à Lomener pour 18h.

« Retraite dans la vie » : aménager une retraite spirituelle dans mon quotidien
du 29 février au 5 mars. Programme de prière et de méditation sur 5 jours - enseignement le soir.

Célébrations pénitentielles :
• jeudi 17 mars - 18h Larmor-Plage
• vendredi 18 mars - 10h Lomener
• mardi 22 mars - 19h15 Ploemeur centre

Permanences d’un prêtre pour le sacrement du pardon :
• après chaque célébration pénitentielle
• Samedi Saint 26 mars - de 10h à 12h - Ploemeur centre et Larmor

Semaine Sainte :
• Week-end des 19 et 20 mars : messe des Rameaux aux horaires habituels
• Jeudi Saint 24 mars – Célébration de la Cène – 19h15 - Ploemeur centre
• Vendredi Saint 25 mars :
- Chemin de croix à 15h - Ploemeur centre et Larmor-Plage
- Célébration de la Passion – 19h15 - Ploemeur centre et Larmor-Plage
• Veillée pascale – samedi 26 mars : 19h à Lomener - 20h30 à Ploemeur centre et Larmor-Plage
• Dimanche de Pâques – 27 mars : messe à 10h30 Larmor-Plage - 11h Ploemeur centre

Des informations complémentaires vous seront communiquées au fil des rendez-vous.

12 février 2016

Dimanche 14 février 2016 - 1er dimanche de Carême

Dimanche 14 février 2016 - 1er dimanche de Carême


1ère lecture : La profession de foi du peuple élu (Dt 26, 4-10)

Lecture du livre du Deutéronome

Moïse disait au peuple :
Lorsque tu présenteras les prémices de tes récoltes,
    le prêtre recevra de tes mains la corbeille
et la déposera devant l’autel du Seigneur ton Dieu.
    Tu prononceras ces paroles devant le Seigneur ton Dieu :
« Mon père était un Araméen nomade,
qui descendit en Égypte :
il y vécut en immigré avec son petit clan.
C’est là qu’il est devenu une grande nation,
puissante et nombreuse.
    Les Égyptiens nous ont maltraités, et réduits à la pauvreté ;
ils nous ont imposé un dur esclavage.
    Nous avons crié vers le Seigneur, le Dieu de nos pères.
Il a entendu notre voix,
il a vu que nous étions dans la misère, la peine et l’oppression.
    Le Seigneur nous a fait sortir d’Égypte
à main forte et à bras étendu,
par des actions terrifiantes, des signes et des prodiges.
Il nous a conduits dans ce lieu et nous a donné ce pays,
un pays ruisselant de lait et de miel.


    Et maintenant voici que j’apporte les prémices
des fruits du sol que tu m’as donné, Seigneur. »


    – Parole du Seigneur.

Psaume : Ps 90 (91), 1-2, 10-11, 12-13, 14-15ab

R/

Sois avec moi, Seigneur,
dans mon épreuve.

(cf. Ps 90, 15)

Quand je me tiens sous l’abri du Très-Haut
et repose à l’ombre du Puissant,
je dis au Seigneur : « Mon refuge,
mon rempart, mon Dieu, dont je suis sûr ! »

 

Le malheur ne pourra te toucher,
ni le danger, approcher de ta demeure :
il donne mission à ses anges
de te garder sur tous tes chemins.

 

Ils te porteront sur leurs mains
pour que ton pied ne heurte les pierres ;
tu marcheras sur la vipère et le scorpion,
tu écraseras le lion et le Dragon.

 

« Puisqu’il s’attache à moi, je le délivre ;
je le défends, car il connaît mon nom.
Il m’appelle, et moi, je lui réponds ;
je suis avec lui dans son épreuve. »

2ème lecture : La profession de foi en Jésus Christ (Rm 10, 8-13)

Lecture de la lettre de saint Paul Apôtre aux Romains

Frères,
    que dit l’Écriture ?
Tout près de toi est la Parole,
elle est dans ta bouche et dans ton cœur.
Cette Parole, c’est le message de la foi que nous proclamons.
    En effet, si de ta bouche,
tu affirmes que Jésus est Seigneur,
si, dans ton cœur,
tu crois que Dieu l’a ressuscité d’entre les morts,
alors tu seras sauvé.
    Car c’est avec le cœur que l’on croit
pour devenir juste,
c’est avec la bouche que l’on affirme sa foi
pour parvenir au salut.
    En effet, l’Écriture dit :
Quiconque met en lui sa foi ne connaîtra pas la honte.
    Ainsi, entre les Juifs et les païens,
il n’y a pas de différence :
tous ont le même Seigneur,
généreux envers tous ceux qui l’invoquent.
    En effet,
quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé.


    – Parole du Seigneur.

Evangile : « Dans l’Esprit, il fut conduit à travers le désert où il fut tenté » (Lc 4, 1-13)

    Acclamation :

    Ta Parole, Seigneur, est vérité,
    et ta loi, délivrance.
    L’homme ne vit pas seulement de pain,
    mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu.
    Ta Parole, Seigneur, est vérité,
    et ta loi, délivrance.
    (Mt 4, 4b)


Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

En ce temps-là,
après son baptême,
    Jésus, rempli d’Esprit Saint,
quitta les bords du Jourdain ;
dans l’Esprit, il fut conduit à travers le désert
    où, pendant quarante jours, il fut tenté par le diable.
Il ne mangea rien durant ces jours-là,
et, quand ce temps fut écoulé, il eut faim.
    Le diable lui dit alors :
« Si tu es Fils de Dieu,
ordonne à cette pierre de devenir du pain. »
    Jésus répondit :
« Il est écrit :
L’homme ne vit pas seulement de pain. »


    Alors le diable l’emmena plus haut
et lui montra en un instant tous les royaumes de la terre.
    Il lui dit :
« Je te donnerai tout ce pouvoir
et la gloire de ces royaumes,
car cela m’a été remis et je le donne à qui je veux.
    Toi donc, si tu te prosternes devant moi,
tu auras tout cela. »
    Jésus lui répondit :
« Il est écrit :
C’est devant le Seigneur ton Dieu que tu te prosterneras,
à lui seul tu rendras un culte. »


    Puis le diable le conduisit à Jérusalem,
il le plaça au sommet du Temple
et lui dit :
« Si tu es Fils de Dieu, d’ici jette-toi en bas ;
    car il est écrit :
Il donnera pour toi, à ses anges,
l’ordre de te garder ;
    et encore :
Ils te porteront sur leurs mains,
de peur que ton pied ne heurte une pierre. »
    Jésus lui fit cette réponse :
« Il est dit :
Tu ne mettras pas à l’épreuve le Seigneur ton Dieu. »
    Ayant ainsi épuisé toutes les formes de tentations,
le diable s’éloigna de Jésus jusqu’au moment fixé.


    – Acclamons la Parole de Dieu.


Source : http://www.aelf.org/

 

 

 

6 février 2016

Mercredi des cendres


Pourquoi des cendres ?

Pourquoi le prêtre dépose-t-il des cendres sur le front des fidèles le mercredi des cendres ?

Le mercredi des Cendres marque l'entrée officielle en Carême et dans le cycle pascal. Il peut tomber n'importe quel mercredi entre le 4 février et le 10 mars, en fonction de la date de Pâques. Les cendres qui proviennent des rameaux de l'année précédente, brûlés pour l'occasion, sont déposées sur le front des fidèles. Cette coutume de se couvrir la tête de cendres -et à l'origine de se revêtir aussi d'un sac- est une ancienne pratique pénitentielle qui remonte au peuple hébreu (Jonas 3.5-9 : Jérémie 6.26 ; 25- 34 ; Matthieu 1 1,21).

mercredi des cendres bisAux commencements du christianisme

Ce rite des cendres n'était pas directement associé au début du Carême. Vers l'an 300, il fut adopté par certaines Églises locales et intégré au rite d'excommunication temporaire ou de renvoi des pécheurs publics de la communauté. Ces personnes s'étaient rendues coupables de péchés ou de scandales "majeurs" : apostasie, hérésie, meurtre et adultère (considérés comme des péchés "capitaux").

Au VIIe siècle environ

Cette coutume donna lieu, dans certaines églises, à un rite public du mercredi des Cendres. Les pécheurs confessaient d'abord leurs péchés en privé. Puis ils étaient présentés à l'évêque et mis publiquement au rang des pénitents, ils devaient se préparer pour recevoir l'absolution donnée le Jeudi saint. Après une imposition des mains et des cendres, ils étaient renvoyés de la communauté comme Adam et Eve l'avaient été du paradis. Bien sûr, on leur rappelait que la mort est la conséquence du péché : "Oui, tu es poussière et à cette poussière tu retourneras" (Genèse 3,19).

Les pénitents vivaient en marge de leur famille et du reste de la communauté chrétienne pendant les quarante jours du Carême (d'où l'expression de "quarantaine"). Le "sac" qu'ils avaient revêtu et la cendre dont ils étaient couverts permettaient de les reconnaître lors des assemblées ou, le plus souvent, aux portes de l'église où ils étaient relégués. Cette pratique pénitentielle impliquait généralement de s'abstenir de viande, d'alcool, de bain. Il était également interdit de se faire couper les cheveux, de se raser, d'avoir des relations sexuelles et de gérer ses affaires. Selon les diocèses, il arrivait que certaines pénitences durent plusieurs années, voire toute la vie.

Au cours du Moyen Âge

C'est la dimension personnelle du péché, plutôt que son caractère public, qui fut objet d'insistance. Par conséquent, les traditions associées au mercredi des Cendres furent appliquées à tous les adultes de la paroisse, mais sous une forme mitigée. Au XIe siècle, les pratiques en usage étaient fort semblables à celles que nous connaissons aujourd'hui. Depuis quelques années, il existe une alternative à la formule traditionnelle pour l'imposition des cendres. Elle met en valeur un aspect beaucoup plus positif du Carême : "Convertissez-vous et croyez à l'Evangile" (Mc 1,15).

Dans les églises de Bretagne insulaire et d'Irlande, une nouvelle modalité pénitentielle se développa, entre le VIe et le VIIIe siècle, sous l'influence des moines celtes. Il s'agissait d'une forme de pénitence personnelle et privée pour des péchés moins graves que ceux évoqués ci-dessus. Cette pratique, plus que le rite du mercredi des Cendres, allait contribuer à faire évoluer les modalités du sacrement de la réconciliation.

Trois sortes de traditions ont donné au Carême son caractère spécifique :
1. celles qui favorisent un climat d'austérité ;
2. les pratiques pénitentielles, surtout en matière de jeûne et d'abstinence
3. les dévotions centrées sur la souffrance de Jésus.

Au cours de ces vingt dernières années, ces traditions ont été associées à des pratiques nouvelles, mettant l'accent sur une dimension plus positive du Carême.

Bon Carême !

Approfondir le thème : cliquez ici.
Source : guide des traditions et coutumes catholiques, pp 138-140 - www.croire.com

Célébration du Mercredi des Cendres pour le doyenné
Mercredi 10 février à 19h15
église Notre Dame de Larmor-Plage

suivie du "Bol de Riz"organisé par le C.CF.D. Terre Solidaire
à la salle paroissiale de Larmor-Plage

5 février 2016

Dimanche 7 février 2016 - 5ème dimanche du Temps Ordinaire

Dimanche 7 février 2016 - 5ème dimanche du Temps Ordinaire


1ère lecture : « Me voici : envoie-moi ! » (Is 6, 1-2a.3-8)

Lecture du livre du prophète Isaïe

L’année de la mort du roi Ozias,
je vis le Seigneur qui siégeait sur un trône très élevé ;
les pans de son manteau remplissaient le Temple.
    Des séraphins se tenaient au-dessus de lui.
    Ils se criaient l’un à l’autre :
« Saint ! Saint ! Saint, le Seigneur de l’univers !
Toute la terre est remplie de sa gloire. »
    Les pivots des portes se mirent à trembler
à la voix de celui qui criait,
et le Temple se remplissait de fumée.
    Je dis alors :
« Malheur à moi ! je suis perdu,
car je suis un homme aux lèvres impures,
j’habite au milieu d’un peuple aux lèvres impures :
et mes yeux ont vu le Roi, le Seigneur de l’univers ! »
    L’un des séraphins vola vers moi,
tenant un charbon brûlant
qu’il avait pris avec des pinces sur l’autel.
    Il l’approcha de ma bouche et dit :
« Ceci a touché tes lèvres,
et maintenant ta faute est enlevée,
ton péché est pardonné. »
    J’entendis alors la voix du Seigneur qui disait :
« Qui enverrai-je ?
qui sera notre messager ? »
Et j’ai répondu :
« Me voici :
envoie-moi ! »


    – Parole du Seigneur.

Psaume : Ps 137 (138), 1-2a, 2bc-3, 4-5, 7c-8

R/

Je te chante, Seigneur, en présence des anges.

(cf. Ps 137, 1c)

De tout mon cœur, Seigneur, je te rends grâce :
tu as entendu les paroles de ma bouche.
Je te chante en présence des anges,
vers ton temple sacré, je me prosterne.

 

Je rends grâce à ton nom pour ton amour et ta vérité,
car tu élèves, au-dessus de tout, ton nom et ta parole.
Le jour où tu répondis à mon appel,
tu fis grandir en mon âme la force.

 

Tous les rois de la terre te rendent grâce
quand ils entendent les paroles de ta bouche.
Ils chantent les chemins du Seigneur :
« Qu’elle est grande, la gloire du Seigneur ! »

 

Ta droite me rend vainqueur.
Le Seigneur fait tout pour moi !
Seigneur, éternel est ton amour :
n’arrête pas l’œuvre de tes mains.

2ème lecture : « Voilà ce que nous proclamons, voilà ce que vous croyez » (1 Co 15, 1-11)

Lecture de la première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens

Frères,
je vous rappelle la Bonne Nouvelle
que je vous ai annoncée ;
cet Évangile, vous l’avez reçu ;
c’est en lui que vous tenez bon,
    c’est par lui que vous serez sauvés
si vous le gardez tel que je vous l’ai annoncé ;
autrement, c’est pour rien que vous êtes devenus croyants.


    Avant tout, je vous ai transmis ceci,
que j’ai moi-même reçu :
le Christ est mort pour nos péchés
conformément aux Écritures,
    et il fut mis au tombeau ;
il est ressuscité le troisième jour
conformément aux Écritures,
    il est apparu à Pierre, puis aux Douze ;
    ensuite il est apparu à plus de cinq cents frères à la fois
– la plupart sont encore vivants,
et quelques-uns sont endormis dans la mort –,
    ensuite il est apparu à Jacques, puis à tous les Apôtres.
    Et en tout dernier lieu, il est même apparu à l’avorton que je suis.


    Car moi, je suis le plus petit des Apôtres,
je ne suis pas digne d’être appelé Apôtre,
puisque j’ai persécuté l’Église de Dieu.
    Mais ce que je suis,
je le suis par la grâce de Dieu,
et sa grâce, venant en moi, n’a pas été stérile.
Je me suis donné de la peine plus que tous les autres ;
à vrai dire, ce n’est pas moi,
c’est la grâce de Dieu avec moi.


    Bref, qu’il s’agisse de moi ou des autres,
voilà ce que nous proclamons,
voilà ce que vous croyez.


    – Parole du Seigneur.

 

OU LECTURE BREVE

2ème lecture : « Voilà ce que nous proclamons, voilà ce que vous croyez » (1 Co 15, 3-8.11)

Lecture de la première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens

Frères,
    avant tout, je vous ai transmis ceci,
que j’ai moi-même reçu :
le Christ est mort pour nos péchés
conformément aux Écritures,
    et il fut mis au tombeau ;
il est ressuscité le troisième jour
conformément aux Écritures,
    il est apparu à Pierre, puis aux Douze ;
    ensuite il est apparu à plus de cinq cents frères à la fois
– la plupart sont encore vivants,
et quelques-uns sont endormis dans la mort –,
    ensuite il est apparu à Jacques, puis à tous les Apôtres.
    Et en tout dernier lieu, il est même apparu à l’avorton que je suis.


    Bref, qu’il s’agisse de moi ou des autres,
voilà ce que nous proclamons,
voilà ce que vous croyez.


    – Parole du Seigneur.

Evangile : « Laissant tout, ils le suivirent » (Lc 5, 1-11)

    Acclamation :

    Alléluia. Alléluia.
    « Venez à ma suite, dit le Seigneur,
    et je vous ferai pêcheurs d’hommes. »
    Alléluia.
    (Mt 4, 19)


Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

    En ce temps-là,
    la foule se pressait autour de Jésus
pour écouter la parole de Dieu,
tandis qu’il se tenait au bord du lac de Génésareth.
    Il vit deux barques qui se trouvaient au bord du lac ;
les pêcheurs en étaient descendus
et lavaient leurs filets.
    Jésus monta dans une des barques qui appartenait à Simon,
et lui demanda de s’écarter un peu du rivage.
Puis il s’assit et, de la barque, il enseignait les foules.
    Quand il eut fini de parler,
il dit à Simon :
« Avance au large,
et jetez vos filets pour la pêche. »
    Simon lui répondit :
« Maître, nous avons peiné toute la nuit sans rien prendre ;
mais, sur ta parole, je vais jeter les filets. »
    Et l’ayant fait,
ils capturèrent une telle quantité de poissons
que leurs filets allaient se déchirer.
    Ils firent signe à leurs compagnons de l’autre barque
de venir les aider.
Ceux-ci vinrent,
et ils remplirent les deux barques,
à tel point qu’elles enfonçaient.
    à cette vue, Simon-Pierre tomba aux genoux de Jésus,
en disant :
« Éloigne-toi de moi, Seigneur,
car je suis un homme pécheur. »
    En effet, un grand effroi l’avait saisi,
lui et tous ceux qui étaient avec lui,
devant la quantité de poissons qu’ils avaient pêchés ;
    et de même Jacques et Jean, fils de Zébédée,
les associés de Simon.
Jésus dit à Simon :
« Sois sans crainte,
désormais ce sont des hommes que tu prendras. »
    Alors ils ramenèrent les barques au rivage
et, laissant tout, ils le suivirent.


    – Acclamons la Parole de Dieu.

Source : http://www.aelf.org/

 

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